Jovanovic oublie de préciser que des millions de gens vivent des taux d’intérêt négatifs. Outre le fait que l’immoilier n’a jamais été aussi abordable pour ceux présentant des garanties de revenus durables, les taux négatifs signifient que la BCE rachète massivement les titres de dette des Etats membres les plus endettés, dont la France qui a rejoint l’Ialie au premier rang des des dattes nationales européennes. cette porte ouverte par les banques centrales à l’endettement illimité est une incitation directe à l’arrosage d’argent public, soit sous la forme de salaires de fonctionnaires, soit sous la forme de subventions à des myriades d’organisations publiques et privées qui sont chargées de faire avancer l’agenda de la Commission européenne, selon ses différents actes stratégiques, comme le Green Deal, les migrations de masse ou la digitalisation rapide de l’économie comme on le voit notamment dans la santé avec l’exploitation des données épidémiologiques par le "big data", alias modèles stochastique,s ou les outils de tracking par téléphonie mobile. Dans tous les cas, il s’agit du financement par la dette de dépenses improductives, en violation complète des traités européens qui obligeaient les Etats nationaux à s’endetter auprès des marchés et non de leur banque centrale tout en respectant des critères strictes d’endettement, eu égard au PIB et au budget. Au lieu de quoi, les marchés servent de corne d’abondance à la gabegie budgétaire qui finance tout et n’importe quoi, en l’absence de contrôle sérieux des dépenses, ce qui suppose la complicité de quantités d’organismes d’audit et de surveillance qui mettent leur vigilance entre parenthèses sous prétexte de situation d’urgence exceptionnelle. En somme les taux négatifs sont le signe par excellence de l’apauvrissement national par la destruction de la production de richesse et la mise au chômage de millions de productifs, de la destruction de l’épargne et du patrimoine des ménages pour transférer les moyens monétaires vers des causes idéologiques qui signent la fin des Etats nations livrés sans défense aux prédateurs de la finance déguisés en sauveurs de l’humanité et de la planète. D’ailleurs le plan Castex a assigné comme priorités la lutte contre le réchauffement climatique et les gaz à effet de serre. Tant que la guerre contre le carbone continue, l’agenda vert- peut continuer à avancer, dussent les Français en crever,.sous l’valanche de nouvelles taxes européennes et autres.
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