Le géant du négoce de matières premières représente 9 % des échanges commerciaux de produits agricoles dans le monde.
La sécheresse historique qui a frappé les États-Unis l’an dernier et fait plonger la production de maïs américain est loin d’avoir desservi Louis Dreyfus Commodities (LDC).
Le géant du négoce de matières premières agricoles a su réagir et fournir à ses clients des produits en provenance du Brésil, d’Argentine ou encore d’Ukraine. « Le plan de 700 millions de dollars d’investissement en 2012 nous a permis de développer notre réseau logistique et notre outil industriel dans les pays d’origine et de destination », a expliqué le PDG du groupe, Serge Schoen, dans le rapport annuel publié mercredi.
L’ambitieux programme de dépenses présenté il y a un peu moins d’un an porte donc ses premiers fruits. LDC avait fait savoir en mai qu’il comptait investir 7 milliards de dollars à l’horizon 2016, soit 40 % de plus qu’au cours des cinq dernières années.
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