Bedos, Krivine, Besancenot et les autres trotskystes du NPA, les indigènes indigents, le front de gauche et autres progressistes hystériques à la Fourest sont en représentation théâtrale : dès que Valls ou Hollande aux ordres du Crif, de BHL, de Finkielkraut sifleront la fin de la récréation, ce petit monde de cyniques, de pseudo antiracistes, très actifs dans l’islamophobie rentrera directement dans le rang après avoir détourné cette colère plus que légitimite, continuant à tolérer cette logique de guerre et le massacre des palestiniens.
Cette dénonciation d’E&R et des autres authentiques révolutionnaires est caractéristique de cette chasse aux sorcières maccarthyste utilisées par les agents des néoconservateurs.
Regardez dans quel état se trouve la gauche "radicale" en France, les gens vont comprendre.

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Participant régulierement à des discussions sur des problemes de notre société sur ER,discussion d’un tres bon niveau intellectuel d’ailleurs mieux que les conferences bidons surpayées d’un Sarkozy ou BHL ,je me sens insulté par ce bouffon de Youssouf boussomah ,je ne suis pas d’extreme droite je discute avec les personnes honnetes et meme malhonetes qui sont concernés par les problemes universels auquels nous sommes confrontés cela ne fais pas de moi un exité écervellé ou je ne sais quoi, un facho comme sous entendu,on peut parler heureusement que la Gestapo s’en est allée avec le Nazisme,la liberté d’expression meme menacée existe toujours, moi je le dis C’est le type de personage qui ne fait pas avancer le dialogue en pratiquant la calomnie et l’invective C’est pas la peine de faire plus Palestinien que Palestinien tout esprit lucide est solidaire de ce qui s’y passe .Donc pour moi ce tocard n’a pas le monopole de la compassion des palestiniens pour s’arroger le droit de distribuer les bons points à tel ou tel et il ferait mieux de la fermer.

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Les 10 commandements du journalisme "indépendant" :

Règle n° 1 : Au Proche-Orient, ce sont toujours les Palestiniens qui attaquent les premiers, et c’est toujours Israël qui se défend. Cela s’appelle des représailles.

Règle n° 2 : Les Palestiniens n’ont pas le droit de tuer des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.

Règle n° 3 : Israël a le droit de tuer les civils arabes. Cela s’appelle de la légitime défense.

Règle n° 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l’appellent à la retenue. Cela s’appelle la réaction de la communauté internationale.

Règle n° 5 : Les Palestiniens n’ont pas le droit de capturer des militaires israéliens ; c’est un enlèvement, même si leur nombre est très limité et ne dépasse pas trois soldats.

Règle n° 6 : Les Israéliens ont le droit d’enlever autant de Palestiniens qu’ils le souhaitent (environ 10 000 prisonniers à ce jour, dont près de 300 enfants). Il n’y a aucune limite et ils n’ont besoin d’apporter aucune preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il suffit juste de dire le mot magique « terroriste ».

Règle n° 7 : Quand vous dites "Israël", il ne faut surtout pas ajouter : "soutenu par les États-Unis, la France et l’Europe", car on pourrait croire qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.

Règle n° 8 : Ne jamais parler de "territoires occupés", dites seulement « territoires », ni de résolutions de l’ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève. Cela risque de perturber le téléspectateur et l’auditeur.

Règle n° 9 : Donnez aussi souvent que possible la parole aux Israéliens et à leurs partisans. Ainsi, ils peuvent mieux nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 8). Cela s’appelle de la neutralité journalistique.

Règle n° 10 : Si vous n’êtes pas d’accord avec ces règles, ou si vous trouvez qu’elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c’est que vous êtes un "dangereux antisémite

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Comme à son habitude les chiffres de la police sont faux. J’y étais nous étions au minimum dix fois plus nombreux que 11 000.

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Youssef Boussoumah est vraiment une aubaine pour les medias du système, il a bien gêré son petit quart d’heure télévisuel ; les journaleux n’en demandaient pas plus : créer la peur chez leurs lecteurs, le vilain facho de Soral passe maintenant à l’acte, qu’attend t on pour interdire son asso ?
Curieux journalisme qui ne donne aucune information à ses lecteurs au sujet des "indigènes de la République". IL faut savoir que cette propagande, il n’y a pas d’autre mot, passe en boucle sur d’autres medias. Boussoumah a gagné une bataille. On peut s’interroger sur l’amateurisme de Gaza firm qui semble bien être tombé dans le panneau. J’espère qu’au Front national ils sauront faire la différence, c’est un autre débat.

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Selon que vous soyez du bon côté du manche : la manif a lieu ou est interdite ! si elle a lieu c’est également pour "massacrer " ceux qui étaient les instigateurs de celle interdite ! - c’est de la récup pure et simple - par un état en mal de reconnaissance ( au bas mot) . qui doit absolument faire taire les vrais libertaires ! ( il veut seulement contrôler SES dissidents , qui en fait n’en sont pas mais le servent admirablement ).

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Parmi les manifestants, qui scandaient « Israël assassin, Hollande complice », des membres d’EELV, du PCF, du NPA et de nombreuses organisations de soutien aux Palestiniens, certains arborant un keffieh ou un masque aux couleurs de la Palestine. Dans la foule, des personnalités comme l’humoriste Guy Bedos ou le trotskyste historique Alain Krivine

......Sans commentaire

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Pourquoi "pro-palestinienne" ? Alors qu’il s’agit de "soutien" à la Palestine...

Ma tante Anne-Marie est allé à la manif pour soutenir les palestiniens, cela n’en fait pas une "pro" palestinienne pour autant...demain, elle n’ira pas récolter des fonds pour le Hamas, ni faire de la propagande sur son Facebook, ni monter un blogue de combat...

Nos affligeants médias ne s’y trompent pas, avec ces choix de mots ils décrédibilisent, en effet, si on est "pro-palestinien", il y’a de bonne chance que l’on soit anti-israël et le mot magique "antisémite", du coup, n’est plus très loin !

Ne pas confondre manifs pro-israéliennes, composées pour la majorité de sionistes convaincus, soutenant l’Israël dans son action de guerre, de mort et de destruction, avec manif de soutien à la Palestine, composé de gens ayant la guerre, le massacre d’enfants et d’innocents pour dégoût et venant de tout horizons ethniques pour l’exprimer.

Si c’était des papous de Nouvelle Guinée qui se faisaient injustement massacrer, et qu’on faisait des manifs de soutien, on parlerai de manifs pro-papous ?

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Ce genre de manifestation n’a plus grand sens, autorisée-canalisée qu’elle est par le ministère de l’Iintérieur, et encadrée du début (camions noirs, bleus ou blancs des forces de l’ordre) à la fin (camions verts de la voirie) : c’est vraiment prendre le flot des manifestants pour un simple transit intestinal : pas seulement des cons mais des étrons !
En outre, la manif’ est récupérée par les politiques en mal de troupes et de nobles causes et sera commentée-déviées par les CRIF-médias...
Au mieux, on se fait plaisir en ressassant des slogans comme comptines infantiles, cette petite dynamique de groupe permet de bien dormir la nuit suivante. Même les habitants des rues traversées ferment leurs fenêtres... en plein été, c’est dire !

Mais il est deux autres formes de contestation citoyenne, toutes deux non-violentes, qui elles s’avèrent potentiellement très efficaces :

 celle, debout et silencieuse, des “Veilleurs”, des “Sentinelles”, des “Cercles de Silence”  ; elle a montré son efficacité l’an dernier à propos du mariage pour tous : les policiers, les touristes s’interrogeant visiblement sur la présence de ces “non-groupes” (pour ne pas être poursuivis pour “attroupement” interdit) de Veilleurs, inattendue mais insistante, et reconduite, indéfiniment...
Et si elle n’est pas, comme on sait, parvenue à faire plier la “garde des sots” “T’obéiras”, la faute en incombe aux dizaines de millions de citoyens qui n’y auront pas donné un peu de leur temps, de leur personne, de leur vie intérieure...

 l’autre forme est celle, vive, active et furtive, des flashmob

, qui soudain envahissent une place avec tee-shirt, drapeaux, tracts, un message clair... et qui s’égayeront bien avant la venue des forces de l’ordre... gros-jean comme devant.

Imaginons ce qu’aurait donné tout l’effectif, moyen, de la manif d’hier, si chacun, sur le pied de guerre médiatique, tous matériel réuni et instructions données et intériorisées, avait sagement ou fébrilement attendu chez soi (au cours de l’après-midi) LE Signal : SMS ou courriel, en provenance de son association de préférence (pro-palestinienne, pro-paix, voire communautaire pour ceux qui en sont encore là...) pour rejoindre au plus vite l’endroit indiqué pour soi et pour la poignée d’autres manifestants connivents (parmi des dizaines, centaines, milliers d’autres points de rassemblement, distincts et indépendants, selon la taille de l’organisation inductrice de cette flashmob).

suite à \

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suite de /

[Noter que les organisateurs pourraient et même devraient être élus démocratiquement ou même être nommés au hasard, “à la Etienne-Chouard”].
Et là, selon les goûts, capacités et disponibilités de chacun, bien anticipées et dûment préparées, parcourant les rues, soit au trot du jogging, soit en vélo ou vélib’, soit en scooter ou moto, autant de modes de circulation permettant le plus de fluidité et de furtivité possible, tous signes interpellatifs soudain externalisés (à partir du sac à dos) : tee-shirt, drapeaux, fanions et banderoles, auto-collants, tracts, mégaphones et klaxons (par exemple : “Is-ra-ël - A-ssa-ssin !” = le rythme deux croches - noire - deux croches - noire [comme, il fut une époque, “Al-gé-rie - al-gé-rienn’ !”). Et ce petit jeu “coloré” de se poursuivre entre cinq minutes et un quart d’heure, voire plus, selon les conditions du moment, DANS TOUT PARIS ET BANLIEUES, COMME DANS TOUTES LES GRANDES VILLES DE FRANCE. Chacun décidant de l’opportunité de replier tout son matos dans le sac à dos et regagnant benoîtement, ses pénates, surfant alors sur son “Radio-Londres” préféré pour s’informer du résultat...
Alors, Ministère de la Cogne, Préfecture, Commissariats (prudemment évités) auraient bien du mal à endiguer tout ce désordre si viralement organisé jusque dans l’éphémère. Le message dissident serait ainsi multiplié par le sentiment de ne plus défiler sous protection policière, comme dans une manif’ conventionnelle, mais, une fois le signal déclencheur capté, de voler de ses propres ailes éthiques...

Ces deux stratégies opposées et complémentaires, au choix selon les possibilités et les circonstances, seraient très efficaces, non seulement au hasard des rues, avenue et boulevards, mais aussi auprès des sites stratégiques, comme les ministères, ambassades, mairies, tribunaux, bureaux de lobbies, CRIF-médias, etc. En effet, les habitants voisins seraient vite intrigués par la calme assurance et détermination des Veilleurs, ou au contraire agacés, excédés par les militants voltigeurs, et regarderaient vite d’un autre œil, plutôt noir, ces “officiels” qui partagent leur quotidien, jusqu’ici discrets et “bien de leur personne”, mais qui pourraient leur apparaître comme fomentant en douce des actions plutôt louches : celles-mêmes dénoncées par la courageuse présence, calme et pérenne, ou à l’opposé éclair et animée, de cette neuve et créative Dissidence...

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