La dernière fois que j’ai du me référer à cet auteur, c’etait en philosophie de la logique, afin d’appuyer le premier chapitre de Quines "Grammaire" dans son livre "Logique", et montrer les limites de la linguistique en tant que pendant "scientifique" du grammairien. Je mets des guillemets à "scientifique", comme tout dérivé du scientisme à cette époque, Freud en étant un précurseur bien qu’ayant eu le mérite de mettre en lumière certaines facettes de l’âme humaine sans pour autant avoir fourni la preuve de l’existence de l’inconscient. À l’instare de Schopenhauer (lire essai sur les femmes), en tant que médecin juif, on louera à Freud l’honnêteté de s’etre penché sur la question des femmes et le fameux "que veulent-elles ?" souvent raillé par Zemmour avant que le féminisme n’inverse, et renvoie l’hystérie comme une caractéristique propre à la violence masculine. Car être virile de nos jours, c’est être malade. La subversion à son comble, bien joué. Au passage, je ne me souviens plus quel deglingué en "sciences" inhumaines avait utilisé ses gosses comme cobayes ? Serait-ce le manque de foi qui pousse ces sociopathes à faire tout le temps avec le sang des autres ? Donc, pour en revenir à nos moutons, l’arbre de Chomsky segmente l’énoncé d’une proposition sur un plan syntagmatique. Or il convenait de montrer qu’on ne peut établir une règle de logique stricte en grammaire, vu qu’à un moment, le grammairien bute. Ce serait trop compliqué d’expliquer, il faudrait lire le livre et je souhaite bonne chance. Bref il faut vraiment avoir du temps à perdre pour se perdre là dedans (Cercle de Vienne, Quines, Chomsky, Kripkee, touti quanti)... Surtout pour des "sciences" sociales montées en épingle par une bande d’asociaux psychopathes qui ne brassent que du vent. Quand on pense que certains philosophes (je songe à Riegel mais pas que) ont consacré leur vie pour expliquer la raison des feuilles d’acanthe qui coiffent les colonnes. Alors je veux bien que l’on érige ce vieux chnok en "genie" vu qu’il est de notoriété que le génie soit dans la plupart des cas reconnu à l’origine de bien des dérives, et cause de folie. Pourtant Bach etait un génie, ça ne l’a jamais rendu fou. Seulement Bach avait la foi.
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