La fortune du clergé régulier reposait sur trois règles :
Ne jamais recourir au prêt
S’organiser de manière autarcique (vivre de et sur son bien)
Ce qui est vendu est épargné ou réinvesti
Au début, on voit rien : on économise les pièces jaunes, et la potée au chou est l’ordinaire invariable.
Mais au bout d’un an, on comprend le secret de la règle : en mettant systématiquement la dépense en dessous des recettes, on créé une épargne et en investissant la totalité de cette épargne on augmente la capacité de production.
La potée au chou et les pièces jaunes
Un petit lopin de terre
Et zéro prêt.
Dans cent ans, vous serez (ou vos descendants) une des plus grosses fortunes de France.
Pour tenir le régime, les moines ont un truc infaillible : c’est culinaire.
Ils suppriment le sucre dans leur alimentation : c’est addictif et addictivement coûteux "en cascade".
Un moine gros est un moine pêcheur.
Ils ont une autre astuce : ils n’achètent aucune marchandise packagée.
Le vrac et la matière première en tout sont les mots d’ordre
Essayez : du savon à la purée (pommes de terre)
Soit dit en passant, le zéro sucre, c’est pas ce que fait Delamarche (...)
Vous serez donc plus riche que lui !
Dans cent ans.
Mais alors...riche, c’est pas croyable....beaucoup plus riche...
Une vraie fortune de monastère ou d’Abbaye, du temps de leur gloire.
Ce qui va vous cpûter le plus c’est la suppression du sucre totalement en tout partout tout le temps : dessert ; sodas ; ketchup alccool.
L’eau....un café sans sucre...un fruit : point.
Pas du tout : vous allez redevenir beau.
Perdre 20 kilos.
Mais surtout vous allez vous débarrasser de....votre banquier
Un effet collatéral : le prêt va devenir inutile.
A dans cent ans !
Enrichissez-vous !
Arrêtez de vous faire piller !
Répondre à ce message