Une note de lecture issue du numéro 68 de la revue Réfléchir & Agir.
Aujourd’hui le fascisme c’est ce mot/concept fourre-tout que les gauchistes ont tous à la bouche.
Souverainistes, policiers, partisans anti-mariage homosexuel et lecteurs de R&A auraient tous pour point commun d’appartenir à ce courant politique né dans les années 1920 en Italie.
Ce nouveau souffle, incarné par Benito Mussolini, s’appuyait sur un style et une doctrine étroitement liés.
La Doctrine du fascisme définit justement les grandes lignes de mouvement qui se voulait être inédit et qui entendait balayer marxisme et libéralisme.
Deux éléments primordiaux : l’État et l’homme fasciste. Ce dernier incarne bien ce « surhumanisme » dont parlait Giorgio Locchi, héritier de la philosophie d’Héraclite et s’incarnant dans la lutte et le combat (on voit ici l’impact de la Première Guerre mondiale sur toute une génération d’hommes).
À noter que la première partie de l’ouvrage est l’œuvre du philosophe Giovanni Gentile, et non pas de Mussolini qui signe donc la deuxième partie de ce livre.
La Doctrine du fascisme est une source d’inspiration toujours d’actualité.
La Doctrine du fascisme de Benito Mussolini,
à lire chez Kontre Kulture !