Je soupçonne qu’une grande partie du public est au moins partiellement consciente lorsqu’elle est poussée ou attirée dans une façon spécifique de penser. Nous avons certainement eu assez d’expériences avec des institutions qui ont essayé de gérer nos pensées au fil des ans. Les gouvernements et les grands médias en particulier ont fait de la fabrication du consentement du public leur priorité absolue. C’est à cela qu’ils consacrent la majeure partie de leur temps, de leur argent et de leur énergie. Toutes les autres questions sont secondaires.
Les médias ne rapportent pas objectivement les faits et les preuves, ils déforment l’information pour planter un récit élaboré dans l’esprit de leurs téléspectateurs. Mais le public n’est pas aussi stupide qu’ils semblent le croire. C’est probablement la raison pour laquelle la confiance dans les médias a chuté de 46 % au cours des dix dernières années, atteignant cette année un niveau historiquement bas de 27 %.
À l’exception des pics de la saison pré-électorale, les grands médias, de CNN à Fox, en passant par CBS et MSNBC, sont confrontés à des chiffres d’audience désastreux, avec seulement 2 à 3 millions de téléspectateurs aux heures de grande écoute. Il y a de nombreux commentateurs sur YouTube qui ont une plus grande audience que cela. Et si vous passez au crible les bribes de vidéos des Médias « Main Stream » (MSM) sur YouTube, vous trouverez peu de visites et une majorité de personnes ne visitent leurs chaînes uniquement que pour se moquer d’eux.
Les MSM s’efforcent maintenant d’expliquer l’effondrement de son empire, tout en débattant des moyens de se sauver de l’oubli. Le pouvoir du « quatrième pouvoir » n’est qu’une façade, une illusion créée par la fumée et les miroirs. En résumé : personne (sauf peut-être les libéraux et les gauchistes extrêmes) n’aime les médias corporatifs ou les journalistes et propagandistes activistes.
On pourrait penser que les magnats des médias et les journalistes l’auraient compris depuis le temps. Je veux dire, s’ils acceptaient cette réalité, ils ne se battraient pas autant avec l’idée que personne ne les écoute lorsqu’il s’agit des obligations autour du Covid-19 et des vaccins. Pourtant, les journalistes s’en plaignent sans cesse ces derniers temps.
En fait, la moitié des reportages que je vois ces jours-ci ne sont pas des analyses factuelles des événements, mais des journalistes corporatifs qui interviewent d’autres journalistes de ces mêmes médias et se plaignent les uns les autres de ce que les Américains sont « trop ignorants » ou « trop conspirationnistes » pour comprendre que les journalistes sont les grands prêtres oints de l’information.
En fait, je trouve cette situation fascinante en tant qu’observateur de l’oligarchie et bien versé dans les mécanismes de la propagande. Le récit fondamental de la culture de contrôle est qu’il y a des « experts » que l’establishment choisit, et puis il y a tous les autres. Les « experts » sont censés pontifier et dicter leur conduite, tandis que tous les autres sont censés se taire, écouter et obéir.
Les élitistes des médias se voient dans le rôle des « experts » et le public dans celui des acolytes dévoués, un fidèle troupeau de moutons. Mais que se passe-t-il lorsque tout le monde commence à ignorer les bergers ?
L’autre jour, je suis tombé sur cette interview révélatrice diffusée par CBS News, concernant un sondage réalisé auprès des Américains, qui montre qu’au moins 30 % d’entre eux refuseront catégoriquement de se faire vacciner contre le Covid-19. L’interview est, pour une raison ou une autre, réalisée par un autre journaliste de The Atlantic qui ne semble pas avoir de références médicales et qui ne comprend pas les données relatives au Covid-19.
Vidéo en anglais, non sous-titrée.
Il convient de noter tout de suite que la discussion elle-même n’aborde jamais les faits réels concernant le virus, la pandémie, les confinements, les mandats ou les vaccins. L’establishment ne cesse de nous dire « d’écouter la science », mais ensuite ils rejettent la science quand elle n’est pas en accord avec leur agenda. Quand les médias dominants vont-t-ils enfin reconnaître des faits comme ceux-ci :
1) Selon de nombreuses études officielles, dont une étude de l’American College of Physicians, le ratio de fatalité de l’infection (ou taux de mortalité) du Covid-19 n’est que de 0,26 % pour toute personne ne vivant pas dans une maison de retraite. Cela signifie que 99,7 % des personnes qui ne sont pas en maison de retraite survivront au virus si elles le contractent.
2) Les patients des maisons de retraite représentent plus de 40 % de tous les décès dus au Covid aux États-Unis. Il s’agit principalement de personnes qui étaient déjà malades et souffraient de multiples pathologies préexistantes lorsqu’elles ont contracté le Covid-19.
3) Les données hospitalières du gouvernement fédéral provenant du ministère de la Santé et des Services sociaux indiquent que la capacité des lits d’hôpitaux est amplement suffisante aux États-Unis et que c’est le cas depuis l’année dernière. Les patients Covid n’occupent qu’environ 13 % des lits d’hospitalisation au niveau national. Les informations diffusées dans les médias sur la surcapacité des hôpitaux due au Covid-19 sont donc inexactes ou carrément mensongères.
4) Des études internationales, dont une étude danoise publiée par l’American College of Physicians, ont prouvé que le port de masques ne fait AUCUNE différence significative dans la propagation ou le taux d’infection du Covid-19. Il est intéressant de noter que les États américains où le port du masque est le plus imposé ont également enregistré les taux d’infection les plus élevés.
5) En mars 2020, le chef du NIAID, le Dr Anthony Fauci, a déclaré ceci à propos du port du masque lors d’une interview dans l’émission 60 Minutes :
À l’heure actuelle, aux États-Unis, les gens ne devraient pas se promener avec des masques…. il n’y a aucune raison de se promener avec un masque. Lorsque vous êtes au milieu d’une épidémie, porter un masque pourrait faire en sorte que les gens se sentent un peu mieux, et il pourrait même bloquer une gouttelette, mais il ne fournit pas la protection parfaite que les gens imaginent, et souvent il y a des conséquences involontaires – les gens continuent à tripoter les masques et ils se touchent le visage.
6) Sur Twitter, en février 2020, le Surgeon General américain s’est exprimé sur le port de masque :
Sérieusement, arrêtez d’acheter des masques ! Ils ne sont PAS efficaces pour empêcher le grand public d’attraper le #Coronavirus, mais si les prestataires de soins de santé ne peuvent pas les obtenir pour soigner les patients malades, cela les met en danger, ainsi que nos communautés !
Le Surgeon General et Fauci ont par la suite changé d’avis sur le port du masque lorsqu’il ne convenait plus au récit de contrôle, et sont maintenant de fervents partisans de l’application du port obligatoire du masque. Les données scientifiques continuent de montrer que le port du masque n’empêche en rien la propagation du Covid-19.
7) Les vaccins Covid de Pfizer et Moderna sont fabriqués à l’aide d’une toute nouvelle technologie qui a fait l’objet de tests limités. Le NIAID a effectué des tests minimaux sur des souris, mais ces souris n’étaient PAS d’un type normalement susceptible de contracter le Covid-19 comme le sont les humains. Ces tests étaient totalement inadéquats, mais les vaccins à ARNm ont tout de même été autorisés à être utilisés par les humains.
8) Les nouveaux vaccins ne contiennent pas le virus qui déclenche le Covid-19, comme le ferait un vaccin classique. Au lieu de cela, les chercheurs de Moderna et de Pfizer ont utilisé une nouvelle technique pour fabriquer de l’ARN messager (ARNm), qui est similaire à l’ARNm présent dans le SARS-Cov-2. En théorie, l’ARNm artificiel agira comme des instructions qui inciteront les cellules humaines à fabriquer une protéine présente à la surface du virus. Cette protéine devrait théoriquement déclencher une réponse immunitaire protectrice. L’ensemble des efforts déployés pour le vaccin du Covid-19 a été essentiellement un raccourci géant. Ce n’est pas un avantage, car les effets à long terme de tout vaccin, d’un an à cinq ans, puis à dix ans, devraient être compris avant qu’il ne soit injecté à des êtres humains.
9) Plusieurs professionnels de l’industrie médicale, dont l’ancien vice-président de Pfizer, ont signé une pétition mettant en garde contre les nouveaux vaccins à ARNm. Ils affirment que des tests beaucoup plus poussés sont nécessaires avant d’exposer les humains, et ils préviennent que les vaccins peuvent provoquer de graves réactions auto-immunes, voire l’infertilité.
10) De nombreux sondages montrent également qu’au moins 30 à 50 % des professionnels de la santé, y compris les infirmières et les médecins, prévoient également de refuser les vaccins. Ces personnes risquent de perdre leur emploi, mais elles n’accepteront pas pour autant le vaccin. C’est dire à quel point les vaccins à ARNm peuvent être potentiellement dangereux ; la santé à long terme est plus importante que les risques à court terme.
Lorsque tous ces faits sont pris en compte, ainsi que de nombreux autres que je n’ai pas la place de mentionner ici, il n’est pas si farfelu que des millions d’Américains soient sceptiques à l’égard des obligations médicales et de la vaccination par rapport au Covid-19.
Pourquoi devrions-nous nous inquiéter de nous faire vacciner contre un virus auquel 99,7 % de la population survivra sans difficulté ? Pourquoi devrions-nous autoriser les fermetures économiques, les passeports médicaux ou la recherche invasive des contacts, et encore moins une pandémie à laquelle moins de 0,3 % de la population est sensible ? En outre, pourquoi devrions-nous nous porter volontaires pour être les cobayes d’une nouvelle technologie vaccinale sans savoir quelles en seront les conséquences à long terme ?
Même si le Covid-19 représentait un danger légitime, aucune crise ne justifie que l’on abandonne nos libertés civiles pour y répondre.
Le récit de base de l’establishment est le suivant :
Le Covid-19 est une menace existentielle pour le public, par conséquent, nous sommes justifiés de priver les gens de leurs libertés, de leur économie et de leur vie privée. C’est pour le plus grand bien du plus grand nombre. La vaccination est infaillible et ne peut être remise en question. Les « experts » sont infaillibles et ne peuvent être remis en question. Ce n’est pas votre corps et ce n’est pas votre choix. Votre corps est la propriété du gouvernement et si vous ne prenez pas volontairement des injections de n’importe quel cocktail expérimental que nous vous donnons, alors nous continuerons à éroder vos libertés jusqu’à ce que vous cédiez et vous soumettiez. Puis, une fois que vous vous serez soumis, vos libertés ne vous seront cependant pas rendues.
Ce n’est pas vraiment un argument convaincant pour beaucoup de gens.
Les médias comme CBS mentionnent rarement la question générale du contrôle et de l’oppression liés à la réponse à la pandémie, tout comme ils n’abordent jamais les faits qui vont à l’encontre de leur message. Ce qu’ils feront, c’est déformer la situation afin d’obtenir la conformité. Le journaliste de The Atlantic l’admet dans l’interview ci-dessus, affirmant que les médias, en particulier, doivent modifier leur message pour mieux inciter les gens à se faire vacciner. En d’autres termes, les gens sont plus faciles à manipuler lorsqu’ils sont amenés à penser qu’il y a plus à gagner en se soumettant qu’en se rebellant.
Le système de passeport médical est la personnification de la fausse incitation. Les médias présentent l’idée que personne ne sera « forcé » de prendre les vaccins ; mais ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que sans le vaccin, ils n’obtiendront pas de passeport médical, et sans passeport médical, ils seront coupés de l’économie normale. Vous pouvez ne pas être vacciné, mais vous serez puni par la pauvreté et l’absence d’accès jusqu’à ce que vous cédiez.
Ma question est la suivante : pourquoi se soucient-ils tant du fait que les gens ne veulent pas ou ne font pas confiance au vaccin ? Pourquoi sont-ils si obsédés ? Si le cocktail d’ARNm fonctionne réellement et ne constitue pas un danger pour la santé, alors ils devraient être parfaitement à l’abri de l’infection. L’idée que les personnes qui refusent sont un danger pour les autres est absurde.
Si l’on commence à parler de « mutations » potentielles qui contournent les protections vaccinales, alors pourquoi prendre un vaccin ? Si les mutations sont réellement une menace et ne sont pas entravées par les vaccins actuels, alors prendre un vaccin maintenant est inutile.
Et, pourquoi ces tentatives constantes de division du public ? CBS et The Atlantic utilisent un stratagème évident pour affirmer que les Américains noirs et bruns ont des raisons différentes de refuser d’obtempérer par rapport aux conservateurs apparemment blancs. Pourquoi supposent-ils que les Noirs et les bruns ne sont pas conservateurs ou que nous n’avons pas de nombreux intérêts en commun ? Cela n’est jamais expliqué ou soutenu.
Enfin, comme toujours, les médias cherchent à faire passer pour des « fous du complot » tous ceux qui ne sont pas d’accord avec l’ordre du jour dominant, présentant des arguments fallacieux tout en ignorant tous les arguments légitimes en faveur de la liberté. La RÉALITÉ de la conspiration existe, et aucun de ces journalistes ne survivrait à un débat sur un pied d’égalité avec ceux d’entre nous qui font partie des médias alternatifs lorsqu’il s’agit du Covid-19 et des vaccins.
La mentalité de harcèlement des médias et du gouvernement à l’égard des personnes sceptiques sur les restrictions du Covid-19 et des vaccins est troublante. Ils agissent davantage comme des ex-copines délaissées de psychopathes que comme des personnes soucieuses de sauver des vies. Cela me faire dire qu’ils ont peur. Leur programme est incertain, et ils ont des doutes. C’est une bonne chose.
Au fond, le Covid-19 est un non-sujet qui a été gonflé en une crise aux proportions épiques par le biais de la narration et de la vérification sélective des faits. Des millions de personnes dans le monde meurent chaque année d’une myriade de maladies, dont certaines sont aussi infectieuses que le Covid-19. Nous n’arrêtons pas nos vies, ne portons pas de couches sur nos visages, ne nous injectons pas de cocktails non testés modifiant les cellules et ne sacrifions pas nos libertés pour autant. La vie, la liberté et la poursuite du bonheur continuent. Ceux qui souhaitent nous priver de notre autodétermination dans ces domaines sont la vraie menace, pas le Covid-19.