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Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la rue

La propagande et le fouet ne suffisent plus

 

 

 

 

Le gouvernement avait donné ses consignes à la presse collabo, privée et publique : les anti-réforme des retraites sont des privilégiés qui luttent contre la solidarité nationale, contre la justice sociale. La presse a consciencieusement relayé la parole divine, mais il faut croire que les Français n’écoutent plus trop le chant des sirènes oligarchiques : ils étaient au moins un million dans les rues des grandes villes pour clamer leur résistance, non pas contre une retraite plus juste pour tous, mais contre le néolibéralisme destructeur de tout ce qui a été construit socialement en France depuis 1936, en passant par le CNR de 1945, le Grenelle de 1968 et les acquis de 1981.

 

 

Mine de rien, la France est encore un pays d’ouvriers (20 %) et d’employés (27 %), malgré l’augmentation progressive du nombre de cadres (18 %) et de professions intermédiaires (26 %). Si on ajoute les indépendants qui sont leur propre patron ou leur propre employé, on dépasse allègrement les 50 % de Français frappés par la crise. Crise des revenus, qui stagnent, et des projections dans un avenir incertain. Le chômage touche trois à quatre fois plus les employés et les ouvriers que les cadres et l’échec scolaire est quatre fois plus important chez les enfants d’ouvriers que chez les enfants de cadres. De plus, une majorité d’enfants d’ouvriers et d’employés seront eux-mêmes ouvriers ou employés : on le sait, l’ascenseur social est bloqué.

 

 

Que ce soit à cause de la mondialisation ou des mesures néolibérales, qui sont censées aligner le pays sur les nouvelles normes de la mondialisation – ce qui arrange bien ceux qui en profitent –, ce sont grosso modo toujours les mêmes qui payent pendant la crise, et qui payent au sens propre et au sens figuré. Il fallait bien que ça pète un jour, et ça a pété, un 17 novembre 2018. Un an plus tard, le 5 décembre 2019, au tour des centrales syndicales d’embrayer sur le mouvement des Gilets jaunes, qui avaient un peu perdu la foi, au moment où une réforme des retraites s’abat sur les 29 millions d’actifs, dont 6 millions de demandeurs d’emploi.

 

 

Malgré les calculs aussi grossiers que tordus du néolibéral Reynié, les Français ont bravé le froid et la peur des coups d’une police chauffée à blanc pour défiler autant sinon plus qu’en 1995.

 

 

Si les économistes à la solde de l’oligarchie leur crie du matin au soir qu’ils ont tort de manifester, que cette réforme est bonne et juste, les Français ne les croient plus sur parole : ils sentent qu’on est en train de les déposséder de quelque chose, et ce quelque chose est la confiance dans l’avenir. L’objectif profond de la soumission du pays aux forces néolibérales c’est que chacun soit inquiet pour son présent et son avenir, et achète de la sécurité : sécurité physique, sécurité sanitaire, sécurité sociale, mais privées cette fois. Les grands groupes sont à l’affût de la dérégulation des nos grands ensembles sociaux :

 

 

En général, ceux qui veulent vous arnaquer vous rassurent. Et quand ils voient que ça ne marche pas, ils vous cognent dessus. C’est exactement la stratégie de Macron et ses sbires : endormissement et répression. Question répression, les vieux militants CGT habitués à des manifs pépères ont été surpris : la police a cogné, gazé et chargé comme s’il s’agissait de vulgaires Gilets jaunes :

 

 

Pour bien équilibrer et montrer que les manifestants (pacifiques à 99 %) étaient de potentiels criminels, les sempiternels supplétifs de la police ont commencé à casser pour amalgamer le mouvement à de la violence aux yeux du grand public spectateur.

 

 

Pas la peine de s’étendre sur cette manipulation digne des polices politiques les plus collaboratrices. Tous les manifestants ne sont pas des casseurs, mais depuis les 53 samedis en jaune, certains savent se défendre contre la violence oligarchique :

 

 

On sent que ces épisodes peuvent basculer dans quelque chose de plus violent. La surdité du pouvoir, qui n’est soutenu que par une minorité silencieuse et des forces de police qui sont en train de perdre l’appui et le respect du peuple, qui joue le pourrissement comme Thatcher contre les mineurs dans les années 80, fait monter les tensions. Le Premier ministre lâchera un peu de lest, devant l’ampleur de la contestation, mais la réforme – ou plutôt la dérégulation – des retraites sera actée. Car le MEDEF le veut, les grands groupes d’assurances le veulent. La voix de millions de Français compte moins que celle de Geoffroy Roux de Beyzieux ou du nouveau PDG d’Axa. La démocratie n’est que le masque de cette dure réalité économique.

Avec le niveau de conscience politique qui est monté, avec le réveil de l’action syndicale et non syndicale, la soumission de la France à l’ordre mondialiste devient plus difficile pour ceux qui ont mis la main sur notre État pour lui ôter sa fonction première : la protection de la Nation et des Français. Les médias collabos continuent à essayer de formater l’opinion, mais le rejet de ces médias est logiquement monté d’un cran. Il ne s’agit pas de violence anti-médias mais bien d’un rejet du mensonge oligarchique.

 

 

Pour l’instant, l’opinion, qui est en recherche de stabilité est de paix, n’a pas encore basculé dans la résistance à la stratégie du chaos.
Pour l’instant.

Bonus : les photos de la manif

Le 5 décembre, sur E&R :

 






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62 Commentaires

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  • #2337140

    Si ces braves gens nous avaient suivis nous GJ, cette putain de réforme et d autres jolis cadeaux de l Ue du genre droit du travail, ou plutôt négation du droit au travail ne seraient JAMAIS passés.

     

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  • Enfait ... c’est une vieille histoire, une histoire aussi vieille que l’humanité. Le désir et le besoin d’esclaves.

    Mais on ne peut plus appeler un esclave un esclave aujourd’hui (en israfrance tout du moins). Ils doivent habiller la merde de grands principes, de jolies mots auquels plus personne ne crois...

    Mais on en est la c’est tout, les esclaves et les maîtres, qui sèrrent lentement la vis.

     

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  • Hier soir face à Maffesoli, Zemmour m’a déçu : il a parlé de la "légitimité" de Macron ! Comme si un Président choisi par 1/4 des électeurs au premier tour pouvait être "légitime" ! Il est aussi "légitime" que les 350 députés de LREM qui ne serait que 200 s’il n’y avait eu qu’un premier tour ! Ce qui DELEGITIME l’Assemblee Nationale et le "Président", c’est l’arnaque du scrutin majoritaire à deux tours . Mais de cela Z n’en parlera jamais, comme il ne demande jamais le retour de la proportionnelle, c’est à dire la suppression du deuxième tour, en bon sioniste qu’il est .

     

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  • #2337269

    Minimum 1 500 000 patriotes !
    Ca continue agréablement de se réveiller !
    Concernant cette magnifique affluence, Goldnadel (plutôt Woodnadel actuellement) était tout blanc suite à ce que Pascal Praud l’ait poussé gentiment mais étonnamment voire vaillamment dans ses retranchements...
    Lol x 1milliard

     

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  • #2337435

    Quelle comédie ! Cette réforme des retraites a déjà été signée dans le dos des manifestants par les responsables syndicaux, qui ont tous appelé à voter Macron en 2017 pour faire "barrage au fascisme". Et parmi ces manifestants, combien ont voté Macron en 2017 ? Et combien recommenceront en 2022, pour dire "Non à la haine" ?

     

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    • Étant donné qu’il m’a fallu plusieurs années par de laborieuses et parfois passionnantes lectures, pour passer de "gauchiste" (héritage scolaire) à "droitard" (-complotiste réfractaire),
      je dirais que d’ici à 2022, 1 ans et demi à peu près, ça laisse peu de temps à beaucoup pour s’éveiller.
      Donc le Non à la Haine, c’est-à-dire le Oui à Jupiter devrait l’emporter - c’est peut-être pour ça que le logo des JO est le symbole de Jupiter, en 2024, mais se sachant réélu...

      En fait si "gouverner c’est prévoir", comme vous dites, tout est déjà planifié, et signé. La machine médiatique d’orientation des esprits fait ensuite le reste au moment opportun !
      Bonne méthode puisque comme le soulignait Soral, plus on approche du sommet de la Pyramide, plus les choses s’accélèrent et s’interconnectent, tout se met en place, et il s’agit de ne pas perdre de temps avec le Peuple (qui de toute façon n’est pas "luthérien").

      Ces petites chevauchées constituantes GJ sont sympas mais... Comment attirer l’attention du troupeau tout entier ?

       
  • #2337522
    Le 7 décembre 2019 à 10:48 par Tortue géniale participative
    Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la (...)

    "Car le MEDEF le veut, les grands groupes d’assurances le veulent. La voix de millions de Français compte moins que celle de Geoffroy Roux de Beyzieux ou du nouveau PDG d’Axa. La démocratie n’est que le masque de cette dure réalité économique."

    La réalité économique c’est que le système de retraites français par répartition est un SYSTEME DE PONZI. Promettre une retraite aux gens sans leur demander de cotiser biologiquement en faisant des enfants condamnait dès le départ ce système à la faillite complète.
    N’importe qui peut le comprendre, il suffit de savoir lire une pyramide des âges.
    Le stress financier pour l’État devient intense car les Boomers partent désormais en masse en retraite. La grande transhumance a démarré en 2010 et va aller en s’accélérant radicalement jusqu’en 2040 et Delevoye le haut-commissaire aux retraites a d’ores-et-déjà déclaré que nous aurons besoin de dizaines de millions d’immigrés du Tiers-Monde pour maintenir le statut-quo le plus longtemps possible.
    la France consacre déjà 15% de son PIB aux retraites des vieux alors qu’ils pèsent 17% de la population. Ce chiffre doublera d’ici 25 ans, aucune économie de quelque pays que ce soit ne peut survivre à ça sans faire exploser son endettement comme est en train de le faire le Japon avec 250% de dette sur PIB.
    Les babyboomers seront punis d’adhérer aux sophismes du système.
    Ils avaient le choix entre être un minimum nationaliste pour préserver les générations futures tout en bénéficiant de la dynamique économique au lendemain de la guerre 39/45 mais ils ont préféré l’hédonisme soixante-huitards (+ la loi sur l’avortement en 1975) en acceptant tout des “forces libres du marché” au nom du “sens de l’histoire”.
    Ils se sont fait cigale la veille de l’hiver démographique par un système économique basé uniquement sur de la dette tout çà pour partir en croisière chaque année.
    Cette génération, par pur égoïsme, va laisser à ses petits-enfants un champ de ruines.
    Macron n’y est pour rien, c’est juste un jeune avec des idées de vieux qui échouera comme les autres car le système est inamendable et totalement irréformable. En attendant, il s’en fout totalement. Il en a même besoin, de ce cirque sous viagra. Pour dire aux créanciers internationaux à quel point c’est un réformateur courageux.

     

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    • Promettre une retraite aux gens sans leur demander de cotiser biologiquement en faisant des enfants condamnait dès le départ ce système à la faillite complète.
      N’importe qui peut le comprendre..



      Faux !

      La source de financement des retraites ne doit pas uniquement provenir des cotisations. Cela peut aussi se faire par de la création monétaire.

      En 2008 la caisse de retraite américaine AIG a été financée par un Quantative Easing de 182 milliards de $.

      Il faut arrêter d’écouter BFM, LCI et Cnews qui se gardent bien d’évoquer la rareté monétaire pour le peuple d’en bas ( et non pas pour les banques et la bourgeoisie comprador).

      « Si la population comprenait le système bancaire et bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. » Henry Ford (1863 - 1947)

       
    • Je ne serai pas aussi dur que vous, mais je vous rejoins sur l’essentiel. Tout comme d’ailleurs le mot de MLP : il nous faut des emplois et des enfants. Le retour au réel quoi ! Le reste n’est que parole et manipulation de symboles.

       
    • #2337804
      Le Décembre 2019 à 16:47 par Tortue Géniale Participative
      Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la (...)

      @Deca

      "La source de financement des retraites ne doit pas uniquement provenir des cotisations. Cela peut aussi se faire par de la création monétaire."

      Certe, c’est exactement ce que font les américains (depuis 2010) et les japonais (depuis la fin des années 90) mais eux ont la maîtrise de leur monnaie contrairement aux français qui ont l’euro (euro que ces mêmes boomers veulent absolument garder) donc dépendent de Francfort (donc en réalité de la Bundesbank allemande). De plus les pays que je viens de citer n’ont pas de système par répartition stricto sensu pour financer les pensions des vieux, donc il faut déjà savoir de quoi on parle. Dans un système par répartition vous ne débauchez pas la monnaie, vous laissez les actifs payer pour la dépendance des vieux. Notre problème - cela ne vous aura pas échapper - est qu’il y a de moins en moins d’actifs pour financer de plus en plus de retraités.
      En attendant vu le niveau de compétence de nos chers énarques je ne leur confierai pour rien au monde la planche à billets pour financer les retraites, ces cons seraient capables d’embaucher encore 10 millions de fonctionnaires supplémentaires s’il pouvaient faire tourner les rotatives, achevant ainsi la soviétisation de notre pays déjà bien mal en point.
      De toute façon, la question des retraites ne concerne pas les vieux, qui eux se déplacent massivement pour aller veau-ter, donc Macron ne prendra pas le risque de contrarier les vieux en baissant fortement leurs pensions s’il veut avoir une chance d’être ré-élu.
      Ceux qui vont se faire saigner ce sont les jeunes générations qui verront leur salaire davantage amputés pour financer les pensions et qui devront côtiser jusqu’à 68 puis 70 puis 72 ans etc ...

       
    • @ Tortue géniale participative



      Dans un système par répartition vous ne débauchez pas la monnaie, vous laissez les actifs payer pour la dépendance des vieux.



      C’est du pipeau !

      Un système par répartition stricto sensu est impossible à tenir. Il a vocation à être complété par de la création monétaire, à condition que les gouvernants en aient la volonté et qu’ils rétablissent la souveraineté monétaire de la France.

       
    • #2337892
      Le Décembre 2019 à 18:28 par Tortue géniale participative
      Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la (...)

      @Déca

      "Un système par répartition stricto sensu est impossible à tenir."

      Evidemment qu’il est impossible à tenir, c’est d’ailleurs pour ça que l’immense majorité des pays développés ne l’ont pas adopté et lui ont préféré un système par capitalisation (système qui a aussi ses contraintes).
      Quant à payer les pensions retraites qui sont des dépenses de fonctionnement (et non d’investissement) avec la planche à billets, ça marchera quelques temps puis vous ruinerez les épargnants car vous allez déprécier la monnaie à une vitesse fulgurante comme sont en train de le faire les nippons (jetez un oeil au graph Or vs Yen depuis 1999, plus le temps passe et plus les japonais s’appauvrissent, leur banque centrale est devenu un gigantesque hedge-fund rempli de créances pourries). Tôt ou tard il y a toujours une contrepartie, vous ne pouvez pas monétiser x% du PIB en espérant vous en sortir sans anicroches car à terme c’est la République de Weimar.
      De plus nos politiciens adorent les solutions de facilité et une fois le doigt dans le pot de confiture c’est terminé, Game Over. Demandez aux Allemands (population la plus vieille d’Europe) s’ils seraient d’accord pour monétiser les pensions-retraites.

       
    • #2340039
      Le Décembre 2019 à 18:00 par alderic-dit-le-microbe
      Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la (...)

      @ Tortue géniale participative

      Le capitalisme est impossible à faire fonctionner. On est contraint à faire des produits de merde ( on dit obsolescence programmée en politiquement courreck ) pour soutenir l’escroquerie monétaire.

      Et pourtant, tu t"y accroches comme une pute à son mac. T’es obsolète machin.

       
  • #2337609
    Le 7 décembre 2019 à 12:40 par Enrico Machiasse
    Résistance au néolibéralisme : plus d’un million de Français dans la (...)

    Et c’est eux !! qui traitent Soral, grand défenseur de la France et de ses valeurs, de facho. La caravane passe......

     

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  • #2338364

    Pas sûr que la grève générale soit la solution, car tout ce qui affaiblit la France est recyclé par nos "élites" traîtres pour leurs propres intérêts et bénéfices (ils délocaliseront, ils privatiseront, ils vendront).
    C’est un jeu où ils gagnent à tous les coups.

    Il est peut-être plus efficace de construire à côté, entre nous.

    Par exemple, pour les retraites, on pourrait :
    - élire des dépositaires, chez lesquels il y aurait un coffre fort (ce pourrait être le maire du village par exemple) ;
    - on mettrait ainsi en œuvre le système par répartition, à l’échelle locale ;
    - on organiserait bien-sûr des contrôles réguliers (ouverture du coffre, inspection des comptes) ;
    - une péréquation pourrait être mise en place dans un deuxième temps.

    Un tel système échapperait totalement à l’emprise des bourgeois-traîtres.
    (Toutefois il faudrait garder secrets les emplacements précis des coffres forts pour éviter une vaste descente de police sur toute la France.)

     

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  • #2338611

    Bonjour,
    je réside de l’autre côté de l’Atlantique, mais j’ose faire 2 commentaires. Le 1er est une observation et le 2e pourrait, peut-être, être considéré comme une source d’inspiration.
    1er : les forces de police ne semblent pas avoir utiliser les flash ball défigurantes et démembrantes. Il y a donc :
    - les manifestations qui risquent d’être présentées dans le journaux du monde entier = coups de matraque seulement,
    - les manifestations passées « inaperçues » des gilets jaunes (aucun suivi dans notre actualité locale et nationale outre-Atlantique, sinon dénigrement et mépris des manifestants) = briser les manifestants sans retenue. À se demander d’ailleurs si ces snipers sont français.
    2e : lors d’une manifestation suivant la victoire ultime d’une de nos équipes de hockey, des casseurs se sont mis à briser des commerces et mettre la ville sans dessus-dessous. Surprenant, mais des citoyens se sont spontanément regroupés et ont neutralisé les casseurs. Histoire de reprendre le contrôle.

    Finalement, merci à M. Soral et compagnie ainsi qu’à tous les libres penseurs qui permettent une délivrance d’esprit et la restauration de la vérité.
    Que la paix soit avec vous.

     

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  • #2339444

    Bonjour,
    La belchic avait un système par capitalisation. Ce compte se trouvait à la CGER (caisse générale d’épargne et de retraite) . Cette banque disparu par magie ainsi que ce compte.

     

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