Victor Michael Dominello est un homme politique australien, membre de l’Assemblée législative de la Nouvelle-Galles du Sud pour le Parti libéral depuis 2008 et plusieurs fois ministre. Cet homme fort recommandable, donc, partisan de la vaccination, bien sûr, s’est fait lui-même vacciner. Mais voilà, peu de temps après, lors d’une apparition télévisée, les Australiens ne purent que constater les premiers symptômes d’une paralysie de Bell. Bien sûr diagnostiquée officiellement sans aucun rapport avec le vaccin.
Mais l’aveuglement des pro-vaccins étant sans limite, comme la connerie humaine, c’est le même Victor Dominello, la tronche en biais, fier de son code QR, qui tweeta ce 23 août :
MISE À JOUR - Carte d’enregistrement #inclusion du ServiceNSW Jusqu’à présent, nous avons reçu 111 608 demandes de cartes de clients et la carte a été utilisée plus de 4 500 fois.
Un grand merci à tous ceux qui ont partagé leurs expériences et leurs vœux de rétablissement à la suite de mon diagnostic de paralysie de Bell.
UPDATE - ServiceNSW check-in #inclusion Card
So far we have received 111,608 customer card requests & the card has been used over 4,500 times.
A profound thank you to all who have shared experiences and well wishes for my diagnosis of Bell’s Palsy
See https://t.co/w7Ul8Pl26B pic.twitter.com/C0V2G5fU3k— Victor Dominello MP (@VictorDominello) August 22, 2021
Le covidisme est une religion. Comme Winston Smith (1984, George Orwell) qui apprenait de force que la somme 2+2 était égale à 5 – et qui finit par l’admettre –, la majorité des populations occidentales ont oublié toute logique. En effet, ils se font vacciner pour être protégés mais s’inquiètent des non-vaccinés. Pourtant, étant contaminateurs et devant porter le masque comme le rappelle les clips gouvernementaux, ce sont bien les vaccinés qui sont une menace pour les non-vaccinés :
Et pourtant, c’est en stigmatisant les non-vaccinés que les gouvernements les poussent à se faire inoculer leur philtre mystérieux, pour éviter l’exclusion sociale. Dès lors, notre société exclut les exclus et favorise la majorité dominante, en parfaite contravention avec tous ses discours antérieurs de tolérance et d’inclusivité maximale. La logique a parfaitement disparu de tous les sermons covidistes, l’émotion et la puissante machinerie médiatique l’ont définitivement écartée, sans que cela ne choque plus personne.
C’est comme cela que l’on a fabriqué des zombies qui ont renoncé, par bêtise crasse, par convention et/ou pression sociale, par petit confort personnel (bar, restaurant, voyages) ou simplement par renoncement, à se battre.
Et puisque les populations vont à l’abattoir de leur propre chef, s’inoculant un vaccin en phase expérimentale pour une maladie dont ils ne risquent rien (hors grand âge ou comorbidités), ils peuvent désormais brandir fièrement leur code QR pour aller sagement consommer comme le petit enfant fait là où on lui dit et quand on lui dit.
Visionnaire malgré lui, un Italien a précédé le puçage à venir, en se faisant tatouer sur le bras son code QR :
Et sa première action fut de tester son nouveau jouet corporel au McDonald’s, bouclant la boucle de sa stupidité de consommateur futuriste :
Une question dès lors nous turlupine : à partir de la combientième dose de vaccin les covidistes vont-ils commencer à tiquer ? À partir de la combientième vague ces mêmes moutons vont-ils se mettre à sourciller, l’œil certes toujours un peu vitreux, mais soudain interrogateur ?
Quand une civilisation en est arrivée à ce niveau-là, on se demande si finalement, comme le disait un de nos précédents papiers qui citait le Dr Cahill, il ne serait pas sain que « 90 % des vaccinés [soient] morts d’ici deux ans ». Ça se discute.