De telles forces ont toujours existé dans l’univers. Toutefois elles se densifient actuellement à un point tel que quasi plus personne ne peut y échapper. On les perçoit et les subit dans maints domaines de l’existence. Le totalitarisme sévit d’autant plus que ses tentacules s’imbriquent les uns dans les autres, reliant différents secteurs.
Commençons par un concept encore peu usité : La dictature de l’hygiène :
Cette dictature présente trois caractéristiques radicalement nouvelles qui la démarquent de celles du passé :
La première de ces caractéristiques est qu’elle est mondiale.
La deuxième est que l’immense majorité des esclaves et des opprimés, donnent raison à leurs maîtres.
La troisième (qui est aussi la plus importante) est que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous avons à faire à une dictature qui évolue dans un cadre culturel essentiellement athée.
Elle se manifeste entre autres par l’obligation du port du masques, lequel s’appuie sur le principe de protection, sans les nuances réelles qui devraient tenir compte de toutes ses conséquences sanitaires délétères comme des agents pathogènes dangereux ou la présence de graphène.
Le totalitarisme infiltre le mental : avoir un pass pour pouvoir voyager est devenu pour beaucoup la raison de se faire « vacciner ». Et pourtant, avec un tel argument, on escamote un facteur fondamental dans la « vaccination » à savoir la nature des produits inoculés dans l’organisme. De plus, celui-ci n’est pas adapté à une telle mixture ; par conséquent, il s’y adapte tant bien que mal avec les résultats allant du désagrément « normal » au décès à court terme, à quoi s’ajoutent des effets secondaires à long terme encore très peu évalués.
Nous subissons aussi le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Un million de personnes doivent toutefois encore être vaccinées avant que toutes les mesures puissent être levées.
Nous savons bien que comparaison n’est pas raison ; toutefois, le même ministre affirme :
« Au Portugal, le pass sanitaire a été levé. La situation n’y est toutefois pas la même. Le scepticisme face aux vaccins est quasiment inexistant contrairement à la Suisse. De quel droit affirme-t-il que le scepticisme est quasiment inexistant alors qu’il ne vit pas parmi ce peuple ? Les Portugais ont été soumis depuis février 2021 au coordinateur de l’équipe en charge de la campagne de vaccination un militaire de 60 ans qui a su accélérer le rythme et faire face, droit dans ses bottes, aux antivaccins – certains l’accusant d’être un “assassin”. Une confrontation avec ces derniers, survenue à la mi-août à l’entrée d’un centre de vaccination pour adolescents, l’obligeait depuis à être placé sous protection policière. »
D’un autre côté, la population avait peut-être un taux de confiance innée qui l’a faite adhérer au programme ou alors elle ne sait pas encore s’affirmer ? Pour ma part, je connais deux Portugaises qui ont choisi, ce mois-ci, de faire le voyage de Suisse à leur pays natal en voiture afin de ne pas passer par la vax obligatoire. En outre, notre ministre ne mentionne nullement le résultat sanitaire – effets secondaires, voire mortels –, mais seulement le % des vaccinés. Alors quelle leçon en tirer ? Il est temps de renouer avec la réalité vivante en-deçà des chiffres, qu’il s’agisse des « vaccinés » ou des effets secondaires. Comme on peut l’entendre ici, il y a une forme d’omerta sur les effets indésirables des injections covid. En voici un exemple en vidéo : Une députée autrichienne, s’évanouit au Parlement après sa vaccination. À quoi s’ajoute la modification du micro-organisme sous l’effet des inoculations géniques.
À noter aussi que « pour augmenter le taux de vaccination, le gouvernement helvétique a lancé une nouvelle offensive. Il entend notamment rendre aussi simple que possible l’accès aux vaccins. Il faut éviter qu’une personne ne doive faire une heure en transports publics ou en voiture pour pouvoir tendre l’épaule ». Ainsi, on cherche à persuader les gens avec un argument pratique et matériel comme si leur santé ne dépendait pas d’abord du bien-fondé de la démarche « vaccinale ». Cette offre, remplace-t-elle l’enseignement pour un consentement éclairé ?
Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qu’il lui convient : c’est pourtant simple : il suffit de « suivre la science » et tout rentrera dans l’ordre, n’est-ce pas ? Cependant, à mesure que les semaines et les mois passent depuis le début de la pandémie, il devient difficile de savoir qui « suit la science », et qui choisit plutôt de suivre un agenda politique de plus en plus liberticide, autoritaire voire carrément dictatorial.
Le totalitarisme en sciences impose aussi son diktat pour des recherches définies en fonction des gains économiques. Pas besoin de développer le sujet quand on constate les milliards investis pour le développement de la « thérapie » génique actuelle. Et tant que le filon fonctionne, alors on poursuit la recherche dans la même direction : un Bâlois veut mettre fin à la pandémie avec un nouveau vaccin.
L’esprit totalitariste s’impose en médecine : les médecins ne peuvent plus prescrire en leur âme et conscience. De plus, ils sont sommés d’être les hauts-parleurs des gouvernements pour l’expansion de la « vaccination anticovid ». Certains ont gardé leurs forces intérieures et savent se dresser par divers moyens.
Le totalitarisme d’une décision sanitaire : on vous avait bien dit que le vaccin était un abonnement. Et que souligne fort justement une commentatrice : « le vaccin obligatoire est une forme d’impôts sur la santé avec une créance à régler tous les six mois aux entreprises et lobbies pharmaceutiques. » Et un commentateur précise : « Ce n’est pas un abonnement à vie à un pseudo-vaccin, mais un abonnement à vie à un traitement “médical” à la finalité non définie pour avoir le droit de vivre “normalement”. »
Le totalitarisme des motivations et des intentions gouvernementales
Ces gouvernements imposent aux individus des contraintes absolues pour les toucher le plus profondément possible, dans leur corps, leurs finances et leurs engagements professionnels. Ils décident même de priver les hôpitaux des leur personnel et les malades de leurs soignants : Obligation vaccinale : 15 000 soignants suspendus selon le ministère. Même les enfants à naître en subissent les conséquences : « À l’hôpital Delafontaine, l’annonce de la fermeture de plusieurs lits en salles de naissance a fait déborder le vase pour les sages-femmes en sous-effectif dans tout le département. »
En réponse au totalitarisme du gouvernement, le peuple répond par le totalitarisme de ses réactions : Italie, le 15 octobre, les dockers de Trieste bloqueront le port pour protester contre le laissez-passer sanitaire. Autres blocages annoncés.
Le totalitarisme devient hors sol : les Russes sont complètement sidérés par la stupidité suicidaire de l’Occident. Un Washington arrogant a littéralement perdu le contact avec la réalité.
Le totalitarisme s’appuie sur des incohérences : le film D’abord ne pas nuire apporte des témoignages de tous horizons pour pointer les incohérences, comme, entre autres, le fait de vouloir à tout prix vacciner les jeunes enfants, et femmes enceintes, alors qu’en temps normal il existe tant de contre-indications pour elles, que ce soit pour les médicaments… ou l’alimentation…
Et disloque le corps social : les élites sont déconnectées du corps social et sont devenues toxiques. Elles privilégient les intérêts privés à l’encontre de ceux de la population.
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Le totalitarisme des promesses : le pass sanitaire promis n’est pas à vie, quoique… Un chercheur constate qu’il aura « fallu moins de dix-huit mois pour passer d’une simple application de suivi de l’épidémie (facultative et basée sur le volontariat) à un pass sanitaire, obligatoire de fait, et nécessaire à l’exercice de plusieurs de nos libertés fondamentales théoriquement inaliénables et constitutionnellement garanties ».
Le totalitarisme des techniques de propagande : les chefs militaires ont vu dans la pandémie une occasion unique de tester des techniques de propagande sur les Canadiens, selon un rapport des Forces armées.
Le totalitarisme dans l’analyse psychologique de ceux qui respectent les besoins naturels de leur corps : Les vaccino-sceptiques, un peuple d’irréductibles ? Ne pourrait-on pas parler plutôt d’incompatibles avec une inoculation génique ? De fait, les vaccino-sceptiques ont parfois des arguments très terre à terre. À l’heure où médecins et politiciens donnent toujours plus de voix pour encourager la solidarité sanitaire, comment justifient-ils leur défiance ? Je n’ai pas entendu de politiciens et pas davantage de médecins s’intéresser aux pouvoirs biochimiques et biophysiques de ces produits géniques ainsi que de leurs interactions avec les multiples composants des organismes qui les subissent par l’intrusion forcée avec une aiguille. Contrairement à ce que le journaliste avance, un autre auteur révèle que Les plus instruits sont les plus vaccino-sceptiques. Une nouvelle étude a révélé que les plus instruits sont les moins susceptibles de se faire piquer.
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La dynamique totalitaire se répand dans le fonctionnement des humains qui prennent des décisions absolues : ici, le totalitarisme des êtres désespérés : Le Pentagone révèle que les soldats américains meurent plus de suicide que de covid.
En Europe, le constat est grave aussi, on se pose la question : la crise sanitaire favorise-t-elle les suicides ? Sur le terrain, les pédopsychiatres signalent une situation qui leur semble très inquiétante. « Mars a été le pire mois de l’année (…) des collègues me décrivent des cas inédits pour eux de tentatives de suicide par arme à feu chez de jeunes enfants. »
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Dans un bien autre domaine, nous rencontrons le totalitarisme de la loi républicaine versus la loi de la conscience. Voici un cas mis en évidence par le Secret de la confession : au-dessus de la loi, la conscience. Ce sujet démontre bien l’intrusion de l’État dans l’intimité humaine, comme le « vaccin » pénètre l’intimité du corps.
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Marie-France de Meuron : Diplôme Fédéral de Médecine obtenu en 1973, Grand-mère de deux petites-filles majeures, Retirée dans le Canton de Neuchâtel en Suisse.