Le multimilliardiare Bill Gates, enrichi dans le boum de l’informatique des années 80 avec son ex-société Microsoft, fait désormais pleinement partie de l’oligarchie mondialiste, à l’image d’un Tony Blair ou d’un Nicolas Sarkozy. Il a de ce fait participé à la Conférence de sécurité de Munich, qui a réuni samedi 18 février 2017 les chefs de la diplomatie mondiale.
« la prochaine épidémie [naîtra] du cerveau d’un terroriste inventant une version de synthèse du virus de la variole »
« Qu’il apparaissent dans la nature ou dans les mains d’un terroriste, les épidémiologistes disent qu’un pathogène transmis dans l’air et se propageant rapidement peut tuer 30 millions de personnes en moins d’un an »
« Et c’est assez probable que le monde va vivre une telle épidémie dans les 10 à 15 ans à venir », c’est pourquoi, nous nous mettons en danger en ignorant le lien entre sécurité sanitaire et sécurité internationale »
La solution ? Investir dans les technologies qui vont permettre de développer les vaccins adéquats. On sent derrière ces sorties humanistes une histoire de gros sous et de multinationales très intéressées par la « sécurité » des personnes... Bill Gates estime le coût de la recherche dans ce domaine à 3-4 milliards de dollars par an, ce qui ferait « économiser » à l’humanité 570 milliards de pertes, soit le coût de la pandémie qu’il prophétise...
Angela Merkel n’y est pas allée de main morte non plus dans le genre psychose mondiale avec la « multiplication des conflits nés des guerres civiles, de la croissance démographique et du changement climatique et leur interdépendance croissante ». Des annonces qui rappellent fortement le rapport du renseignement US sur les grandes catastrophes humaines ou naturelles à venir d’ici 2035.
Globalement, pour reprendre la terminologie des porte-paroles de la gouvernance mondiale, on constate que plus les peuples se libèrent de la domination, notamment via l’Internet, plus les dominants en question leur promettent terrorisme, catastrophes et autres apocalypses. Une forme de répression mentale qui ne dit pas son nom, et qui se cache derrière un paternalisme pervers. C’est ainsi qu’il faut comprendre le concept de « sécurité » pour les habitants du monde, dans la bouche de ces « amis » de l’Humanité.