Du 11 septembre 2001 aux cas Mérah (caméras) de Too loose…
Ce qu’on ne dit jamais ou si peu dans les médias « mainstream ».
1. Un attentat hautement prévisible pour des raisons de politique intérieure et étrangère
Depuis des mois je disais à mes amis avec qui je parle régulièrement de politique et de l’instrumentalisation du terrorisme, que la campagne 2012 ne pourrait se dérouler sans un acte majeur « terroriste ». Il était en effet évident que Nicolas Sarkozy ayant bâti l’essentiel de son image et de sa réputation sur la « sécurité », ou plutôt l’exploitation politicienne de l’insécurité, cette campagne ne pouvait manquer de lui offrir une occasion éclatante de « prouver » son excellente gestion de l’insécurité dans ce quelle a de plus grave, l’extrême violence du « terrorisme ». Celui-ci n’est plus guère à mes yeux, depuis une vingtaine d’années, que du terrorisme d’Etat, plus grand-chose d’autre.
« L’occasion » de Toulouse a surgi à un moment tellement opportun, quand le « Président-candidat » était si bas dans les sondages et cherchait un nouveau souffle pour une campagne si morne, elle fut si outrageusement mise en scène, de façon bien maladroite, qu’elle en est devenue hautement suspecte, même pour les médias d’ordinaire si dévoués à ce vide de la pensée politique que l’on nomme « sarkozysme ».
Pourquoi ce grand barnum ?
Lire la suite de l’article : hubertmarty2012.com