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Théorie du genre en primaire : le frère Peillon soutenu par l’Inspection générale de l’Éducation nationale

Un rapport sur l’égalité entre filles et garçons remis à Vincent Peillon demande que « les stéréotypes de genre soient déconstruits et mis à distance », notamment en primaire. Le gouvernement fait du dossier une priorité.

L’école entretient les inégalités entre les filles et les garçons, et ce malgré le volontarisme affiché des politiques et de la communauté éducative sur la question. La faute à notre tradition républicaine elle-même, qui « peine à voir des garçons et des filles, pour ne considérer que des élèves dans une conception désincarnée de l’égalité ».

Tel est le constat sans appel établi par un rapport de l’Inspection générale de l’Éducation nationale, remis en mai à Vincent Peillon et publié fin juillet. Un document venant accréditer la politique du ministre sur ce thème placé au rang des priorités gouvernementales.

Le cliché de la fille sage et laborieuse pèse lourdement sur notre système scolaire, « même s’il est difficile de le reconnaître et le faire admettre dans une école pétrie des valeurs d’égalité », assène le rapport, qui pointe les rapports entre élèves et professeurs. Ces derniers traitent les garçons « de manière préférentielle, tout en étant convaincus d’être parfaitement équitables ». La tâche de « garder » la classe lorsque le maître s’absente n’est-elle pas confiée aux filles ? Lesquelles sont considérées comme « naturellement responsables et prêtes à rendre ser­vice ». Les attentes des professeurs seraient par ailleurs « plus faibles » à l’égard des filles. Celles-ci reçoivent plus de questions « fermées ». Mieux considérés, perçus comme ayant plus de capacités, les garçons sont plus sollicités et font plus souvent l’objet de l’attention professorale. « Ils semblent davantage évalués sur leur mobilisation cognitive, alors que les filles le sont surtout sur leur “attitude positive” », résume le rapport. L’estime de soi féminine serait largement écornée par le système scolaire.

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46 Commentaires

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  • Je trouve que cette mesure ne va pas assez loin : Pour ne pas paraître ridicule devant l’union européenne ( voir le monde, et je dirais même, de l’univers), je préconise des cours dès le plus jeune âge de sodomie et de bouffage de chatte, ou quelques corps émérites de la fonction publique, des mac et des prostituées, viendraient partager leurs expériences aux petits élèves de primaire. Comme ça , ils apprendraient qu’il n’y a pas de sous-métier, mais que les back room de boîtes de nuit sont des lieux d’échanges culturelles intéressants. De plus, comme ces enfants sont petits, il faudrait des visionnage de dessins animés avec gros-plans et zoom suggestifs sur les zones d’études prioritaires qui concernent le bas-ventre....

     

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    • Le tout sur sur des bandes sonores à base de booba, la fouine, jennifer et autres merdes hautement subversives. Et important aussi, des cours où on leur apprend à brûler le drapeau français en leur répétant sans cesse que les blancs sont de sales colonisateurs aculturés...ça aussi c’est important.

       
  • de la propagande de merde créée par des merdes !

     

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  • Diviser pour mieux régner. Peillon le diviseur. Courage français la délivrance approche...

     

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  • On reste sans voix... La prétention de ces connards n’a pas de limite. Qui a jamais demandé que l’on applique de telles insanités ?
    Je me souviens avoir lu ( ou entendu ), mais je ne me souviens plus où, que tous les inspecteurs de l’Education Nationale étaient francs-maçons. Ceci expliquerait cela...
    Quelqu’un a des infos ?

     

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  • La meilleure solution pour échapper à ce formatage des cerveaux et à ce dressage de nos enfants, est de faire l’école à la maison. Si nous voulons que nos enfants se développent sainement afin qu’un jour ils se sentent des hommes et des femmes libres ayant développés une pensée saine et probe , alors retirons les de l’école et consacrons-nous à leur éducation et à leur instruction.

     

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  • #499096

    Qu’ils commencent déjà par faire en sorte que les enfants apprennent à lire, écrire, compter... Quand j’étais en 6ème en collège public, ça s’apparentait plus à de la garderie qu’à un lieu d’enseignement. Mais cela impliquerait de faire son boulot et d’être compétent, une hérésie chez les frères la truelle.

     

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  • C’est amusant ça... les filles voient leur amour propre "écorné", mais elles ont de meilleurs résultats, et commencent à être majoritaires dans les études supérieures. J’aimerais bien être discriminé de cette façon.

    Aux USA, les filles forment déjà plus de 60% des effectifs des universités, et c’est en augmentation continuelle. Devinez quoi ? Les féministes continuent à réclamer des aides spécifiques pour les étudiantes... au nom de l’égalité... faut-il comprendre que l’égalité sera obtenue quand il y aura 100% de femmes dans les écoles ?

    Si vous parlez anglais, voilà de quoi réfléchir :
    http://www.youtube.com/watch?v=kpXh...

     

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    • C’est sans doute volontaire va savoir camarade, mais les féministes confondent égalité et supprématie féminine.
      Tant qu’il y aura encore des gens pour crier à l’ "inégalité" homme > femme et pas assez de personne pour les stopper on ira dans une société ultra gynécocratique.

      La seule façon de s’en sortir est de voter à droite (la vraie droite Dupont Aignan par exemple et encore) car tous les politiques se soumettent à ces palofs qui servent de porte voix à toutes les femmes.

       
    • #522072

      Oui effectivement Cintiq, ce documentaire est intéressant. Ce qui m’a interpellée, c’est le fait que en Australie et en GB on tente le retour à des classes avec séparation de filles et de garçons. Je trouve que cela permettait de garder un certain mystère et donc la possibilité de séduction , de galanterie plus tard, alors qu’avec l’école mixte, j’ai déjà vu des garçons parler de façon très brusque et grossière aux filles dans mes classes.

       
  • #499230

    Oh oui, l’école favorise les garçons c’est pour cela depuis qu’elle est mixte, féminisée, que le niveau dégringole depuis des décennies et que 80 % des décrocheurs sont des garçons...
    Que l’enseignement est adapté aux filles (gestion de la classe, méthode d’enseignement, etc ).
    Quand je vois ça, je me demande si la privatisation complète de ce "service publique" ne serait pas une bonne chose... Le système éducatif moderne n’est qu’un vulgaire centre d’endoctrinement féministe et gauchiste de la merde en boite quoi.

     

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  • #499238

    Pendant ce temps là, les élèves font deux-cents fautes dans une copie de BAC, ne savent pas lire (ils déchiffrent les mots) ou compter en sixième, a l’université les fautes d’orthographe sont autorisées pour, par exemple faire une dissertation en droit, voire carrément pendant un exam...
    L’école de la république dans toute sa splendeur !

     

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  • Alors c’est l’hôpital qui se fout de la charité.
    Que l’on s’occupe du réel sexisme de l’école qui consiste à discriminer les garçons qui subissent le plus de décrochage scolaire que les filles.
    Ce manichéisme bien pensant commence franchement à être exaspérant

     

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