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Tribunal de Nuremberg et sport : le monde de Noah ou de Djokovic ?

Le sport n’est parfaitement beau que quand il est gratuit, quand il s’agit de compétitions d’enfants ou d’adolescents, ou quand il atteint le plus haut niveau de compétition, qu’aucun scénario ne pourra jamais réaliser, pour atteindre le sublime, le moment parfait.

 

 

Depuis 1945, le tribunal militaire de Nuremberg a étendu ses lois au sport de compétition, devenu en quatre-vingts ans un élément majeur de propagande contre l’homme blanc.

Après le congrès de Nuremberg de 1933, vinrent les JO de Berlin en 1936, les plus beaux jamais réalisés esthétiquement, la cinéaste Leni Riefensthal filmant l’infinie beauté des corps aryens dans Les Dieux du stade, la fête des peuples. Le social-nationalisme fête les peuples dans leur singularité.

 

 

Le Chancelier Hitler félicita chaleureusement Jesse Owens vainqueur du 100 mètres quand il était méprisé pour sa couleur de peau dans son pays. Personne ne voyait malice à soutenir Adolf Hitler à cette époque, le social-nationalisme était à la mode parmi les élites. La France, comme toujours, suivit.

 

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L’équipe de France de football aux JO de Berlin en 1936

 

L’Allemagne perdit la guerre, de pas grand-chose si on en croit Hitler pour 1 000 ans de Degrelle, et en 1946, à Nuremberg encore, le tribunal militaire décida des conséquences de la victoire des « Alliés », des banques donc, et inventa la notion de moralité avec le crime contre l’humanité, notion vague et mouvante, mais surtout imprescriptible, éternelle, de ce qui n’était qu’une défaite militaire parmi d’autres. L’Allemagne, donc l’homme blanc, était coupable ; c’est moralement qu’il perd et qu’il faudra payer. L’homme blanc est mort à Stalingrad. De Nuremberg 1933 à Nuremberg 1946, l’homme blanc qui a pourtant tout inventé, qui voulait juste se sauver à travers la préservation de territoires homogènes ethniquement, sera éternellement coupable de vouloir exister, et devra donc, à terme, disparaître, par métissage, immigration, virus, ou avortement.

L’acceptation d’une idée si étrange et novatrice n’allant pas de soi chez des peuples européens millénaires, pays blancs et vainqueurs de surcroît, contre l’Allemagne, nécessita quelques décennies d’acceptation, mais avec la libération sexuelle conjuguée à la propagande métisseuse et l’avortement, la libération de la femme par le travail, l’importation de quinze millions d’Africains compensant l’avortement, légalisé puis encouragé depuis 1975, de quinze millions de bébés blancs, on peut dire que la loi de Nuremberg a été réalisée, au-delà de toutes les espérances. Les villes françaises sont assez proches ethniquement de Bamako ou Oran en 2024. Un mélange unique de toutes les nationalités du monde, devenues toutes françaises par passeport.

Pourtant, en 1956, quand Alain Mimoun gagne le marathon olympique à Melbourne sous 40 °C devant 120 000 Australiens, personne ne voit un Algérien, mais un héros qui met la France à la course à pieds. La victoire de Colette Besson sur le 400 mètres aux JO de Mexico, accompagne Mai 1968 non dans la libération sexuelle ; Colette devient la fiancée de la France. Mais la France est globalement mauvaise en sport, faute à un manque d’investissement dans la formation. Mimoun est un militaire, l’institutrice Besson alla seule avec son entraîneur en altitude pendant la révolution de Mai 68. De Gaulle ouvrit alors à Clairefontaine un centre de formation pour le football puis en 1972 des sports-études en tennis virent le jour. De là vient la rupture, économique, et anthropologique.

On fermera les usines et bradera la technologie française, la grandeur et l’indépendance d’un pays. La France pouvait être auto-suffisante. En échange, sur le modèle du pain et des jeux romains, on formera des Français africains qui seront les seuls modèles pour le peuple souche !

En 1982, la France avait cinq héros sportifs, Éric Tabarly d’abord, le marin de la Trinité ; Platini au football, Bernard Hinault pour le vélo, et Jean-Pierre « Casque d’or » Rives au rugby. Par des circonstances incroyables, ce fut le cinquième larron, le moins titré qui eut l’influence la plus importante sur la France. Arthur Ashe faisant une tournée en Afrique, découvrit Yannick Noah à Yaoundé, 12 ans en 1972, appela le président de la fédération Philippe Chatrier pour lui faire connaître cette pépite, qui accepta de le recevoir gratuitement au sport-étude de Nice. Le ver était dans le fruit. Noah y arriva en septembre 1973. Dix ans après il gagnait Roland-Garros, victoire unique de Noah en 1983, se transformant en une propagande sans fin depuis 41 ans, pour le métissage et l’invasion migratoire, soutenue par le Français en premier lieu, heureux de mourir, voyant un métis schizophrénique jouant la finale de 1983 avec un bandeau Cameroun au poignet, un coq gaulois sur le polo, et une perruque de dreadlocks. Français ou Camerounais selon les occasions, qui, bien que devant tout à la France, la métisse de six enfants de quatre femmes blanches, tout en ne cessant de dénoncer sans fin le racisme français – Dieudonné également camerounais eut la clairvoyance de revenir sur cet écueil antiraciste, Noah jamais. Noah a toujours la volonté d’aider les « quartiers », c’est-à-dire l’Afrique vivant en France de la production des Blancs, en les faisant jouer au tennis. Voilà le projet civilisationnel d’un pays ruiné qui ne produit plus rien : construire des terrains de tennis pour les Africains de France. Yannick Noah, aurait selon lui importé la « culture de la gagne » en France.

Le 5 juin 1983 qui fut un merveilleux moment, fut la matrice de la France du futur, africanisée, de la Coupe du monde 2020 et des Jeux olympiques de 2024, annonçant Pharrel Williams et son Gospel célébrant l’ouverture de Notre-Dame, le 7 décembre, là même où Dominique Venner s’immola.

 

 

Mais c’est le Français qui a tout seul creusé sa tombe, anthropologiquement, il a renoncé mentalement à sa celtitude : son cerveau est abîmé, il écoute du rap, mange du couscous et boit du coca, paye la construction de mosquées par milliers, et fume du shit. Il régresse intellectuellement vers le rien, se sent donc représenté par des sportifs africains, Mbappé, Riner ou Pérec – pas l’écrivain Georges mais la sprinteuse Marie-José –, quand on pense que presque tous les Français lisaient Balzac il y a 60 ans, ils s’émerveillent devant Mbappé ! La finale du Mondial 2022 avec 100 % d’Africains français comme joueurs de champ, les JO 2024 et l’allumage de la vasque olympique par deux Africains des îles françaises ne sont que la conséquence du renoncement français depuis un siècle environ. Yannick Noah est l’incarnation, bien malgré lui, du tribunal de Nuremberg pour la zone France, section sport. Le regroupement familial et l’avortement légalisé existant depuis 1975, il ne faut pas exagérer son importance. Il a accompagné et accéléré le mouvement par une unique victoire, la seule du tennis français depuis 1947, Marcel Bernard à Paris.

Aux États-Unis, le phénomène fut identique avec la glorification des basketteurs « afro-américains ». En football, l’UEFA a toujours préféré le consensuel Pelé au rebelle Maradona, puis Messi à (Cristiano) Ronaldo le propalestinien. Le monde blanc disparaît comme peau de chagrin. Le village gaulois est à chercher ailleurs qu’en France, du côté de la Serbie peut-être, toujours serbe, et de Novak Djokovic.

Le tennis, quatrième sport en terme médiatique et versant bourgeois du sport, n’a pas encore réussi à être africanisé en dépit de la propagande quotidienne pour Serena Williams dont tout le monde se fout. Chez les hommes, Djokovic était destiné à rester le troisième larron, ne devant jamais rejoindre puis dépasser le duo Federer-Nadal, le génie et la bête, les deux chez Nike, riches de naissance, Federer faisant partie de l’élite protestante de Bâle depuis cinq siècles ; Nadal, oligarque également de son île, est peut-être juif marrane selon des sources fiables car hébraïques. Le duo du siècle est aussi une histoire oligarchique, un duo entre protestant et juif, entre Weber et Sombart, gagnant en sport comme ailleurs.
Djokovic c’est le caillou qui finit par défoncer la chaussure, le pauvre de Belgrade, catholique orthodoxe, qui s’est caché à 12 ans pendant 72 jours en 1999 quand son pays fut bombardé par le camp du bien, qui dut se cacher pour survivre, en même temps que la grande Yougoslavie éclatait en six petits États.

Djoko par Soral (à la 26e minute)

 

On ne naît pas catholique orthodoxe, social-nationaliste serbe – qui gagne contre le dieu protestant Federer et le bûcheron marrane Nadal –, on le devient.

Noah et Djokovic sont toute l’histoire moderne du sport. En France, il s’agit d’importer, former, et vénérer des sportifs africains ; en Serbie on détruit par les guerres ce qu’il reste de l’homme blanc.

Le sportif africain est un don de Dieu pour les dirigeants, il permet de métisser le peuple tout en le détournant des vrais problèmes, ethniques et économiques, un retour sur investissement parfait, la population allant jusqu’à payer pour son suicide mbappesque. Les années Mitterrand furent celles de la destruction du tissu industriel national, la fin du pays. Mais Noah gagnait, le Français était encore opulent.

 

 

Le monde de Yannick Noah gagne, au moins provisoirement, du provisoire long, dur et sale, victoire horizontale, reposant sur le relativisme, l’égalitarisme abstrait – un sportif vaut bien l’industrie, une femme est un homme, un Noir est un Blanc –, dominé en sous-main par l’argent, le parasitisme, l’écrasement des forces productives des peuples souches. Noah finit d’ailleurs exilé fiscal au Cameroun, mais avec un poste fantoche très bien payé en France, et quelques services à rendre en échange. En face, Novak Djokovic incarne la verticalité d’un monde traditionnel, catholique orthodoxe, il défie en face la Bête en Australie en 2022 quand il s’oppose à la vaccination de Pfizer à visage découvert, traité plus mal que le dernier Africain arrivant en Europe, éconduit car non vacciné, alors qu’il aurait pu obtenir un faux. Djokovic est évidemment le plus grand sportif de l’histoire, en considérant l’aspect politique de l’homme. Quel sportif de ce niveau a osé défier la Bête ?

En cette période de réouverture de Notre-Dame de Paris (le 7 décembre 2024), célébrant le caractère sacré de la Vierge Marie, devenue un peu kabbaliste, un peu africaine, il n’est pas anodin que les plus grands événements de ces deux joueurs eurent lieu à Paris, en 1983 puis en 2024 pour les JO, quand Djokovic boucla définitivement – et catholiquement – le débat du plus grand en remportant ce titre manquant, dans un endroit symbolique. Il se signa, juste après sa victoire, après la satanique et surtout grotesque cérémonie d’ouverture, ce qui n’est pas dans ses habitudes.

Le camp social-nationaliste perd à plate couture, il est même à l’agonie, les peuples souches celtes – Gaulois, Angles, Helvètes… – sont génocidés dans le calme. Dans la vraie vie, le monde de Noah gagne 6/1 6/3 4/1 et 30-0, mais Djokovic n’est pas mort. Djokovic joue d’abord pour le Christ dans un pays homogène ethniquement. Il est de fait social-nationaliste serbe et montre la seule voie possible pour ne pas mourir. Le social-nationalisme peut être compris comme un catholicisme respectant les caractéristiques ethniques des peuples. Comme le souligne Vincent Reynouard, en 1927 qui aurait pu imaginer l’Allemagne victorieuse de 1937, puis dévastée de 1947 ? Personne.

Lionel

Bonus : Africa, ton soleil m’a manqué

 

Un immense champion toujours « controversé » !

 
 

L’intenable Lionel, sur E&R

 






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106 Commentaires

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  • #3511529

    Ne pas oublier aussi l’époque de matraquage propagandaire politico-médiatico-sportif du ’’métissage’’ de la fin des années 90 ; l’équipe des ’’Bleus’’ Black-Blanc-Beur de la Coupe du Monde de foot 1998.
    Les bobos mâles blancs ne juraient que par les paires de fesses superbes des noires et les bobos femelles blanches ne juraient que par les bébés superbes métis.
    Et tous ces bobos leucodermes ne juraient aussi que par le reggae.
    Finalement ils se sont tous mariés entre bobos leucodermes…
    Hypocrites, race de vipères…

     

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    • #3512739

      ben ! pas tellement puisque 80% des footballeurs noirs en France ont fondé un foyer avec des blanches. De la ligue 1 à la CFA. Au brésil c’est pareil. C’est une manipulation depuis l’enfance qui a amené à ce résultat dans les deux pays médiatiquement, les mâles blancs et la femme noire dénigrés, et les hommes noirs et les femmes blanches idéalisés.

       
  • @anonyme, vous vous trompez, les pays anglo saxons sont métissés, les états unis, sont le pays du melting pot, et pourtant il s’agit du wasp, white anglo saxon protestant, et les véritables américains, les native americans, ce sont les indiens, les sioux, les apaches, les commanches.

     

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  • @mouais, la police, les forces de l’ordre, sont le pouvoir et non l’état, donc pas le peuple,et cela ne date pas d’hier, et il faut se rappeler des gilets jaunes qui ont été éborgnés.

     

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  • Noah c’est la métonymie d’une France "championne"... le mec à gagné 1 grand tournoi dans sa vie, puis quelques doubles dans la foulée puis a tenté une carrière de chanteur africanisé qu’il a raté comme sa carrière de petit champion de tennis.

    Là où d’autres champions confirment leur talent grâce à leur victoires à répétition (Mac Enroe, Lendel, nadal, Joco... pour les hommes et Navratilova, Graf, William... pour les femmes), la France fait dans le ponctuel et le furtif. Une ou deux victoires et hop ! on signe des contrats de pub et quelques tournois de démonstration.

    Il y a quelque chose de particulier à la France. Dans pas mal de domaines d’excellence on trouve des exceptions mais tous apparaissent dans des parenthèses qui se referment assez vite. A croire que notre spécificité de jouisseur de vie prend partout le pas sur la volonté Nietzschéenne de toute puissance pérenne.

    Pas besoin d’être ni méchant gratuitement ni raciste de bas étage pour affirmer que Noah n’a jamais été un "prix nobel". Son "retour au village" lui permet de jouer les Chef Sage, ce qu’il n’aurait jamais pu faire croire en France ;

    On rappelera en passant qu’il n’est définitivement pas confortable d’être métis, contrairement à ce que tente de nous vendre la "nation arc-en-ciel"... on cherche son identité et en général on bascule du côté de celle qui fait "original", et en France, depuis quelques années, être plutôt côté noir c’est tendance... Dieudo tombe dans le même écueil...

    J’dis ça, j’dis rien...

     

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  • suite : D’où vient sa famille ?

    Son père, Zdenko Žagar, vit dans le quartier belgradois de Čukarica, et sa femme est décédée en 2017. Bien qu’il vive actuellement en Serbie, il est originaire de Croatie et, dans sa jeunesse, il est venu à Belgrade avec sa femme, où la mère de Novak, Dijana, est née.- Je suis croate de nationalité, je suis né à Vinkovci. Mon ex-femme, la grand-mère de Novak, est également née au même endroit. C’est là que nous nous sommes rencontrés. Nous étions des officiers venus pour servir. Je suis arrivée à Belgrade alors qu’elle était encore à l’école, donc plus tard, quand elle m’a rejoint, nous nous sommes mariés. C’est ainsi que Dijana est née, a ensuite raconté Sandra-Zdenko à Nova.rs et a ajouté :

    - Il est normal qu’il soit plus enclin aux Serbes et je n’ai rien contre cela. Il ne s’en sortirait pas mieux dans la vie même s’il se présentait comme Croate. Personne n’accepterait cela non plus. Ils le revendiqueraient également. Il y a quelques mois, un parent qui vit à Vinkovci m’a appelé pour me demander où était née Dijana. Donc, cela est en discussion en Croatie, a ajouté Zdenko, qui n’avait pas été en contact avec sa fille depuis un certain temps parce que lui et sa mère s’étaient séparés.

     

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  • suite : Comme il l’a expliqué dans l’interview susmentionnée, après avoir divorcé de sa femme, il a perdu toute proximité avec sa famille.

    - Toutes sortes de choses se sont produites dans nos relations familiales. Je n’ai pas beaucoup participé à l’éducation de Novak . Avant sa naissance, j’ai vécu à Pristina pendant quatre ans. Mon ex-femme et mes enfants vivaient à Belgrade, et j’y vivais aussi. Je suis venu le week-end. Plus tard, j’ai divorcé, j’ai donc été obligé de m’éloigner un peu de ma famille. Je les ai contactés, mais ce n’était pas ça. Diana m’a accusé du divorce et elle ne peut pas me pardonner ça. Je crois qu’il faut toujours être deux pour divorcer. Autant l’homme est coupable, autant la femme l’est aussi. Je suis désolé que tout se soit passé ainsi – a conclu Žagar.

    (Kurir.rs/IM)

    Voilà, donc Toute la famille est Serbe Orthodoxe, mais il y a quand même une part de Croate et de Catholique dans les ascendants de Novak.

     

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    • Merci Usul ! C’est grâce à ses ascendants Croates et tout comme TESLA Croate aussi malgré que son père était prêtre Orthodoxe ! Merci à toi !
      Maintenant, peux-tu nous expliquer la différence entre Serbes et Croates ? Entre Serbes et Monténégrins ? Entre Serbes et musulmans et Bosnie ? J’aimerai bien connaître ton point de vue ?
      Je laisse les slovènes et macédoniens de côté car c’est un peu différent...
      D’ailleurs le joueur de basket DONCIC est quoi lui ? Slovène car comme l’indique son nom, DONCIC fait parti de noms de famille autrichienne ?! Et tant qu’on y est, la langue des Balkans Croatie Serbie Monténégro ou encore Bosnie, la différence ? Elle vient d’où...

      Djokovic est bien Orthodoxe et blanc et marié et 2 enfants !

       
    • #3512315
      Le 27 mars à 11:17 par сельачка буна
      Tribunal de Nuremberg et sport : le monde de Noah ou de Djokovic (...)

      Un Serbe né en Croatie n’en devient pas pour autant un Croate de sang. Il peut acquérir la nationalité Croate mais reste d’origine Serbe. Dès lors Djoko ou Tesla sont Serbes.
      Pour ce qui différencie ces peuples. Les Bosniaques avant de se convertir à l’islam appartenaient à une branche schismique du christianisme proche de la doctrine cathare et seraient en partie Serbes et en partie Croates. Les Serbes et les Croates appartiennent à deux peuples distincts arrivés dans les Balkans par des routes et pour des raisons différentes. Ils étaient tous les deux païens lors de leur installation dans les Balkans. Ils ont ensuite opté pour des branches distinctes du christianisme.
      Les Monténégrins sont des Serbes qui ont développé des particularismes durant la période ottomane et qui ont fini par prendre le nom donné à la région où ils habitaient.

       
    • De rien, Rt, je ne suis pas "balkanique" si je peux dire, je suis français catholique depuis au moins Clovis pour ne pas dire Childéric de souche , en gros total germanique des marches du Nord Est de l’Empire mais ça ne se dit pas ça..alors bon... mais comme je suis avec passion le tennis depuis des dizaines d’années (et surtout Federer fan qui a aussi des origines françaises par sa mère sud africaine..Lynette Durand), je m’intéresse aussi à l’histoire des joueurs... et comme ce n’est pas le thème de ER, je n’allais pas rectifier toute les approximations purement tennistiques.. même si j’ai apprécié l’article de Lionel

       
    • #3512425
      Le 27 mars à 14:56 par сельачка буна
      Tribunal de Nuremberg et sport : le monde de Noah ou de Djokovic (...)

      Lire branche schismatique et pas schismique. Merci

       
    • Usul,
      Je savais même pas que la maman de Roger était d’origine française. Lointain. Sinon c’est Bâle là où il y a la BRI, le vrai centre du monde. Jamais compris pourquoi il allait au Malawi tous les ans, et revenait malade, ni pourquoi la semaine passée, il est venu à la Courneuve pour mettre ’’ les jeunes ’’ au tennis.
      Je pense que Mirka, slovaque pourtant, qui gère tout depuis leur rencontre en 2000.

       
  • - À un moment donné, un prêtre s’approche de moi et maintenant je dois dire mon nom. Quand j’ai dit Diana , il m’a regardé et m’a dit non, ce n’est pas orthodoxe, c’est catholique romain . Il a fait trois fois le tour de l’autel et est revenu pour demander ce que nous devions faire. Nous faisons à nouveau trois cercles autour de l’autel et je me souviens que les catholiques ont un nom de baptême et un nom civil. Et je lui dis que si je peux garder mon nom, je l’aime, et tu me donnes un nom d’église . Et il est d’accord.

    Elle a pris la décision commune concernant son nom de baptême avec son mari Srđan.

     

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  • Je ne vais pas développer sur les mariages inter religieux dans le milieu du tennis, cela dépasse bien sûr le seul cadre balkanique Orthodoxe Catholique, même si l’impact de la religion a perdu de son influence en Europe Occidentale, mais par exemple Björn Borg, Suédois a priori de religion protestante luthérienne, au moins de culture, a épousé sous le rite orthodoxe sa première femme, la roumaine Marianna Simionescu.

     

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  • Ce n’est plus Novak Djokovic mais novaxx Djokovic . Peut-être a-t-il battu les records à cause de çà ; sa non vaccination . Les autres sont diminués et lui à sa forme intacte de par sa non-piquouze . .

     

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  • Mais c’est le Français qui a tout seul creusé sa tombe, anthropologiquement, il a renoncé mentalement




    Quand on met en parallèle cette assertion et l’article sur "Les vrais discriminés de France" qui seraient les arabo-musulmans... Certes l’arabo-musulman paye les frais d’une politique israéliste lâche et injuste, après avoir été importé en masse et formé à la haine du Français, mais le principal discriminé, persécuté, colonisé, génocidé, c’est historiquement en France le Français, blanc chrétien, et ce depuis plus de 230 ans, alors même qu’il est culpabilisé pour tout et n’importe quoi, et qu’il n’a lui pas d’autre pays. Qu’on songe â la Révolution et à la Terreur, qu’on songe au code civil, qui spolie systématiquement les Français à chaque génération, les réduisant de facto au statut d’esclave, qu’on songe aux guerres napoléoniennes et aux guerres mondiales, qui les a envoyé de force à l’abattoir, qu’on songe à l’école laïque et obligatoire depuis Jules Ferry qui confisque aux Français leurs enfants, etc, etc. Le grand remplacement, c’était déjà acté bien avant l’arrivée du premier immigré. C’est le "peuple nouveau" de la Révolution qui a remplacé le peuple Français, mort et enterré depuis belle lurette (lire Delassus dans L’esprit familial : la question n’est pas de savoir s’il va survivre mais s’il va ressusciter). Pour reprendre une formule de Soral, le peuple français s’est suicidé (selon Zemmour), mais c’est pas lui qui avait le couteau...

     

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