"politiquement il reste valable", pfff !

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Tristane BANON : "Et je continue de penser que c’est un homme, qui politiquement est tout à fait valable..."

Elle est adorable, plutôt intelligente, dénuée de sentiment de vengeance, mais alors elle doit avoir un niveau de conscience politique au raz des pâquerettes...

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Il faut préciser, si je ne m’abuse, que cet entretien vidéo date d’il y a plus de deux ans, à la suite d’un article sur Agoravox qui relançait l’histoire.

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Essayez de ne pas accabler cette femme, elle est avant tout victime et malheureusement dans le milieu où elle évolue il est surement éminemment difficile de sortir du paradigme ambiant. Pensez à votre situation il y a quelques mois où années, quand vous voyiez en l’ump, le ps voire le npa des solutions politiques pertinentes. Quand on a les yeux fermés il est difficile de voir clair, souhaitons lui plutôt bonne chance dans sa démarche pour se reconstruire

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Sans avoir vu les commentaire précédents, j’ai arrêté la vidéo dès qu’elle à dit qu’il était valable politiquement...
putain...

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Elle est émouvante. DSK est un véritable monstruosaurus.

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Ce serait bien que Tristane Banon et les autres entament ensemble une action en Justice pour porter le coup de grâce à ce bouillant lapin du Parti Scandaleux. Si celles que Domi-nique a honorées décidaient de se rassembler se serait le Congrès d’Épinay !

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Tristane Banon a beau se défendre de vouloir profiter de la situation, cette vidéo ressemble plus à une bande annonce de son prochain livre-événement qu’à une interview-vérité.
De plus puisqu’elle admire tant la politique de Strauss-Kahn, je ne vois pas ce qu’elle lui reproche ;
il n’a fait que lui infliger pendant quelques instants la violence qu’il fait subir depuis 5 ans aux peuples du monde entier.

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L’Ange et la Bête.
(conte mythologique)
Un jour, un Ange alla visiter Messire la Bête et lui demanda innocemment : "Qu’elle fut votre plus grande erreur ?"
La Bête se mit à réfléchir en considérant la grande beauté de l’Ange... Lui vint alors l’idée de la commettre sur-le-champ, cette erreur... Dans le combat, l’Ange frêle perdit une aile. (fin de la premièr partie).
Neuf ans plus tard, la Bête, qui multipliait ce genre d’erreurs, tenta une fois de plus de commettre une erreur dont il pourra enfin dire qu’elle fut sa plus grande. La Femme blessée qui fut l’objet de son choix, porta la chose à la face du monde. Et le monde fessa l’immonde ! (fin de la deuxième partie)
Ainsi, l’Ange eut sa réponse et retrouva son aile par la justice qui lui fut faite du crédit et de l’attention qu’on lui accorda. La Bête fut mise en cage, les fers aux pieds. (fin des comptes... pardon, du conte).

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