Eh oui, toutes les ingénieries sociales ne prennent pas. Celle du H1N1 n’avait pas pris en 2008-2009, malgré les efforts de Bachelot, liée façon bondage aux grands labos, avant que celle du corona ne cartonne en 2019. Cette fois-ci, les mondialistes auront mis le paquet, et sorti un bon petit virus sur mesure d’un laboratoire P4. À n’en pas douter, il y en aura d’autres, vu l’empressement avec lequel les populations se sont précipitées sous le parapluie (troué) du pouvoir. Un terrorisme en a remplacé un autre. Sauf que tous les produits lancés sur le marché, une fois que celui-ci est en voie de saturation, ne trouvent pas forcément leur cible.

Sortir la variole du singe – déjà, avec « singe » dedans, c’est plus tellement crédible – en été, au moment où se croisent les ingénieries sociales du climat et de l’Ukraine, sans oublier la pénurie énergétique, c’est une faute professionnelle. Il fallait laisser se calmer le jeu, puis frapper fort à la rentrée, comme savent le faire les grandes équipes : tenir le ballon, imprimer un faux rythme, puis frapper à la vitesse de l’éclair, se retrouver en 3 passes dans la surface adverse, avec un grand finisseur.

Là, l’oligarchie mondialiste a été trop gourmande. Déjà que les gens ne veulent pas de la 4e dose... Inventer une nouvelle première dose pour une maladie au nom de macaque, c’est vraiment tabler sur la super crédulité générale. D’où le flop attendu. De plus, l’erreur a été d’associer la variole simiesque à la communauté gay, et cette dernière, qui se dresse contre la majorité silencieuse depuis des années, a créé une espèce d’essoufflement dans le soutien empathique. En gros, les gays ont obtenu tous leurs droits, se marier, faire ou acheter des gosses, maintenant, ils doivent retourner au boulot comme tout le monde, puisqu’ils sont devenus comme tout le monde.

« L’inquiétude grandit » (la presse)

Leurs revendications sont satisfaites, le victimisme gay ne fonctionne plus, même leur pride (qui est une shame inversée) ne sert plus à rien, à part exhiber quelques drags ringardes au discours falot sur des chars aux couleurs qui ne vont pas ensemble. Il n’y a plus d’obstacle sociétal, donc de progrès à faire, le grand public a du mal à considérer la cause des gays, qui ont accédé au banal statut de normalité.

Vouloir être comme tout le monde, quelle originalité ! Au moins les vieilles folles des années 70 étaient marrantes. Elles souffraient ? Mais les jeunes folles d’aujourd’hui souffrent tout autant, l’affirmation n’étant qu’un élément de langage, la dépression n’étant pas loin. Allez voir dans les cabinets psy... Heureusement, si l’on peut dire, qu’il y a les hétéros et parmi eux quelques homophobes pour relancer les feux de la victimisation ! Alors, la variole tombe à pic pour créer un effet sida 2.

Même les nouveaux députés, qu’on imagine sensibilisés à la cause gay, montent au créneau. Malheureusement, dans le grand public, ça en touche une sans faire bouger l’autre, pour reprendre l’expression du plus grand des Français.

Mais il y a pire : cette variole est considérée par certains, qui sont devenus terriblement méfiants vis-à-vis de tout ce qui vient d’en haut, quand ils ne le rejettent pas par réflexe, comme un effet secondaire des injections de la bande à Fauci, Gates et Bourla ! C’est le pompon.

Effet pervers des psychoses en série, le grand public ne s’intéresse même pas à une maladie qui touche ou ne toucherait que les gays, ils regardent plus haut, du côté des commanditaires... On appelle ça un flop, avec en plus en bel effet Streisand.

La musique de cette vidéo gay est celle de World War Z !

Finalement, la variole du singe, variante du sida ou vulgaire MST ?