Ah on sent qu’il y en a qui flippent et qui n’ont pas du tout envie que Donald redevienne Président des states, il a quelques sujets qu’il ne veut pas mettre sous le tapis le bougon. Le 11.9, l’ukraine, il parle à Poutine... Et tout ce que l’on ne sait pas. Protège-toi Donald, ils sont hargneux en face.

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le 11 septembre c’est le jackpot pour le promoteur immobilier new-yorkais Larry Silverstein qui avait acheté les tours déficitaires ( l’immobilier de bureau déclinait déjà ) pour une poignée de cerises et toucher après l’attentat une somme coquette pour les avoir assurées contre le terrorisme.
le hasard fait parfois bien les choses.

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Trump n’est pas le seul "officiel".
« On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours de New York – alors qu’en fait, les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d’accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l’Irak et l’Afghanistan. » (Francesco Cossiga, président italien en 2007)
Claude Cheysson, ministre des affaires étrangères, moins précis, avait déclaré le 16 septembre 2001 : « Ben Laden ne peut pas avoir attaqué les Etats-Unis de cette façon, seul un Etat en est capable. »
Il n’y a que les citoyens qui croient la version officielle. De moins en moins...

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Trump est un tâcheron qui a batti plusieurs tours. Il sait que çà ne s’écroule pas par un choc d’en haut.

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Puisque qu’on revient sur le sujet, qui a une petite idée sur le rôle "du français rescapé du 11 septembre ", Patrick Delinger ? Cet américanolatre pré-pubère fait régulièrement le tour des plateaux à chaque date anniversaire depuis 2001 pour nous tirer les larmes en nous rappelant que des méchants arabes avec des cutters ont effondré les tours qui n’étaient peuplées que de gens super chouettes comme lui. Dommage que Xavier Poussard ait pas mal de pain sur la planche en ce moment car je crois que ce Gus Gus serait un bon sujet d’enquête. Beaucoup d’incohérences dans son parcours, notamment ce qui l’a amené à s’installer au WWT.

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Thierry Meyssan a été quasiment le premier à découvrir cette supercherie de l’attentat faux du 11 septembre et il dit tout dans une interview que l’on trouve encore sur internet avec Thierry Ardisson. Tout ce qu’il dit est édifiant autant que la vidéo Loose change arrivé un peu plus tard

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L’acier peut parfaitement laminer, exploser l’aluminium. Pour l’inverse, on est prié de se lever de très bonne heure. Et même ainsi, ce n’est pas une garantie de succès...

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Cambridge Analytica analyse les réseaux sociaux de façon à pouvoir donner aux politiciens des points de propagande ("talkings points") qui leur feront gagner des points en vue des élections. Ces petits signaux ("dog whistles") de Trump aux "Truthers" relèvent du même genre d’opération d’autopromotion par la propagande, la manipulation du public : laisser croire qu’on soutient la vérité sur le 11 septembre, tout en soutenant la débilissime sioniste génocidaire et islamophobe carabinée Laura Loomer, agitant une affiche "9-11 was an inside job" (informez-vous sur cette crasseuse propagandiste amie d’Alex Jones et compagnie). Pure opération d’image, dans la tradition développée par le père des "relations publiques", de la propagande et de la publicité, le neveu de Freud, Edward Bernays...

N’oublions pas le rôle central de Rudy Giuliani dans le 11 septembre, or Giuliani fut très proche de Trump : il fut son avocat et co-conspirateur des événements du Capitole.

Cambridge Analytica a aidé l’élection de Trump en 2016, dont la campagne était dirigée par Steve Bannon, un magicien du chaos autoproclamé. La campagne de RFK Jr semble utiliser les mêmes "points de propagande" de Cambridge Analytica ; pour Bannon, RFK Jr est son "candidat du chaos".

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Personne ici ne fait allusion, ou ne mentionne le très bon documentaire que l’on peut encore trouvé sur le web, réalisé par Simon Shack en 2008 : "September clues". C’est étonnant. Tout y est dit. Il y a aussi le blog du même nom, très exhaustif à ce sujet.

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Pendant longtemps, ce qui m’a fait croire à des explosions a été la tour 7, c’est à dire la 3e tour qui est tombée sans avion, sans être directement voisines des 2 autres, et vide pour travaux.

Mais là, en écoutant la vidéo en anglais, c’est les mots "on their own foot-print" : elles se sont effondrées "sans déborder de leur propre base".

Si, si. Sans basculer ne serait-ce qu’un peu, par exemple les tours auraient pliées autour des points d’impact. C’est comme si les poutres du côté de l’arrivée de l’avion n’avaient pas plus souffert que les poutres du côté opposé.
Deux avions, et 3 fois la même magie de la verticalité, dans un même lieu et dans la même heure.

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