En 2021 est parue une « étude » du Center for Global Development (un think tank chelou lié au G7 et au vaccinateur forcé Bill Gates, sans oublier la piteuse Hillary, bref, un énième tentacule de l’hydre mondialiste) qui disait, en substance : il va manquer en 2050 95 millions de travailleurs pour équilibrer les comptes sociaux, donc va falloir importer du migrant. Tout le monde a rigolé, genre 100 millions de Noirs en Europe, et quoi encore ?
Deux ans plus tard, après les millions de réfugiés syriens qui ont essaimé en Europe (surtout en Turquie et en Allemagne, la Turquie pour faire pression sur l’UE avec le robinet du migroduc, l’Allemagne pour entretenir sa force ouvrière), nous voici avec des millions de migrants subsahariens sur les bras.
Il en vient officiellement dans les frontières (trouées à dessein) de l’UE, ce « pays » des droits de l’homme, un million par an, mais ça, c’est la propagande européiste faite pour endormir les consciences. Rien qu’en France, on reçoit 300 000 étrangers par an, selon la ventilation suivante (qui ne comprend évidemment pas les clandestins).
Car partout, on voit fleurir des camps de tentes d’hommes seuls, qui attendent. Et qui attendent quoi ? Un logement. Alors que notre pays est en crise du logement depuis des décennies.
Officiellement, 1 million d’entrants sur 446 millions d’habitants (dont 38 millions nés en dehors de l’UE et 24 millions de ressortissants de pays tiers), c’est 2 sur 1000, ou 0,2 %, une paille. Les stats de l’UE en matière d’immigration sont publiées ici.
Les raisons principales de leur immigration sont : la famille pour 36 % d’entre eux, le travail pour 18 % (!), l’asile politique pour 9 % et l’éducation pour 4 %. L’argument de « ils vont payer nos retraites », il repassera.
La peur d’une invasion africaine est débunkée par Hervé Le Bras, qui, visiblement, n’a pas les bons chiffres.
La réalité est tout autre : les demandes d’asiles dans l’UE ont bondi de 30 % entre 2022 et 2023, sur le premier semestre, ce qui fait 519 000 dossiers, dont la moitié (41 %) reçoit une réponse positive, c’est-à-dire presque automatiquement. Les deux pays les plus demandés sont toujours l’Allemagne et la Turquie (certes hors UE) avec 30 % du lot chacune, la France et l’Espagne se partageant le dernier tiers.
L’Europe n’est pas la seule à subir une immigration de masse. Même le très droitiste Texas reçoit son lot de migrants latino-américains :
Avant, chez nous, il s’agissait d’une immigration de travail, puis il y a eu le regroupement familial cher au couple Veil-Giscard. Aujourd’hui, il s’agit d’autre chose : il y a des pays où des gens ne veulent plus vivre, et là, ça change la donne. Le problème, c’est que les dirigeants occidentaux ouvrent les portes de « leurs » pays, dont les habitants sont en proie à des difficultés économiques grandissantes. Le choc des cultures mais aussi de la misère du « Sud » contre la nouvelle pauvreté occidentale est source inévitable de conflits.
Et ça, les mondialistes le savent. Pour nous préparer à la super vague suivante, puisque le travail ne peut plus être un argument, ils invoquent le changement climatique : il va faire plus chaud au sud, donc les pauvres vont monter vers le nord. D’où l’importance de la propagande sur le réchauffement, la nouvelle arme politique des maîtres des déportations modernes.