Je savais par expérience que les survaccinés peuvent être porteurs de maladies sans symptômes et les diffuser dans leur entourage immédiat. Ce qui est nouveau avec la technologie ARN de ces pseudo-vaccins est qu’ils pourraient provoquer dans l’entourage du vacciné des réactions autoimmunes très problématiques non-reliées à la maladie.
Les compagnies ont sauté la troisième étape de tests et ce n’est pas un vaccin ordinaire. C’est expérimental. N’oublions jamais que ce genre de recherche a conduit au procès de Nuremberg.
Le document Pfizer ne fait pas mention de risque pour la santé mais juste de grossesse. L’approche occidentale exige que la preuve soit faite que les "spike proteins" diffusés par les vaccinés causent dans l’entourage des vaccinés des problèmes de santé considérables. L’admission dans le document Pfizer semble admise volontairement pour qu’on en parle, comme "limited hangout", pour minimiser l’ampleur des problèmes associés et ainsi montrer patte blanche, qu’ils n’ont "rien voulu cacher". Ils doivent en admettre un peu pour sauver la face. Depuis l’affaire Purdue, où la preuve a été établie que la compagnie étaient malhonnête, il importe de plus en plus pour Big Pharma de jouer les imbéciles qui ne voient pas ce qu’ils font, car c’est la malhonnêteté assumée qui enlève toute chance à une compagnie de gagner le procès qui lui est intenté. Que ce soit avec Purdue ou J&J qui savait que sa poudre de talc pour bébé, qu’ils vendent depuis des décennies, était remplie d’amiante cancérigène, causant le cancer des ovaires. D’ailleurs, quand on parle de médecins achetés par Big Pharma, on peut citer le documentaire Opioids Inc (Frontline PBS), à 11min, où le directeur des ventes de Purdue, Alec Burlakoff, explique qu’il a toujours fait ça (acheter des médecins) dans toutes les compagnies où il a travaillé : Eli Lilly, J&J et Teflon. Il a fait cette entrevue sous la supervision des autorités fédérales car il a été emprisonné quelques mois.
Je remarque que tous les vaccins sont mentionnés dans les médias comme présentant quelques problèmes justifiant un retrait préventif par certains gouvernements... à part celui de Pfizer (le vaccin obligatoire en Israël, tiens donc).
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