Le bouddhisme est une ascèse.
Le judaïsme est un tribalisme.
Le catholicisme est un universalisme.
L’islam est un universalisme.
Le capitalisme est un mondialisme.
L’immigrationnisme est un colonialisme.
Le colonialisme est un communisme.
Le communisme est un tribalisme.
Le mondialisme est un cannibalisme.
Le profit cannibale est un luciférianisme.

L’universalisme c’est du mondialisme. La philosophie des Lumières était universaliste. Les droits de l’homme sont universalistes. D’ailleurs ça s’appelle la Déclaration universelle des droits de l’homme ! La franc-maçonnerie est universaliste. L’universalisme nie les races, les peuples, les coutumes et les cultures. Et ça conduit au chaos !

@Anonyme :
La religion catholique est universaliste et pas cosmopolite !!! (dixit l’abbé Rioult).

@protecteur
Protège ta Palestine phantasmée tout seul derrière ton écran et lâche nous les baskets avec ton arrogance.

@David. Je viens de t’expliquer ce qu’est l’universalisme !

@David. Désolé la religion catholique est cosmopolite. Saint-paul était à la fois juif, grec et romain ! Il a déclaré : "il n’y a ni Juif ni Grec, il n’y a ni esclave ni homme libre, il n’y a ni homme ni femme ; car tous vous ne faites qu’un dans le Christ Jésus.(Ga 3, 27-28)

@Anonyme, vos arguments ne volent pas très haut... LAROUSSE : Cosmopolite.
1. Vieux. Qui se considère comme citoyen du monde ; qui se tourne volontiers vers tout ce qui est étranger.
2. Qui vit tantôt dans un pays, tantôt dans un autre, en s’adaptant aux mœurs du lieu.

Je vous suggère d’ouvrir plus souvent des livres.

Le catholicisme n’est il pas mondialiste par essence ?

Le catholicisme défend le droit des nations, comme faisait le pape Jean Paul II dans son discours de 1995 :

« Actuellement, le problème des nationalités se situe dans une perspective mondiale nouvelle, caractérisée par une forte "mobilité" qui rend les frontières ethniques et culturelles des différents peuples toujours moins nettement tracées, sous l’influence de nombreux facteurs comme les migrations, les moyens de communication sociale et la mondialisation de l’économie. Et pourtant, dans cette perspective d’universalité, nous voyons ressurgir avec force les requêtes des particularismes ethniques et culturels, presque comme une exigence impérieuse d’identité et de survie , comme une sorte de contrepoids aux tendances à l’uniformisation.

En raison de leur communauté de nature, les hommes sont poussés à se sentir membres d’une seule grande famille, et ils le sont. Mais, à cause du caractère historique concret de cette même nature, ils sont nécessairement attachés de manière plus intense à des groupes humains particuliers, avant tout à la famille, puis aux divers groupes d’appartenance, jusqu’à l’ensemble du groupe ethnique et culturel désigné, non sans motif, par le terme de "nation" qui évoque la "naissance", tandis que, si on l’appelle "patrie" ("fatherland"), il évoque la réalité même de la famille. La condition humaine est ainsi placée entre ces deux pôles - l’universel et le particulier...

C’est aussi sur ce fondement anthropologique que reposent les "droits des nations", qui ne sont rien d’autre que les "droits humains" considérés à ce niveau spécifique de la vie communautaire. (...) Le droit d’une nation à l’existence est certainement antérieur à tous ses autres droits : personne - ni un État, ni une autre nation, ni une organisation internationale - n’est jamais fondé à considérer qu’une nation déterminée ne serait pas digne d’exister. (...) Le droit à l’existence implique naturellement, pour toute nation, le droit à garder sa propre langue et sa culture, par lesquelles un peuple exprime et défend ce que j’appellerai sa "souveraineté" spirituelle originelle. (...) toute nation a également le droit de mener sa vie suivant ses traditions propres (...) les "droits de la nation" traduisent les exigences vitales de la "particularité"...

Le mondialisme du pape actuel est une dérive millénariste et totalitaire.

(suite)

En son sein l’Église catholique accueille d’ailleurs de nombreuses églises particulières dont elle considère la particularité comme une richesse :

 l’Église maronite, qui siège au Liban, de rite maronite
 l’Église catholique copte, qui siège en Égypte, de rite copte
 l’Église catholique arménienne, de rite arménien
 l’Église catholique syriaque, de rite syriaque occidental
 l’Église grecque-catholique melkite, qui siège en Syrie, de rite byzantin
 l’Église catholique chaldéenne, qui siège en Irak, de rite syriaque oriental
 l’Église catholique éthiopienne, de rite guèze
 Etc.

comme disait Jean Paul II : « la condition humaine est ainsi placée entre ces deux pôles - l’universel et le particulier ».

D’autre part, non seulement Jean Paul II s’était exprimé vigoureusement en défense du « droit des nations », mais le futur Benoît XVI avait rédigé en 2002 une importante Note doctrinale concernant certaines questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique :

« L’enseignement social de l’Église n’est pas une ingérence dans le gouvernement des pays. »

« Il n’appartient pas à l’Église de formuler des solutions concrètes – et encore moins des solutions uniques – pour des questions temporelles que Dieu a laissées au jugement libre et responsable de chacun »

« il faut rejeter les positions politiques et les comportements qui s’inspirent d’une vision utopique qui, transformant la tradition de la foi biblique en une espèce de prophétisme sans Dieu, manipule le message religieux, en dirigeant la conscience vers un espoir purement terrestre, »

François, lui, viole et l’enseignement de Jean Paul II sur le « droit des nations », et celui de Benoît XVI, sur la non « ingérence de l’Église dans le gouvernement des pays », il prétend dicter une solution unique sur les questions temporelles de l’obtention de la nationalité, de la politique migratoire, des contrôles aux frontières, du dumping social, il se livre entièrement à l’utopie mondialiste, à l’utopie ultra-libérale de Davos et du pacte de Marrakech.

Le catholicisme est universel religieusement (pas absolument puisqu’il admet des Églises particulières en son sein), mais il défend le « droit des nations » et il n’est pas « ingérence dans le gouvernement des pays »...

François fait tout le contraire : il est relativiste religieusement, il attaque le droit des nations et il fait de l’ingérence dans le gouvernement des pays. Il n’est que « le pape Clinton »...

Oui, même ici, les catholiques se font démolir ! A Titus qui explique ce qu’est la religion judéo-chrétienne, il se fait malmener et est moqué ! A la fin, comme les textes le disent et cela se voit vraiment la moisson se fera.
La séparation du bon grain de l’ivraie. Les personnes croyantes et bonnes vont s’améliorer de plus en plus. Les personnes méchantes, vont le devenir de plus en plus, rustres, arrogants, dangereux. La moisson se fera naturellement.
Gardez la foi, nous sommes attaqués de toute part, nous les catholiques. Pour les autres confessions, je ne sais pas. Vous pouvez me répondre aimablement, si c’est pour me répondre méchamment et sans argument à part l’invective cachée, cela n’est pas la peine.

Effectivement. Ce mensonge, c’est les médias qui en sont responsables, puisqu’ils l’ont divulgué de cette manière.
En fait, ce qu’il eu fallu dire, c’est que le Pape Français a juste encore fait une demande de pardon sans queue ni tête (ça ne veut rien dire ces culpabilités diffuses et collectives, au sujet de la mondialisation par exemple, ça ne renvoie à rien, ça ne signifie rien, et encore moins métaphysiquement), et dans une formulation sans queue ni tête.

ça reste complètement con, mais effectivement il sait qu’il ne peut pas toucher comme ça au granit du magistère, il se contente de semer des âneries à côté..

Vous mangez encore vos semblables au Congo ?