Soral et Dieudonné ont compris que le premier devoir du combattant est de rester en vie , pas Reynouard .

Non @Florian Geyer, le premier devoir d’un combattant est de vaincre ou de permettre la victoire, pas de vivre ou mourir...

Sauf que la Première République Française qui en fit sa devise fut un régime beaucoup plus sévère que le précédent en matière de libre expression des opinions, en fait ce fut le régime le plus dur du monde occidental de son temps à cet égard, au point de devenir un symbole de contrainte idéologique aux yeux de la plupart des autres pays, comme allaient le devenir plus tard l’Allemagne et l’URSS. "... pourvu que leur manifestation ne trouble point l’ordre public" : cela incluait toute expression d’opinion remettant en cause ou mettant en doute le droit de propriété tel que défini par le Code Civil, cela incluait surtout toute propagande pour une autorité contre laquelle la République était en guerre, dont en tout premier lieu celle de la Rome papale. Le but premier immédiat visé par cet article fut de justifier la guerre aux prêtres dits "réfractaires".

Le Code Civil auquel se référait l’article pour décider du caractère subversif ou non d’une opinion était alors en cours de compilation, on tend à l’oublier, en tant que sous-ensemble du droit talmudique, incluant entre autres la présomption de culpabilité et non pas d’innocence jusqu’à preuve légale du contraire, preuve toujours très coûteuse en frais de police et de justice pour l’intéressé. En pratique, tout était mis en place surtout pour rendre impossible toute contestation des jugements conduisant à la liquidation des biens de l’Église, ou encore des corporations artisanes.

Ce prétendu "droit de l’homme" était en fait une simple copie en style plus prétentieux, plus cynique et plus explicitement anti-populaire du "bill of Test" anglais d’alors qui autorisait toute expression de doctrine religieuse pourvu ce faisant de jurer qu’on n’était ni catholique ni inspiré par une autre religion présumée contraire au "common law" ou dirigée depuis une capitale ennemie.

@ Claude 33

Où diable avez-vous lu :

" qui dès le départ voulait réduire en esclavage le peuple de France "

dans Tintin et Milou ?

Cher Monsieur,

Puisque le modérateur vous a laissé parler, et que vous souhaitez des réponses, permettez-moi plutôt de vous poser en retour une autre question. Pouvez-vous me citer les sources précises et directes (donc sans vous appuyer sur les historiens postérieurs à la 2e guerre) qui vous permettent de définir le nazisme comme "un régime sanguinaire bien qu’anti-bolchévique qui dès le départ voulait réduire en esclavage le peuple de France" ? Je ne vous demande pas des jugements de valeur, mais des citations, des déclarations officielles, des lois ou des actes indiquant que dès le départ (voulez-vous dire 1933 ?) Hitler voulait réduire en esclavage le peuple de France. Cela me permettra de porter un jugement aussi assuré que le vôtre sur la question.
Cordialement

Où diable passent mes droits de réponse ? Au fonds des cachots ???
Sans doute qu’en mentionnant " Mon Combat "...de qui vous savez, ai-je franchi la limite autorisée ??

Désolé, à tous ceux que ma réponse intéressait....

@ BUBU : cessez de prendre les gens de haut, et restez sur le plan :

1 - des paroles et actes commis consignés par les faits , les photographies ou films d’époque et cessez de jeter le discrédit derrière tout témoignage ! C’est bien le rôle d’un historien !
2 - j’ adore Tintin et Hergé qui avait une très grande culture ésotérique de ce qui semble vous dépasser, même si au nom d’une survivance idéologique fantasmatique du national-socialisme et d’une nostalgie implicite par certains, certaines vérités ne sont pas bonnes à entendre !
3 - Pour ceux qui cherchent réellement, le net suffit largement pour orienter vers les bonnes réponses et les documents ad hoc...

Il est certain que si certains " forumeurs " peuvent laisser une dizaine de messages sur un sujet telle @Louve de France, ce n’est pas le cas de tout le monde....Liberté d’expression à géométrie variable . Point barre !

Qu’est ce que la mise en esclavage du peuple français ? Le STO ? Ceci est un impératif de guerre et rien ne dit qu’il aurait été encore de vigueur après la guerre. Il fallait augmenter la production, pour équiper les armées et gagner la guerre. Sinon on retombait aux mains des ultra-libéraux ou des Rouges.
Si il avait voulu le faire, il aurait déclenché une guerre mondiale et envahit toute l’Europe de son plein gré. D’accord pour nous renseigner sur Internet, mais c’est très vague et toutes les sources ne sont pas concordantes.
Si vous voulez comprendre pourquoi Vincent Reynouard est devenu national-socialiste, je vous conseille d’aller sur son site phdnm.org. Il explique comment cette doctrine demandait un effort de tous pour revitaliser une économie détruite et une société décadente avec le contrôle de l’Etat. Je me permets de rappeler que les ouvriers français volontaires, comme ceux du STO bénéficiaient, un d’avantages comme des tickets de rationnement et deux, d’un cadre de travail meilleur que toutes les usines françaises ou anglaises, et bien sûr d’un salaire qui n’avait rien à envier à personne. Comme esclaves, on a vu mieux.
En espérant que ce message passe.

Intéressant, on réponds à un aspect d’une de mes réponses alors que des propos de Goering ( n°2 du régime ! Quand même !) sont passés à la trappe ! Rien sur le livre d’ Hitler ! Libre à vous d’avoir , sans l’ avoir vécu vous-même, une vision Fichtéenne et idolâtre du STO . C’est pas le ressenti de mon pater qui lui l’a bien vécu. Dois-je rappeler toutes les purges effectuées pas les SS contre les SA, les hautes trahisons et revirement de ce cher Adolf.
Ce que je regrette au fonds, c’est que les nostalgiques dans votre genre puisse avoir une quelconque sympathie pour un régime, une idéologie racialiste sur un site qui prétends dépasser toute forme de communautarisme et prôner la fraternité ! C’est vachement cocasse...Je terminerai par ces paroles forts sages :

" Et qu’on ne vienne pas encore me citer Adolf. Le NSDAP n’est pas arrivé électoralement au pouvoir ! Mais il l’a conquis de haute lutte, après une guerre civile de quinze ans, menée impitoyablement avec une Sanglante Armée privée de scrupules humanitaires. Le suffrage fut le couronnement légal de ce processus révolutionnaire. Ou contre-révolutionnaire si l’on veut. Ce qui compte c’est que le national-socialisme au pouvoir fut la prise de l’appareil d’État démocratique-bourgeois par la violence, et sa transformation en un Etat de prétoriens. On est loin d’un gouvernement d’Avocats."

de Felix Niesche tiré de son article De Lyon

La trahison envers les SA... Hitler a supprimé un milice de 3 millions d’hommes, soit le groupe armé le plus puissant d’Allemagne qui se croyait toujours en révolution après 1933, continuait dans la violence de rue et Rohm gênait, parce qu’il étaut homosexuel et commençait à dévelloper le culte de sa personnalité. De plus, à quoi bon avoir une armée politique lorsqu’on dirige un état ? Il y a la police pour cela ! Tous les membres de la SA (sauf les officiers exécutés suite à des soupçons de sédition) ont été incorporés dans la SS, l’armée...
Quand au racisme, il n’est pas propre à tous membres du NSDAP. Certains affirmaient même que c’était minoritaire. Si vous voulez des citations, j’ai Goering, qui a dit à Nuremberg "Je ne croyais pas en cette théorie de supériorité des races, tout au plus qu’elles étaient différentes". Et certains nationaux-socialistes étaient d’ex-communistes...
D’ailleurs le national-socialisme était au départ un programme économique et social qui n’avait rien à voir avec le racisme. Il impliquait tout le monde dans le relèvement de l’Allemagne (ce qui demandait l’abolition du communautarisme des minorités ou leur évacuation).

@Claude33 (bis)

Je vous avais écrit : "Je ne vous demande pas des jugements de valeur, mais des citations, des déclarations officielles, des lois ou des actes indiquant que dès le départ (voulez-vous dire 1933 ?) Hitler voulait réduire en esclavage le peuple de France..."
Or aucune de vos réponses ne donne un seul exemple précis ; vous préférez brandir "Mon combat" comme un épouvantail, sans en extraire la moindre ligne, ou invoquer le "ressenti" de votre "pater" et autres "purges" contre les SA, alors que la question portait sur la mise en esclavage de la France, décidée d’après vous dès le départ.
J’attends...

Claude33 se croit censuré : il ignore donc que ce sont les lois antiracistes qui interdisent de citer certains passages !

Il faudrait préciser ce que veut dire mettre un pays en esclavage. Est-ce politiquement, au sens où François Furet, Annie Kriegel et d’autres, dans un article de La Nouvelle Critique en 1947, appelèrent Léon Blum « un plat valet des Américains » ? Est-ce au sens figuré, comme avec la dette qui nous asservit aux banques ou avec les 269G de Reichsmarks de réparations que le traité de Versailles imposa à l’Allemagne en 1919 ? Est-ce au sens propre, comme avec le plan Lepelletier par lequel notre Révolution projeta de faire de tous nos enfants des esclaves ?

Sur le racisme, se renseigner sur les opinions de Churchill sur les Juifs et autres "non-Aryens", sur celles de de Gaulle, et voir la vidéo de M. Reynouard, surtout si on veut le critiquer comme voudrait le faire Paul33, sur le racisme et le N.S.D.A.P.

Le meilleur résumé du IIIe Reich fut à mon sens donné par Charles de Gaulle (Mémoires de guerre, tome 3), évoquant le suicide d’Hitler : « Pour ne pas être enchaîné, Prométhée se jetait au gouffre. » Il rappelle son parcours : « Hitler, parti de rien (...) », les années de luttes violentes, l’arrivée au pouvoir, les camps de concentration, la répression meurtrière, les annexions... Il n’est besoin que d’y ajouter la lecture des œuvres d’Ernst Nolte (p. ex. Fascisme et totalitarisme, Robert Laffont, Paris, 2008), de Robert Gellately (Avec Hitler ; les Allemands et leur Führer, Flammarion, Paris, 2003) et Paul Rassinier (Les Responsables de la Seconde Guerre mondiale, Paris,1967) pour remettre en perspective le résumé sec qu’en fait de Gaulle.

Il conclut ainsi : « Jusqu’au bout de l’agonie dans son bunker berlinois, Hitler demeura inflexible, indiscuté, impitoyable, comme il l’avait été dans les jours les plus éclatants. Pour la sombre grandeur de sa gloire, il avait choisi de ne jamais hésiter, transiger ni reculer. Le titan qui d’efforce à soulever le monde ne saurait fléchir ni s’adoucir. Mais peut-être, écrasé et vaincu, redevient-il un instant un homme, juste le temps d’une larme secrète, au moment où tout finit. »

Paul33 pourrait lire, de James Bacque, Morts pour diverses raisons, Éditions Sand, 1990, ne serait-ce que pour comparer avec ce que lui a dit son πατηρ/pater/пать/Vater... son papa, quoi...

1°) Soral ne se réclame que d’une économie nationaliste et socialiste [8m8s http://m.youtube.com/watch?v=IIZ37T...] comme des antiracistes notoires avant lui [http://www.kontrekulture.com/produi...] ; Claude33 excède toute limite en résumant comme il le fait les propos de Soral.

2°) M. Reynouard a expliqué son avis sur les races en des termes qui ne méritent aucun des reproches de Claude33, à mon sens [34m23s http://m.youtube.com/#/watch?v=VLKN...]

3°) Ce n’est pas la peur de la violence qui poussa Hindenburg à nommer Hitler chancelier mais le blocage politique. Aux élections suivantes, le parti d’Hitler remporta 44% des voix et un parti à icelui allié, 8%. Le soutien populaire d’Hitler est discuté. Les antirévisionnistes Martin Broszat et Robert Gellately ont qualifié le IIIe Reich de dictature plébiscitaire et de dictature démocratique, respectivement. De Gaulle : « Le peuple allemand le servit [son Führer] de plus d’efforts qu’aucun peuple, jamais, n’en offrit à aucun chef. » Mitterrand, le 8-V-1995, rendit hommage à « la vaillance du soldat allemand, quelle que fut l’idéologie qui habitait son uniforme. »

4°) Ainsi que l’avait fait Anonyme à la page d’É&R dont j’ai donné le lien en répondant à Hervé, je salue la qualité des messages de BUBU qui ne mérite aucun des reproches que lui fait Claude33, qui ne voit pas la poutre qui est dans son œil.

5°) La lutte violente du N.S.D.A.P. doit être mesurée à la violence que d’autres aussi commettaient en Allemagne : voir Gellately et Nolte. Rappelons que l’U.R.S.S. se fonda sur une révolution qui tua 1,2M de combattants et 7M de civils et qu’elle fusilla plus de 0,8M de ses citoyens dans les années 30 : c’est aussi à cette aune, et non seulement aux moindres violences des régimes capitalistes (quelques dizaines de morts, p ex 17 le 16-II-34 en France), qu’il convient de mesurer le bilan de la Nuit des longs couteaux (77 morts selon Hitler, env. 1 000 selon certains historiens) ou de la Nuit de cristal (35 Juifs tués selon Hilberg, au moins 91 selon Gellately).

6°) J’aurais dû dire esclavage financier pour la dette, et pour Versailles dire 269G de marks-or. Un esclavage ou une soumission symbolique serait plutôt ceci, en 53s > http://m.youtube.com/watch?v=owFF0K...

Non, et il est peu probable qu’elle le soit. Il faut savoir que, cet été pendant le Meta Tour, le Pr Robert Faurisson a été interviewé par TEPA et l’interview a été mise en ligne. Cette interview, longue, n’a pas été uniquement une interview sur l’homme Faurisson, sur ses opinions politiques et son parcours (comme l’interview de Vincent Reynouard par Franck Abed) mais également une discussion sur le fond de la question des chambres à coucher. On était assez proche du film de Blanrue (et peu de choses nouvelles ont d’ailleurs été dites)

Bien évidemment, la loi Gay-Sot a été abondamment outragée (expression publique de "négationnisme") et la LICRA a intenté une procédure contre Meta TV.

L’interview de Vincent Reynouard, comme les autres éditions de la Libre Antenne, a du durer suffisamment longtemps pour que le fond de la question des chambres à air soit abordée. Je pense donc que cette émission ne sera pas mise en ligne, du moins pour l’instant, tant que la procédure contre la LICRA ne sera pas achevée.

De plus, il faut savoir, Vincent Reynouard n’ayant pas eu les moyens de se rendre sur le plateau de Meta TV, que cette interview s’est faite par Skype.