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Viol rétroactif et show-biz : Asia Argento/Harvey Weinstein, Luc Besson/Sand van Roy

Cannes s’achève en beauté et en viols, cette année. Gilles Jacob peut être fier du festival qu’il a laissé à son comparse Thierry Frémeaux : c’est à qui sera le plus outrageusement LGBT, pro-migrant, et on ne parle même pas du sionisme qui cimente tout ça. La 71e Fête du Slip a été un peu gâchée par la remise des prix, que tout le monde a déjà oubliée.

Asia a balancé Harvey, et une des actrices de l’écurie Besson a balancé son boss. On est bien dans le show-biz, d’où il est impossible de dénouer les fils entre boulot, amour, vénalité, sexe et chantage. On ne prendra évidemment pas parti dans ces affaires troubles, non par machisme rudimentaire et antiféminisme primaire, mais parce que même un juge aura du mal à détacher la vérité de ses parasites dans ce foutoir. Au sens propre comme au sens figuré.

 

Clôture du 71e Festival du Viol

Prix spécial du jury : Sand van Roy.
Premier prix d’interprétation féminine : Asia Argento.

 

 

Du côté de chez Sand, on a beaucoup réfléchi avant de se décider à envoyer le missile à la justice. C’est après une nuit de réflexion chez une amie, comme l’écrit Europe 1, que la jolie Sand s’est rendue au commissariat du XXe parisien. Si personne ne connaît cette actrice, c’est qu’elle n’a eu que des petits rôles dans trois des films de Luc : Taxi 5, Valerian et Anna (pas encore sorti).

« Que s’est-il passé ? La jeune femme, qui entretiendrait une liaison avec Luc Besson depuis deux ans, l’aurait rejoint au Bristol à son retour de Cannes vers 23 heures avant de quitter la chambre vers 2 heures du matin. Entendue vendredi soir par les policiers du 1er District de police judiciaire (DPJ), elle aurait décrit une relation sexuelle – “sans grande douceur,” selon les termes d’une source proche du dossier – qui s’apparenterait, selon elle, à un chantage à l’emploi dans la perspective de sa carrière. »

On voit que c’est du solide ! C’est le côté pervers de Me Too et autres Dénonce ton porc : beaucoup de pseudo-stars se refont une santé médiatique et financière sur le dos de leur producteur ou réalisateur, qui a bien dû avoir un geste cochon un jour contre elles. Cela parasite les vraies affaires de viol ou de chantage à l’emploi qui sont légion dans ce secteur économique.

En effet, il n’y a pas de règles, peu de lois (tout se gère en off par des avocats ou des hommes de main), et la moindre plainte signifie exclusion définitive du marché et des privilèges qui vont avec. C’est pourquoi, on l’a déjà écrit, les jeunes actrices ambitieuses ravalent leur ou leurs agressions sexuelles et attendent la fin objective de leur carrière ou de leur notoriété pour se rendre compte qu’elles ont été violées. Ce n’est pas du cynisme, c’est la loi du show-biz : prends le fric et ferme ta gueule. Quand tu l’ouvriras, tu pourras dire adieu au pognon, sauf si tu gagnes ton procès. Mais va prouver un viol qui date d’il y a 20 ans !

 

 

Asia Argento, née en 1975, avait 21 ans à l’époque des faits. C’était donc en 1996, il y a 22 ans. Aujourd’hui, les actrices sont plus malignes : elles conservent leur robe avec des traces suspectes (à la Monica contre Bill), enregistrent leur amant (Amber Heard a enregistré Johnny Depp dans une scène de « violence »), elles se sont adaptées. Les proies ont découvert de nouveaux moyens de défense face à leurs prédateurs... qui sont aussi leurs souteneurs, pardon, leurs soutiens, parfois leur amoureux et souvent leur prince généreux. Bonne chance aux juges pour détricoter tout ce bordel !

Pour les amateurs de cinéma, Sand van Roy apparaît pendant une demi-seconde à 1’35 dans la seconde bande-annonce de Taxi 5, œuvre qui n’a étrangement pas été sélectionnée à Cannes cette année. Sûrement un complot !

 

Le Festival du Viol, voir sur E&R :

 

Le féminisme donne de mauvais films,
allez plutôt sur Kontre Kulture

 






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44 Commentaires

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  • A l’instant un camarade me racontait une performance musicale récente de Lisou Prout, en compagnie de Jean-Louis Costes : "assez rapidement elle s’est mis un micro SM 58 dans la ch...".
    Quand ça c’est possible, plus un anus éjectant des étrons en gros plan, faut pas s’attendre à un retour de Paul et Virginie.
    Le dernier des bouges culturel de province déborde de p... à coke, de dégénérés cool. Tous sont rincés à partir de la quarantaine. La génération suivante prend le relais.

    Alors Cannes... La petite d’Argento est d’une ignoble hypocrisie et lacheté. A noter : la menace hystérique de déclancher une dénonciation médiatique sur qui ne rampera pas...

     

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  • Une simple ballade sur la croisette ou dans les clubs de Cannes pendant le festival vous permet de constater le nombre de jeunes femmes habillées comme des ...pour lesquelles cette histoire est un compte de fée.

     

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  • Ce serait pas parce qu’il ne lui jamais donné de rôle majeur qu’elle porte plainte ? qu’elle différence avec BB qui savait se faire respecter par Cluzot.

     

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  • #1969805

    Le monde du cinéma est à l’image de ceux qui le produisent.

    La prostitution, le chantage, le harcèlement, les violences sexuelles, les scandales, la pédophilie, la came, les excès, sont dans son ADN. Rien de nouveau là-dedans. Un cloaque infâme dans lequel évolue des prédateurs malfaisants et des courtisan(e)s vérolé(e)s.

    Le strass, les paillettes, les podiums, les tapis rouges, les spotlights, le champagne, les smokings, les tenues de gala, les escarpins et les rivières de diamants ne sont là que pour faire écran et faire oublier à tout ce beau monde la réalité sordide dans laquelle ils évoluent.

    James Ellroy décrit très bien l’envers du décor de l’industrie cinématographique américaine. D’ailleurs, juste derrière Hollywood, se trouve la vallée de San Fernando que les américains appellent Porn Alley. L’épicentre de l’industrie pornographique mondiale et un immense incubateur pour MST à ciel ouvert. Le revers de la médailles pour de nombreuses starlettes et une occasion de faire quelques billets pour les techniciens des studios.

    C’est une belle métaphore de ce qu’est le cinéma. Côté pile tu rêves, côté face tu chutes. Mais ce sont les deux faces d’une même réalité.

    Ces pseudos révélations qui ponctuent l’actualité ne font que confirmer l’ampleur du phénomène et l’étendue du mal qui gangrène la profession. Chacun de ses membres est partie prenante de cette mascarade. Les actrices couchent, les producteurs baisent et les avocats comptent les points. Les hommes aiment le pouvoir et les femmes aiment les hommes qui ont le pouvoir. Chacun joue sa partition et c’est comme ça depuis que le.monde est monde.

    Quant tu rentres dans la chambre de Harvey Weinstein aka The Pig, tu sais ce qui t’attend et tu sais pertinemment pourquoi tu y vas. Ces actrices qui veulent se refaire une virginité à posteriori me font bien marrer. C’est peut être dans le rôle de victimes qu’elles sont les meilleures, et c’est d’ailleurs ce rôle de composition qui leur vaut une reconnaissance unanime de la part de la profession.

     

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    • J’ai plus de respect pour Weinstein qui a signé de nombreux films géniaux que pour les succubes qui, après avoir écarté les pattes devant le tout Hollywood et la planète entière, viennent jouer les vierges effarouchées devant la plèbe.

      Genre dans les 81 connasses qui viennent parler du respect. Il y a l’autre bouffonne qui a tourné une scène de broute minous de vingt minutes sans coupure. C’est pas du cinéma, c’est du jardinage.

       
  • Ça pue le fumier femeniste & Cie ! :)

    Comment les démones et leurs sbires sous l’apparence de femmes investissent la culture dont le cinéma devenu un appArt  à pArt, usé ! ....

    Sous le soleil de satan des projecteurs des Lumières du Marquis de Sade et de ses boudoirs ! Où l’on apprend qu’« au printemps 1768, qu’un marquis a abusé de la pauvreté d’une veuve de trente-six ans, Rose Keller, demandant l’aumône place des Victoires : il a abordé la mendiante, lui a proposé, selon la version de Rose Keller lors du procès, une place de gouvernante. Sade fait semblant de comprendre qu’elle se prostitue de temps à autre (ce sera sa défense lors du procès), car les veuves et femmes abandonnées de cette époque peuvent être réduites à la fois à mendier et à se prostituer » .(wikipedia).

    Qui racontera au cinéma l’histoire de cette pauvre femme, Rose Keller ?

    Le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée acceptera-t-il de subventionner un tel projet ? N’a-t-il plus de national  que le nom ? parce qu’une Rose Keller, fille du peuple CRIE encore son viol des mêmes aristocrates de la ripouxclique  d’aujourd’hui lesquels s’acharnent à violer aussi les consciences du Peuple par un 7e Art dévitalisé, à leur image à savoir celle de dégénérés dont la dépravation sexuelle est la marque = ponérologie (science du Mal appliqué au Politique) ;

    Toutes ces créatures sous l’apparence de mâles, femelles ou les deux à la fois, ne sont que les avatars morts-viandeux de démons les ayant investis, possédés pour passer à la caisse ou la casserole comme on voudra, acompte au crédit du satan après leur trépas lequel se régale d’avance sur recette sur ces âmes désacrées par l’Avoir et le Paraître.

    Elles devront rembourser au centuple au Festival du Purgatoire toutes les prostitutions auxquelles elles se sont livrées pour le satan, pieuvre ténébreuse et suceuse des énergies-informations : elles seront restituées Grâce à l’alchimie divine au Tout-Puissant qui du fumier en fera à nouveau de l’Or !

    « Et je leur dirais, ne vous étonnez pas, si les salles sont vides, et contentez-vous des subventions, .... » ext. commentaire de dixi.

    Ben oui ! Salles vides signe que la population n’est pas dupe et pas si mouton qu’on le croit. Subventions pour cinéma de propagande, rien de plus.

    « Le prodigue répand l’or comme du fumier et l’avare recueille le fumier comme de l’or  » (proverbe chinois)

     

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  • Asia Argento semble super saine comme nana, houlala je fuis devant une pareille pétasse flippée qui se sursignifie par son corps, la vache ce regard possédé !
    NB : est la fille du réalisateur Dario Argento, je vous invite à visionner pour ceux qui ont envie de se souiller les films Suspiria, Inferno, Ténèbres, Phenomena l’esthétique du satanisme, des scènes baroques de violence et d’excès.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Dario...
    C’est durant cette période que, de sa liaison avec Daria Nicolodi, naît sa fille, Asia Argento.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Daria...
    Fille d’un avocat juif et d’une philologue catholique, la jeune Daria commence à se produire sur scène dès l’âge de 14 ans. À 17 ans, elle fugue de la maison familiale. [...] Comme actrice dans cinq films du réalisateur ou comme collaboratrice au scénario de Suspiria puis coscénariste de Inferno, Daria va vivre avec Argento une longue aventure autant professionnelle que sentimentale et qui verra la naissance d’une fille – Asia. Daria semble vouée aux rôles de femmes fortes, indépendantes et parfois téméraires, même si les emplois que lui donne Argento sont souvent proches du faire valoir. [...] Coscénariste de Suspiria , Daria Nicolodi raconte que sa principale source d’inspiration pour ce film furent les souvenirs de sa grand-mère qui lui a maintes fois raconté comment, enfant, elle avait été inscrite dans une académie de piano, avant de s’en échapper en découvrant qu’en réalité on y enseignait la magie noire. Cette école, dont elle tait le nom, existerait toujours quelque part entre la Suisse et l’Allemagne.

    Se souiller l’âme en visionnant ces films.

     

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  • Déjà, rendez-vous dans un hôtel voir une chambre d’hôtel ! Genre t’as pas pigé l’embrouille ? La gonzesse dans Taxi 5 joue une nympho et son rôle est à 90% quasiment à poil, soit environ 9 minutes sur les 10 minutes.

    Ras le bol de ces hystériques qui n’assument pas leur catineries !

     

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  • La goujaterie n’est pas un viol

     

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  • Le fantasme de la majorité des hommes, c’est de sortir avec une femme qu’on dirait une sainte, alors qu’une fois au lit, elle devient la reine des salopes.
    Les gonzesses comme Sand van Roy, c’est tout l’inverse : elles font les putes toute la journée, et le soir venu, elles voudraient qu’on les prenne pour des saintes.

     

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  • Stand Van Roy ? Je pensais que c’était un footballeur hollandais.

     

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