Destruction aussi symbolique qu’inattendue au Pays basque espagnol le 10 juillet 2017. Des militants d’extrême gauche ont voulu abattre ce symbole du christianisme (qui ne gênait pas la circulation), mais la chose ne s’est pas passée comme prévu...
L’accident vu sous l’angle des spectateurs :
Le bilan désastreux de l’action :
Évidemment, toute la cathosphère – selon l’expression infamante du Monde – leur est tombée dessus (attention, certains messages comportent des gros mots, éloignez les enfants) :
— Kasmina (@Kasmina12) 25 juillet 2017
Cela va-t-il être pris en accident de travail ? Il faudra aussi leur prévoir des pensions handicapés ainsi que des priorités destationnement
— Gourlot (@Gourlotpascon) 25 juillet 2017
ils ont été punis ... quels cons ces gauchiottes !
— LeNidAigle3 (@LeNidAigle3) 25 juillet 2017
Pourquoi l'avoir détruite ? En quoi cette ➕, là depuis des années, les gênait ? Ces merdes gauchiasses détruisent l'Europe et sa civilisation
— lamponefran▽ن (@lamponefran) 25 juillet 2017
En espérant avec humanité que les blessés seront vite sur pieds (pour éventuellement détruire d’autres croix qui choquent leur conscience), nous leur conseillons de lutter contre des idées avec des idées, pas avec des bulldozers, comme en Israël.
Voici un résumé parfait de l’affaire par le site qui relaye les épisodes de christianophobie, et ils sont nombreux :
La municipalité de Larrabetzu (en Biscaye, communauté autonome du Pays basque espagnol) est dirigée par le parti de gauche Euskal Herria Bildu. Elle décida le 26 avril dernier, à l’unanimité des conseillers municipaux, d’abattre la Croix de Gaztelumendi, érigée après la guerre civile espagnole en mémoire des soldats nationalistes tués au combat par les soldats républicains de gauche. Cette croix était en ruine et dangereuse, car pouvant s’écrouler, à tout moment, mais elle était surtout un symbole d’un régime, d’un passé et d’une religion honnis par la gauche espagnole. La municipalité organisa donc un événement le 10 juillet dernier : l’éboulement public de la croix en présence des militants de gauche et d’indépendantistes basques et catalans. Aux accents de L’Internationale, elle s’abattit en effet mais… sur les présents dont six furent blessés dont deux grièvement…
Pour donner une idée de la distribution des actes antireligieux par rapport aux religions officielles en France, voici deux tableaux :