Beaucoup de chose à commenter à propos de ce que dit JZ. En commençant par la fin, apprendre à coder est certainement une des première chose à faire. Ce n’est pas tout à fait la première chose à faire. Au commencement, il y a d’abord l’acquisition de la Méthode et le développement intellectuel de la pragmatique numérique. Deuxièmement, il est nécessaire d’étudier l’histoire du développement numérique à commencer par les différentes mathématiques développées historiquement et interprétées par les puces : le binaire, l’octal, le décimal et l’hexadécimal (langage machine). Troisièmement, passer à la pratique par l’exercice en appréhendant un langage universitaire comme le Pascal, un langage de bas niveau très pragmatique puis migrer rapidement sur le langage de bas niveau le plus usuel dans le monde du développement, le langage C. Certes il existe d’autre langage très utile. C’est comme une boite à outils, chaque langage utilisé dépend de ce que l’on désire réaliser, jusqu’au langage utilisé dans le cadre de l’intelligence artificielle. Évidement, énormément de littérature à avaler et à digérer. Ne parlons pas de l’investissement temps personnel jour et nuit car l’ordinateur est un outil créatif ou les seules limites sont matérielles comme partout ailleurs. Ce n’est pas rien. Une toute petite frange de la population est susceptible d’aborder cela. Les codeurs expérimentés sont finalement peu nombreux par rapport à la majorité même très instruite ou diplômé.
Une chose importante est la méconnaissance des fondements de l’outil. L’électronique est une fonction de physique pure. L’on a créé des puces grâce à une connaissance finie à un instant "T". Les désidératas en matière de développement sont en tout premier lieu militaires, c’est à dire que c’est d’abord l’adversité dualiste qui pousse à faire émerger les moyens. La rétention d’information instructive provient de ce fait. Puis vient le dépassement, l’évolution, l’instruction technologique devient militairement obsolète et basculent dans le civil "commercial" tout en repassant par le domaine universitaire. Enfin l’esclave, le travailleur, accède à la chose dont il ignore tout ou presque, dans la grande majorité des cas. Donc nous pouvons déduire aisément que la création humaine nous est subtilisée pour nous combattre et nous est rendue pour nous asservir.
La première prise de conscience est donc la réappropriation de nos biens créés. C’est un long combat qui s’annonce pour la liberté. A quel prix ?