Voilà des décennies que les USA s’ingèrent dans les affaires intérieures du VNZA, avec les toujours mêmes gimmicks, les toujours identiques discours et ’outils’. Voilà des décennies que les gouvernements successifs du VNZA ne font que s’approprier ce que rapporte la rente pétrolière et que ce qui retombe au sol, sur le Vénézuélien de base, suffit à peine a le faire survivre. Là aussi, toute réforme de fond est impossible puisque ça reviendrait, oh miracle ! à la naissance, ex-nihilo, d’un bipède qui serait prêt à partager tout ce qu’il a en trop avec celui qui n’a que des choses en moins. Il y a fort a parier que le jour est encore lointain qui verra ceux qui peuvent aujourd’hui se goinfrer en toute tranquillité (ils ont organisé le système pour ça...) calmer leurs ardeurs dans l’accumulation de richesses et consentir à laisser d’autres qu’eux bénéficier de la rente. Et les USA, comme toute organisation maffieuse, continueront a servir longtemps encore, moyennant finance, les menées de ceux qui veulent prendre leur tour dans le hold up institutionnalisé. Et pendant ce temps, en même temps que les trois ou 4 galettes de mais qui lui servent de déjeuner et lui collent aux doigts, le Vénézuélien, s’entend resservir ad libitum, le héros incassable, inusable, le libérateur universel, le Bolivar mythique. Marionnette toutes mains dans laquelle ceux qui les vampirisent mettent la main les uns après les autres.Qu’est-ce qui vous empêche de capter les délires radiophoniques des raaaadio Maraaaacayyyy, la mas graaande del muuundoooo pour vous faire une idée par vous-même... !? Cauchemard tropical.