Je suis effaré de voir comment, en si peu de temps, la politique étrangère de la France a changé, passant d’une position indépendante et forte, à une position de tapinage, de laquais des États Unis et d’Israel. Ce président, je n’ose même pas dire notre président, (comme disait un satiriste : "le résident de l’Élisée") est pitoyable, pathétique, et n’en fini pas de faire sombrer l’image et la réputation de notre pays dans le monde. Je vous annonce donc solennellement ce soir, le décès de la politique étrangère de la France, après une longue période d’agonie, commencée en 2007 (lorsque Sarko a été élu).
Nous n’en finirons pas, pendant des décennies, (même quand cet imbécile aura dégagé) vous verrez, de payer de telles erreurs, de payer l’addition, de ce collabora-sionisme avec les deux seuls pays les plus belliqueux de la planète, ne répondez pas tous à la fois, vous savez de qui il s’agit...
Si au moins la France avait quelque chose à y gagner, sur le plan de ses intérêts stratégiques, on pourrait comprendre une telles alliance contre-nature, mais elle n’a hélas rien à gagner, bien au contraire.
Hollande peut continuer, en toute quiétude, de faire le chétif larbin exécutant les basses besognes des États Unis et d’Israel : il n’en demeure pas moins qu’il restera ce qu’il est : un homme indigne de cette fonction de président. Ils peuvent continuer de brailler après Poutine : c’est ce qu’un écrivain appelait joliment "l’hommage braillard, de la couardise à la vertue".
A la toute fin, au bout du bout : nous reconnaitrons les vrais hommes. Poutine en est un.