" du fils de Julian Casablancas, le drogué puffy qui se la pète avec les Voidz, cette copie foireuse de Motorhead"
Elle est bonne ! Mais on ne peut pas non plus reprocher à l’ancien chanteur jolie gueule des Strokes de changer de cap pour exprimer le dégout des ruines de l’indé américain devant la dictature des 1% que représente la féodalité financière contemporaine. C’est léger, mais qu’a-t-on fait nous, à par des commentaires plus ou moins anonymes (merci Edwy) sur différents lieux de la pensée non-conformiste. Chacun fait ce qu’il peut. Quant à la nostalgie de l’époque chère aux groupies de tonton Adolf, si l’on combat le sionnisme et l’idéologie racialiste qui la sous-tend, je vois pas pourquoi "la race des seigneurs", qui nous vouait, nous français (faut-il le rappeler) à un esclavage plus ou moins total au service des blondinets teutons, représenterait une quelconque forme de mieux, tout en ayant à l’esprit que le racialisme scientifique d’Hitler est une émanation directe du colonialisme occidental des Ferry et consorts ("le devoir des races supérieures est de civiliser les races inférieures"). Cherchons mieux, nous français, que la soumission déviante à ce type d’idéologie stupide fondée sur les postulats miteux de l’idéalisme allemand. Comme l’écrivait Bainville, qui à défaut d’etre un historien sérieux (cf Guillemin), nous gratifiait parfois de quelques sentences passées à la postérité : La France n’est pas une race, un peuple ou une religion, la France est une Nation. Soral a toujours bien signifié que l’idée française était très différente de l’idée allemande ou anglaise de l’humanité, soyons en fiers, et défendons là !

A bonne entendeur !