Il y a un grand nombre de suicides, traditionnellement, chez les policiers.
C’est un métier difficile. par ailleurs, il y a en permanence la facilité de disposer d’une arme de service.
Un assassinat maquillé en suicide est toujours possible et il est bon d’étudier ce scénario. Les personnes qui décident de se suicider appellent rarement un groupe de quelques personnes en leur demandant d’assister au suicide.
Les seuls suicides dont nous pouvons avoir une quasi certitude que ce sont véritablement des suicides, sont ceux où la famille est témoin de l’évolution de la personne sur les derniers mois qui précèdent le suicide. La présence d’une lettre manuscrite, sur les lieux du suicide, (donc écrite à la main) est un élément supplémentaire.
Les suicides absolument certains sont ceux qui se passent au petit matin, devant quelques centaines de témoins en se jetant sous les roues d’un train, devant les autres voyageurs, ce qui est très fréquent sur les lignes du RER.
Sur environ 10 000 suicides par an en France, il y a quelques suicides douteux.
Enfin, n’oublions pas que dans des milieux d’une assez grande perversité, il y a des personnes qui incitent, par des manipulations mentales expertes un membre de leur famille ou bien une relation à se suicider : il ne s’agit pas de neutralité, par rapport au suicide, il s’agit délibérément de jouer à un jeu étonnement pervers qui consiste à déclencher le suicide chez la personne :
Créer le désespoir chez l’autre : cela peut être ciblé sur une personne bien définie, ou alors sur un groupe de personnes. Heureusement, cette dernière formule est plutôt rare !
C’est difficile d’être exhaustif sur un sujet aussi sensible : les meilleurs experts francophones sont en relation avec l’Union Nationale de Prévention du Suicide