Un ami suisse me disait qu’ en cumulant ses services militaires il avait passé pratiquement un an sous terre dans des abris. C’est abris qui étaient d’ailleurs quasiment des hôtel étoilés tant ce qui concernait la literie et l’infrastructure. Mais bien-sûr "notre bonhomme" demandeur d’asile n’aurait pas une belle vue de sa fenêtre sur le mont blanc ou cervin...
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