Chez Evola, la manoeuvre est subtile et fuyante, puisque le vrai Evola n’est pas celui des œuvres ésotériques du type Les hommes et les ruines, chevaucher le tigre ou encore l’arc et la massue, réservées au recrutement des degrés inférieurs, des porteurs d’eau. Evola était cabaliste, donc mage,théosophe ; il possédait toutes les connaissances des doctrines ésotériques,il était ennemi juré du catholicisme comme le démontre la riposte cinglante qu’il infligea à un prêtre amené par un ami et qui l’invitait, lui qui était paralysé en dessous de la ceinture à un voyage de l’espoir à Lourdes.
Ce que nous pouvons soutenir avec certitude, c’est que les Evola et les Guénon ont fait leur jeu en véritables maître qu’ils étaient de la subversion antichrétienne, en réveillant par leur oeuvre la mémoire d’une tradition primordiale illégitime, et en ramenant à elle tout leur effort, tandis que la mémoire de l’unique vraie tradition, la catholique, gît depuis trop longtemps obnubilée et languissante. et nous ne pouvons pas ne pas dénoncer que cette société matérialiste rendue stupide, bestialité est précisément le fruit de la manœuvre séculaire de ces cercles gnostiques, qui se réfèrent d’une manière générale à la Franc maçonnerie, qui ont déchristianisé la société avec leurs révolutions leurs idéologies et leurs partis. Et Evola était pleinement un gnostique et meme un gnostique de haut niveau.
Si la tradition catholique pouvait à nouveau resplendir nous verrions de quoi serait capable l’esprit catholique, C’est autre chose qu’une religion de dérobade et d’esclave à la Evola.
Ne nous apercevons nous pas que la babel New Age actuelle se nourrit précisément de doctrines semblables à celles professés par Guénon et par Evola ? qui en dernière analyse sont toute dirigé contre le Christ Lui meme.
La revue internationale des Sociétés secrètes de Monseigneur Jouin définit Evola comme un sataniste italien , un provocateur de l’enfer agent de la supermaçonnerie cabaliste, homme qui ne croit pas au diable qui portant parle exactement comme un possédé, victime inconsciente peut-on dire de celui dont il nie l’existence !