Cher Monsieur Le Professeur,
Je vous remercie pour votre belle lettre.
Je comprends vos regrets d’un réveil tardif.
Mais si cela peut vous soulager, il y a pire : je vais avoir 70 ans dans quelques mois.
Et bien je suis quand même content d’avoir la chance, grâce à Monsieur Soral, de ne pas mourir idiot.
Par ailleurs, je suis du même avis que l’auteur d’un précédent commentaire : soyez prudent.
Ou alors sachez que vous partez au front et qu’il y a péril.
Bon courage et bonne lucidité.
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