"Le mal provient souvent de personnes qui sont vides. Quand on abandonne la conscience, on renonce aussi, à bien des égards, à l’empathie, et à l’amour. Sans ces éléments de notre psyché, il n’y a pas de bonheur. Sans eux, il ne reste que le désir et la gourmandise".
La supériorité du bien sur le mal est une évidence. Et, lorsque l’on transgresse ce code moral, ou "conscience", présent dans le cœur de tout homme, celui-ci s’enferme dans un état qui ne peut que le rendre malheureux. Ce code moral que j’appelle loi de Dieu inscrite dans le cœur de l’homme, a ses propres règles, et comme nous sommes à l’image de Dieu Amour, chaque transgression comporte intrinsèquement son propre châtiment. L’homme est, de par sa nature, attiré par bien, le beau, l’amour. Tout l’univers même reflète cet amour, cette même nature est bienveillante, car chaque atome a aussi été créé par Dieu. Tout le reste n’est que négation et néant, car ne faisant pas partie de notre nature intrinsèque. Le mal est une aberration, une anomalie, une aliénation qui nous éloigne de ce bonheur absolu qui a été mis en nous et dont nous avons la nostalgie...
Tout est lié, tout sentiment d’amour ou d’empathie que nous envoyons autour de nous a une conséquence positive. Je n’aime pas le terme "pensée positive" qui a une connotation trop New Âge à mon goût, je dirais plutôt bienveillance, prières et bénédictions... Et l’inverse est aussi vérifiable...
À ce sujet, voici une petite expérience faite par un scientifique japonais (non croyant) qui le démontre parfaitement : un bol de riz bénit et un bol de riz maudit
http://blogs.univ-poitiers.fr/n-yeg...