Les cahiers de vacances d’ERFM – Réflexions sur le droit
12 juillet 2017 20:49, par Vosgien Volant
La maîtrise du droit est sans doute nécessaire et capital dans cette société, mais cette nécessité est une abomination au même titre que le droit qui est un des fondements et ciment de nos sociétés modernes totalitaires et abjectes.
On nous présente ces amas de textes inextricables (il suffit d’avoir eu à faire à un avocat pour comprendre qu’ils ont un champ d’expertise juridique très limité et sont dépassés) comme quelque choses qui garantis la liberté et la vie de chacun, mais dans la majorité des cas ils sont là pour nous opprimer et nous faire spolier par des prédateurs que l’ordre naturel aurait placé à la position de proies les plus vulnérables parfois. En vérité, les seules lois qui nous protègent sont celles issues du "bon sens" et qui se mettaient d’elles-mêmes en place sans être énoncées car elles étaient naturelles.
L’autre aspect du droit qui en fait un objet répugnant pour le producteur, c’est sa fatuité. Il n’existe pas en dehors de lui-même et toutes les "connaissances" en droit deviennent inexistantes ou fausses à partir du moment où le droit n’est plus.
Même en tant qu’homme, et avec tout le respect que j’ai pour Damien Viguier, comment un homme normalement constitué peut-il trouver satisfaction dans ce pilpoul stérile qui ne serait pas si dramatique s’il ne s’agissait que d’un jeu de gymnastique intellectuelle qu’on mettrait de côté une fois qu’on reprendrait les vraies choses de la vie. Le droit ne sert qu’à prélever des morceaux de chaire sur les producteur et les esclaves sans rien produire en retour.