Hidalgo serre les fesses : Gaspard Gantzer lance le mouvement "Parisiennes, Parisiens"
11 juin 2018 21:09, par de-l’âne-ohé
Delanoë n’a jamais lâché le pouvoir sur Paris. Anne Hidalgo est son prête-nom, et le petit nouveau, un de ses envoyés. Il a toujours un bureau à la mairie de Paris.
Qui nous libérera de ce Tunisien et de ses opaques complices de l’immobilier ? Lui et sa bande se comportent en étrangers prédateurs.
Paris n’avait pas de dette, bien au contraire, avant lui. Cette ville bourrée d’entreprises et très visitée n’a aucune raison d’être endettée, et toutes les raisons de produire de la plus-value.
B.D. s’est félicité du temps de son mandat du noircissement voulu de la population, décrite comme "prenant des couleurs", et gavée d’aides en tout genre. Sous son mandat, la ville s’est aussi remplie d’homosexuels très dépensiers d’argent public et privé.
Toutes sortes de salariés votent pour cette clique. Ils sont contents de leurs salaires insuffisants et du coût élévé des loyers, ainsi que des bistrots du soir où décompresser. Ils ne se posent aucune question, avalent tout, cliquent et zappent. Personne n’aura leur haine, c’est entendu. Il y a des rats ? Pauv’ tites bêtes.
En face, il y a les entreprises. Espérons qu’elles imposent quelqu’un d’entreprenant, aimant le Paris historique. Seul ce dernier attire le tourisme distributif (qui laisse des devises au lieu de les confisquer).