Toujours réprouvé, mais bien plus répandu qu’on ne le croit, ce problème touche toutes les couches de la société, avec des regards variables selon les victimes...
La cinquantaine, intellectuellement brillantissime et cultivé, cadre dirigeant dans une très grande entreprise, sa belle-mère est l’auteur des faits.
Belle-mère beaucoup plus jeune que son père - lui avait à l’époque 12/13 ans - il n’a pourtant jamais utilisé le terme ni de viol, ni d’inceste, mais ceux d’initiation et d’initiatrice - disant avoir eu une sexualité très en avance - et ne jamais s’être senti ni agressé, ni traumatisé, ni culpabilisé...
Ce qui l’a par contre complètement terrassé - certainement à vie - c’est de ne pas s’être rendu compte que son père violait sans doute sa sœur - en HP aujourd’hui - et de n’avoir pas su la protéger.
Famille juive - milieu très aisé - qu’il a définitivement quittée, y compris par l’éloignement géographique, pour refaire une "nouvelle lignée" avec ses propres enfants...
Quant au cas Kouchner, les plus abjects de l’abjecte série de ceux qui étaient au courant mais n’ont rien fait, sont sans aucun doute le père, et pire encore la mère !?
Comment une femme peut-elle bien accepter de continuer à vivre avec ce genre d’immonde pervers, quand la victime est son propre fils !?
Là, malgré la richesse de la langue française, il n’y a même plus de mots...