Réponse à Laurent71 , On mange du sens avant tout , car produire , n’est pas l’origine du problème mais la façon de le partager , la ville impose sont agriculture.
Les beaux discours ? ce ne sont que des chercheurs amateurs , soyons humbles. La liste de la compréhension des choses est forcément plus longue que les découvertes techniques agricoles , mais j’ai idées suite à mes modestes expériences concernant l’avenir des grandes moyennes cultures (adaptés à la vil ville capitale des intermédiaires marchands). si vous voulez remplacer le désherbage (labourre ou glyoho) , il faut occuper l’espace avec de l’hernaria ou bien mieux demandez à l’inra de nous pondre une renouée des oiseaux fourragère , ou un pourpier (c’est riche omega 6) , une euphorbe prostrée , ou un sedum rupestre, ce sera ainsi résistant au sec que l’hernaria .
Du fourrager donc , comme ils ont su si bien faire avec le choux , la chicorée , le plantain , pissenlit , navet , radis , le sorgho , la blette , le maïs et la carotte .... une végétation persistante très proche du sol , qui occupe l’espace en surface sans marcotter , tu passe une sorte de roulette à découper une bandelette de 3 cm de végétation , un truc qui griffe , un truc qui sème ... sur la toison de mère nature c’est mieux que la bourrer comme un âne ou répandre du glypho .
Le bourgeois , boomeur , le citadin , réclament quelque chose à acheter , l’agriculteur exige des preuves , les scientifiques sont des mercenaires dont il faut payer la prestation , et le pionnier est détesté par nature et pauvre.
Si la monoculture ressemble à un désert , copions les déserts , mais en préservant les sols , et sans oublier que c’est pour répondre à une demande hors sol (citadine).
Nous ferions toujours tout mieux avec moins en faisant moins , pour moins de personnes , car mieux réparties sur le territoire.