Mais comment peut-on imaginer un instant vouloir dissuader une femme enceinte de tuer son bébé ? Les femmes doivent être libres de tuer leur bébé, merde, quand même !
En fait, le féminisme repose sur des thèmes assez bê-bêtes, mais qu’on nous présente comme des avancées sociales pour la femme.
La femme a le droit de travailler, mais de préférence, pas à la maison.
Elle doit être l’égale (voire supérieure) de son conjoint.
On doit s’adresser à elle avec déférence, mais pas trop sous peine d’arrière-pensée sexiste ou pire.
Elle doit disposer librement, sans contrainte et en toute circonstance de son corps, peut regretter sa grossesse accidentelle ou carrément désirée, au départ et se débarrasser du "fardeau" quand bon lui semble, vu qu’on rallonge toujours plus la période autorisée pour... ben oui... la mise à mort.
Elle prétend bien évidemment, même si pour le moment c’est raté, à l’égalité salariale. Mais elle ne lâche rien...
Créature prétendument plus fragile et plus faible que les hommes, elle bénéficiera d’une protection accrue -du moins en intentions- de la part des autorités, qui sont censées veiller à la soustraire aux violences masculines ; la raison éventuelle de celles-ci, n’étant jamais, mais alors jamais abordée. Point barre !
La doxa féministe justifiant ce silence par le slogan très commode : "Rien ne saurait justifier les violences faites au femmes"
Libérée, la femme pourra se soustraire aux assauts lubriques et libidineux du conjoint ou des hommes qui ne lui plaisent pas. C’est même un des piliers du féminisme contemporain, gage de liberté totale de la Femme ; celle de pouvoir dire : NON ! Cette liberté, ne s’entendant apparemment pas, au pouvoir de refuser un... vaccin, par exemple, mais bon, le bonheur féministe progresse et émancipe la Femme. À n’en pas douter !!!