Depuis l’indépendance 1980, l’ancienne Rodhésie florissante est devenue :
"Depuis octobre 2018, le pays fait face à une grave crise de change et de confiance dans la monnaie domestique. En 2019, la contraction du PIB a été supérieure à 8 % et les perspectives de reprise pour 2020 étaient inexistantes avant la crise de la Covid-19. La situation budgétaire est précaire, avec de fortes incertitudes sur la capacité du Gouvernement à financer le déficit sans recourir à la création monétaire alors que le pays est coupé des financements internationaux pour cause d’arriérés de paiement vis-à-vis de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement (BAfD) et de nombreux créanciers souverains. Sur le plan monétaire, la situation est aussi chaotique. Fin mars, l’inflation a atteint près de 680 % sur un an et mi-mai, la prime sur le marché parallèle des changes atteignait 140 %. Dans ce contexte, la population zimbabwéenne est très durement affectée – elle s’appauvrit, l’insécurité alimentaire gagne, les services publics ne fonctionnent plus. Les perspectives d’amélioration sont limitées alors que le réengagement de la communauté financière internationale s’éloigne, après l’échec du programme sans financement du FMI."
Heureusement que le pays a été libéré des colons blancs !
Jamais l’Afrique ne sera autonome. Tant qu’elle aura des minerais, ces dirigeants seront corrompus (par les français, américains, chinois, russes, état hébreux...).