Une façon lourdingue et brutale de parler de rapports humains réduits à leur plus simple expression. Les fesses...
Les Blancs parlant des femmes, et les Français particulièrement, en ont dit toutes sortes de choses : ils en ont fait des chansons à boire et paillardes, des chansons à rire ou pleurer, des poèmes et romans qui furent drôles, caustiques, amers, galants, subtils, passionnés, déçus, triste, gais, et même... sadiques.
Avec classe.
Ils n’appellent pas les femmes "mon puits de pétrole ou mon chocolat", mais quand ils leur disent "mon sucre..." c’est raffiné, c’est léger.
"Sugar, honey, honey, you are my candy girl" c’est quand même mieux dit par les Archies.
"Mon front est rouge encor du baiser de la reine.J’ai rêvé dans la grotte où nage la syrène... Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron, modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée les soupirs de la sainte et les cris de la fée."
Mugabe, tu peux aller te rhabiller, et jette ta cravate. Que sais-tu des blancs et même des femmes à part ce que t’inspire l’instinct de reproduction ? Que sais-tu même de l’agriculture et qu’as-tu fait de l’agriculteur ?
Mugabe qui fit torturer les fermiers blancs, affama son pays qui de prospère devint mendiant... Voilà qui laisse à penser dans les pays blancs envahis.
On a parfois l’impression que Mugabe ou Macron, il n’y a qu’une différence de degré : lequel est le plus lourdingue, anti-blanc et le moins inspiré par la femme ?