Le profil de ce tueur n’a malheureusement rien d’étonnant. Son incapacité à s’accepter lui-même, le conduisit au « transsexualisme » une expression autodestructrice son dégout de lui-même. Il impute aux autres ses dérives et ultimement compense par des pulsions violentes.
Il est terrifiant, que ce genre d’individu désaxé soit maintenant présenté en victime, pire en exemple. Ainsi, les médias, parce qu’il est noir, homosexuel, transsexuel nous inviterons à « comprendre » des outrances que l’intolérance des masses justifierait. Un inversement accusatoire grossier, certes, mais que les « biens pensants » utiliseront pour justifier l’innommable.
Les calebasses « LGBTistes », antiracistes, politiciens opportunistes, ne manqueront pas d’étouffer l’affaire, tout comme on étouffa celle de cette lesbienne massacreuse d’écolier il-y-a à peine quelques semaines.
En toile de fond on notera les abus généralisés de prescriptions d’opioïdes aux Etats Unis, le traffic de drogue enrichisseur des mêmes sphère dominatrices, la consommation « ludique » de drogues dures chez les noirs américains, dans les milieux homosexuels (Palmade) et « branché » ainsi que dans les plus hautes sphères de l’état : Zupiter, Biden, Zelensky etc…
Ces gens haïssent la normalité parce qu’ils en sont sortis il a bien longtemps. Ce qu’ils sont devenus leurs fait horreur car il savent qu’ils se sont fourvoyés, qu’ls ont détruit leurs vies. Tous leurs repères sont brouillés, voire sciemment rejetés. Notre refus de sombrer dans les mêmes abus les conduit à vouloir nous détruire.
Ils ne nous haïssent pas pour nos actes mais pour ce que nous sommes. Ils jalousent nos réussites car ils en sont incapables. Ils réclament une reconnaissance qu’ils ne méritent pas.
Ce sont nos pires ennemis.