Tout comme les JOs, avec ce labyrinthe de barrières placées dans tout Paris pour des raisons de sécurité : pour les parisiens qui ne se sont pas tirés en vacances afin d’échapper à cette ville de tarés, et les étrangers : quel choix se proposait à eux ? En descendant de leur appartement, de l’hôtel, ils faisaient face à une barrière réduisant leur liberté de mouvement : vais-je à droite ou à gauche en restant sur ce trotoire ?
Dès lors, mon cerveau totalement détraqué de complotiste d’esstraime drouate imagine un parcours savamment organisé (calculé par des modèles prédictifs) pour que ces "rats", pris au piège, soient contraints de se regrouper là où, oh surprise, des caméras ont été installées là où ils est obligatoire de faire la fête des JOs, histoire de créer l’illusion d’engouement, voire de liesse "populaire", le mimétisme sociétal ayant fait le reste : astroturfing, ayant pris le soin de fermer les restaurants, les troquets,... pour éviter la dispersion et rassembler les "rats" festifs (anti peine-à-jouir) dans les lieux du village des JOs, Potemkine.
Nb : à l’occasion des énormes manifestations contre le mariage gay, Valls a fait le contraire en magouillant sous Photoshop des portions de photos vues du ciel pour cacher les gigantesques rassemblements sur les grandes places de Paris : ils sont prêts à tout pour falcifier le réel pour leur "pognon de dingue", c’est la société du spectacle.