Comprendre le Grand Israël – Eschatologie matérialiste et domination impériale
27 novembre 2024 07:43, par paramesh
La mort était pour les Sumériens une perspective effrayante. Le séjour des morts, le « Pays sans retour », le « Grand En-bas », l’arallu, était un immense espace souterrain qu’on situait vers l’Occident et qui contenait une vaste cité entourée de sept murailles. Un monde – les limbes – où le mort devait vivre éternellement une vie morne et misérable. Un monde de silence et d’ombre :
ce n’est pas exact, cette conception vient de textes tardifs akkadiens (l’époque des premiers nomades sémites, il est plus intéressant de lire des textes reéllement sumériens et là c’est différent : la vie après la mort est une vie pleine et entière, parfait miroir de la vie terrestre avec une évolution et des cycles généalogiques (mais, c’est exact : par de réincarnation dans le monde d’ici comme l’inventeront plus tard les sémites proto hébreux).
d’ailleurs que serait une religion qui ne laisserait aucun espoir après la mort ? c’est illogique.
pour étayer mes dires
https://www.persee.fr/doc/syria_003...