« Vous êtes pire qu’un étron »
29 décembre 2024 14:29, par Vadim KirpichenkoManuel Valls est l’incarnation parfaite de ce que la politique française produit de plus abject : un opportuniste cynique prêt à tout pour servir ses propres intérêts, quitte à piétiner les valeurs et trahir ceux qui l’ont soutenu. Après avoir échoué lamentablement à imposer sa vision mondialiste en France, il a tenté de se recycler en Espagne, où il n’a récolté que mépris et indifférence. Le voilà de retour en France, multipliant les provocations et les postures, espérant ainsi retrouver une once de pertinence dans un paysage politique où personne ne veut plus de lui.
Valls est un homme sans attaches, sans convictions véritables, un pur produit du système qu’il prétendait jadis vouloir réformer. Il change de discours comme de chemise, courtise tantôt la gauche, tantôt la droite, et maintenant, il joue les moralistes depuis les plateaux télé, distribuant ses leçons de vertu comme s’il était encore crédible. Mais qui peut encore croire en ce personnage ? Tout chez lui transpire le faux : son regard, ses indignations fabriquées, et ses ambitions démesurées.
Sa trajectoire est celle d’un homme qui a perdu le sens du réel, obsédé par sa propre image. Pire encore, il incarne cette caste politique mondialiste, coupée des peuples, qui méprise les aspirations des Français pour mieux se vendre à des intérêts étrangers. Rappelons-nous ses sorties hasardeuses sur Israël ou sa passion affichée pour les lobbies les plus influents. Ce n’est pas un homme d’État, mais un VRP de l’oligarchie, prêt à vendre son âme pour rester dans la lumière.
En réalité, Manuel Valls n’est qu’un pantin du système, un homme usé par ses propres reniements. Les Français ont tourné la page, mais lui refuse de lâcher prise, s’accrochant désespérément à une carrière en ruines. Il est temps pour ce pseudo-républicain de comprendre que son heure est passée. La France n’a pas besoin de ces personnages sans colonne vertébrale, mais de patriotes sincères, capables de défendre son identité et sa souveraineté face aux dérives mondialistes qu’incarne parfaitement ce triste sire.