En attendant plus lourd, je romps le silence pour évoquer un peu le roman de Michel Houellebecq, Soumission. Traitant des sujets d’actualité aussi brûlants que l’Islam et la France, l’opportunité est on ne peut plus
Intermittent paranoïaque de la pensée, Alain Soral souffre d’un gros problème : l’écrit. Tel un André Glucksmann moins chevelu, il manque de style. Comprendre l’Empire, sa dernière livraison, rappelle ainsi les pénibles
Alain Soral dérange, agace, mais il est l’un des rares penseurs de sa génération à se poser et à poser les bonnes questions : celles qui font mal, parfois, et surtout celles que l’on n’aime pas entendre.
C’est l’une des
Eric Zemmour ne fait pas dans le politiquement correct. Dans ses chroniques, ses essais ou ses interventions télé, il s’illustre toujours par des idées et des analyses en décalage avec la pensée de l’époque. Il y dénonce
C’est le grand orwellien français. Chacune de ses parutions est attendue avec une extrême impatience par les amateurs de critique sociale. « L’Empire du moindre mal » (éditions Climats), son nouveau livre, est en librairie
AU SOMMAIRE :
L’orientation communiste nationale de notre combat Socialiste Révolutionnaire
L’immigration : un piège capitaliste
L’acculturation à l’Occident ou la fin des chocs de civilisations(2)
La troisième
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