Le dessin du jour, par @tsoulcie. pic.twitter.com/gfSf82JIfs
— Télérama (@Telerama) September 26, 2019
Télérama est un des trois pieds de la Bien-Pensance avec Le Monde et Libération. Ces trois titres de presse, à eux trois, exercent depuis quatre décennies un totalitarisme culturel qui résume toute la fausse tolérance de gauche. Leur objectif est de traîner dans la boue tout ce qui ne correspond pas aux 7 injonctions du mondialisme : féminisme, antiracisme, sionisme, européisme, immigrationnisme, homosexualisme, antinationalisme. Mais aujourd’hui, ce sont eux qui sont dans la merde.
[ALERTE PUNCHLINES ]
"Vous avez fait un formidable papier qui résume exactement l'escroquerie intellectuelle [de la gauche] des 40 dernières années".
➡️ Après Jacques Attali, c'est à Patrick Cohen de subir les foudres d'Éric #Zemmour. On vous laisse profiter du spectacle ! pic.twitter.com/xIv9nDhWS1
— Convention de la Droite (@ConvDeLaDroite) September 23, 2019
Pendant des décennies après Mai 68, ces canards ont distillé le venin mondialiste dans les classes moyenne et supérieure et aujourd’hui, sans les aides de l’État, un reste de publicité et l’appui de multinationales et de grandes banques qui se font tirer l’oreille pour des questions de propagande obligatoire, ces titres auraient disparu : ils sont tout simplement impopulaires.
Plus personne n’achète Libé, Le Monde s’effondre en kiosques, et Télérama a été racheté par le groupe Le Monde pour être vidé de sa substance financière. L’information sobre, indépendante et équilibrée a disparu, elle a laissé la place à une propagande qui est aussi destinée à mourir sous sa forme actuelle, en presse et en télé...
Quelles sont les techniques rhétoriques préférées d'Eric Zemmour et Laurent Joffrin ? Éléments de réponse, avec l'analyse de leur débat sur BFMTV.
Ma chronique, dans @cliquetv !pic.twitter.com/Re0Y6CJmB6
— Clément Viktorovitch (@clemovitch) September 19, 2019
Valeurs actuelles note que ces attaques anti-Zemmour interviennent au moment de la convention de la droite organisée par Marion Maréchal, qui a le droit d’inviter qui elle veut. Il est sûr qu’elle n’invitera pas Daniel Cohn-Bendit, la tique de la vie politique française depuis 50 ans, sortie du chapeau par un Macron complètement à l’ouest. Certes, il y aura le philosophe Raphaël Enthoven, venu apporter la réplique aux méchants droitistes, mais on ne peut pas dire que ce « fils de » soit de gauche pure. Aurélien Taché, qui devait être le second contradicteur, a renoncé à venir à La Palmeraie, dans le XVe arrondissement parisien. Peut-être que cet immigrationniste forcené a eu peur de se faire étriller par Zemmour !
Dommage que les dessinateurs se plient aux injonctions de la gauche bien-pensante. Normalement, un bon dessinateur d’humour doit viser des cibles qui ne sont justement pas celles que le pouvoir profond lui indique, mais voilà, il faut bien manger et 95 % des dessinateurs sont des morts-de-faim prêts à tout pour croûter. Ainsi, ils trahissent le peuple et ses représentants naturels au lieu de viser à la tête... Même lâcheté chez les humoristes de scène, qui s’attaquent à des hommes politiques de droite nationale (Boutin, Le Pen, Maréchal) plutôt qu’aux tenants du vrai pouvoir (BHL, Kalifat, Jakubowicz).
Ah, si tous ces chiasseux pouvaient se donner la main et résister ensemble... Mais ça viendra, quand ils seront envoyés un par un dans le camp des punis.
Nous allons vous parler plus en détails dans un prochain article du sens de la convention de la droite et de l’affaire Noiriel, ce directeur d’études à l’EHESS qui a voulu se faire Zemmour à travers un article des Inrockuptibles, la danseuse déficitaire du banquier Pigasse. Les Inrocks sont à la presse que que l’OM est au foot : avec un changement d’entraîneur par saison, impossible de trouver une formule gagnante.
En février 2019, après qu’a éclaté l’affaire de la Ligue du LOL, David Doucet (rédacteur en chef web), et François-Luc Doyez (rédacteur en chef web adjoint) sont licenciés notamment sur motif qu’ils ont nui à l’image du magazine. En mars 2019, Marie Kirschen, une spécialiste des questions liées aux femmes et aux personnes LGBT, est nommée rédactrice en chef du site. Créatrice de la revue lesbienne Well Well Well, elle est également membre du collectif de femmes journalistes « Prenons la une » qui avait adressé la « candidature symbolique de 30 de ses adhérentes aux postes laissés vacants par la Ligue du LOL ». [...]
Au cours de l’été 2019, la directrice générale des Inrocks Élisabeth Laborde est convoquée à un entretien préalable en vue d’un licenciement. Selon Le Canard enchaîné, cette ancienne proche de Matthieu Pigasse paie une chute vertigineuse des ventes et un déficit devenu chronique. Emmanuel Hoog la remplace en tant que directeur général et directeur de la publication. En septembre 2019, cet ancien président de l’AFP annonce vouloir lancer « une campagne de recrutement d’abonnés numériques forte et active » afin de relancer le titre. (Wikipédia)
Imaginez le fric englouti dans ce canard fragile depuis l’arrivée de Pigasse, la valse des rédacteurs en chef et des nouvelles formules, tout ça pour faire vivre une ligne éditoriale morte depuis des lustres... Ah, si Pigasse de Lazard investissait dans E&R, on serait le premier média de France en moins de deux ans, avec 2 ou 3 millions de visiteurs uniques par jour ! Oui mais la Banque ne nous aime pas...
Et maintenant le résumé par Valeurs actuelles, totalement acquis à la cause Maréchal-Zemmour, de l’article de Noiriel :
Les Inrockuptibles n’hésitait pas – dans un article publié sur son site le 9 septembre, (« Comment combattre Eric Zemmour ») – à aller à la rencontre d’un certain Gérard Noiriel, historien et directeur d’études à l’EHESS. Dans son dernier ouvrage, Le Venin dans la plume, il établit un parallèle entre le polémiste et Édouard Drumont, écrivain violemment antisémite et auteur du premier best-seller de la IIIe République, La France juive : « Sur la forme, Zemmour ne peut pas écrire comme Drumont, car des lois répriment désormais le racisme. Mais il faut aller plus loin. Dans L’Archéologie du savoir, Michel Foucault distingue la couche superficielle des échanges que l’on peut avoir tous les jours, de leurs règles de “grammaire” sous-jacentes. C’est à ce niveau que se situent les grands points communs entre Zemmour et Drumont », peut-on lire, entre autres et très sérieusement, dans cette interview.
Zemmour amalgamé à Drumont, pauvre Noiriel ! Et c’est directeur d’études à l’EHESS, l’École des hautes études en sciences sociales !
Bonus : Zemmour star de TV Libertés