Le prochain président des États-Unis, s’il survit jusqu’au 20 janvier, a célébré Noël dans un petit discours. La foi, en Amérique, ce n’est pas rien.

Au-delà de ce respect bien compris des traditions, qui disparaît chez nous (des villes entières n’ont pas été décorées aux couleurs de Noël par des maires francs-maçons ou inféodés au mondialisme), Trump avait deux jours plus tôt pourfendu et le woke, et l’immigration massive. Selon ses propres mots, il veut mettre un terme par décret dès le premier jour au « délire transgenre ».

« Je signerai des décrets pour mettre fin aux mutilations sexuelles des enfants, exclure les transgenres de l’armée et les exclure des écoles primaires, des collèges et des lycées... La politique officielle des États-Unis sera qu’il n’y a que deux genres, homme et femme. »

Pour lui, le 20 janvier sera « le jour de la libération de l’Amérique », carrément. C’est très légèrement exagéré, mais on aurait bien besoin d’un changement radical, chez nous. Le woke est en train de dérégler toute la société française, avec un impact certain sur la natalité. On n’oublie pas le facteur économique, car le néolibéralisme s’attaque principalement aux pauvres et aux femmes en âge de faire des enfants. Tout est raccord, chez les mondialistes.

L’autre attaque qui touche indifféremment la France et l’Amérique, c’est l’immigration de masse. Là encore, Trump fait marche arrière par rapport aux démocrates :

« Je signerai toute une série de décrets pour fermer notre frontière aux immigrés illégaux et stopper l’invasion de notre pays. Et le même jour, nous allons débuter la plus grande opération d’expulsion de l’histoire des États-Unis. »

Trump a été encore plus loin avec une promesse gigantesque qui intéresse le monde entier :

« Je vais mettre fin à la guerre en Ukraine, je vais arrêter le chaos au Moyen-Orient et je vais empêcher, je le promets, la Troisième Guerre mondiale. »

Déjà, il faudrait arrêter de soutenir l’Israël de Netanyahou, et couper le robinet à corruption – avec en plus l’argent des Américains ! – de l’AIPAC en direction des congressistes...