Ne supportant plus son syndrome d’excitation génitale (SGEP) qui la forçait à jouir à longueur de journée, une Américaine a mis fin à ses jours. Elle venait de témoigner dans un journal local.
En proie à une maladie rare depuis quinze ans, Gretchen Molannen vivait un véritable calvaire. Il l’a poussée à mettre fin à ses jours le 1er décembre dernier. Cette quadragénaire souffrait du syndrome d’excitation génitale persistante (SGEP) qui lui causait plusieurs orgasmes par jour.
En effet, cette maladie se traduit par une excitation sexuelle incontrôlable. Un trouble épuisant qui n’a rien à voir avec la nymphomanie ou l’hypersexualité, car il se manifeste par une sensation physique, présente en permanence. Le seul moyen d’y mettre un terme - pour un court moment de répit - est la masturbation jusqu’à l’orgasme.