« L’ex Pink Floyd Roger Waters, soutien notoire du mouvement antisémite BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) s’est vu l’honneur dimanche de présenter au public la Coupe des Mousquetaires lors de la finale du Tournoi de Roland-Garros. » (Le Monde juif)
Grosse quenelle mondiale en direct du musicien Roger Waters contre la violence impunie de l’entité israélienne qui a perpétré le massacre de Gaza ! Les caméras de France Télévisions, qui ont relayé l’événement dans l’événement – la finale hommes de Roland-Garros – sans arrière-pensée, ainsi que la Fédération française de tennis, se font houspiller par les surveillants acharnés de « l’antisémitisme » mondial.
La honte intégrale @rolandgarros @FFTennis faire venir #RogerWaters avec un keffieh palestinien pour présenter la coupe vive la neutralité du sport ...
vous me faites vomir pic.twitter.com/avMP95xtPA
— ✡(((NATH&CO)))✡ (@Nathandco) 10 juin 2018
Grosse faute de goût pour cette finale #RolandGarros2018 avec #RogerWaters qui ne peut pas s’empêcher d’arborer son keffieh palestinien pour nous servir son soutien au #BDS hors sujet à cet endroit, à ce moment là ! pic.twitter.com/3P5Ao4GNuY
— sgota (@GotaSgota) 10 juin 2018
Le Monde juif relaye donc l’information avec force « haine » et autres « vomir », termes qui caractérisent une hargne non digérée. Au lieu d’admettre que le régime militaire israélien a commis un massacre de civils au mois de mai 2018, les soutiens de Netanyahou préfèrent projeter leur haine et leur culpabilité sur un chanteur et musicien de rock qui a pris fait et cause pour la Palestine, et qui n’a tué personne. C’est le monde à l’envers !
« En 2013, Roger Waters avait donné un concert qui présentait un cochon géant gonflable avec une étoile de David sur le côté. Il a également comparé Israël aux Nazis.
Le stade de Roland-Garros a connu une histoire sombre sous la Seconde Guerre mondiale, devenant dès octobre 1939 un camp de transit pour étrangers jugés indésirables, dont de nombreux juifs. »
Et c’est reparti pour un tour des heures sombres !
Sinon, un cochon (qui figurait sur un album de Pink Floyd) avec une étoile de David, c’est peu de chose par rapport aux dizaines de Palestiniens abattus comme des chiens par les garde-frontière israéliens. Dans leur haine, les défenseurs de la colonisation juive ont perdu le sens des proportions.