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Godrèche et ses 1 000 violées font l’ouverture du Festival de Cannes

La victimisation, c’est du cinoche

Même dans nos pires cauchemars, ou dans nos pires sketchs antiprogressistes, on n’aurait pas pu imaginer ça : une brochette de fondus qui met les mains sur la bouche en signe de protestation contre les violences sexuelles, comme si ça donnait du talent, comme si ça intéressait les Français. Quand on voit ceux qui se sont prêtés à cette mascarade, on comprend mieux l’effondrement esthético-moral du Festival.

 

 

On reconnaît évidemment Godrèche, en meneuse de revue botoxée à l’hélium, flanquée de sa fille Tess (celle qui se tortille dans l’extrait ci-dessous), qui fait la gueule, pas parce qu’elle est mécontente d’être là, à côté de maman, mais parce que ça fait mannequin.

On aperçoit Rokhaya Diallo, qui taille les Blancs du matin au soir, comme Adja Traoré, mais avec moins de vocabulaire injurieux. C’est pas de la violence sexuelle, non, c’est de la violence raciale. Et dans ce sens, elle est autorisée.

 

 

On a du mal à comprendre comment les 1 000 victimes de violences sexuelles ont pu se prêter à l’initiative people de la Godrèche, qui s’en sert uniquement pour faire son grand retour dans un cinéma qui ne veut plus d’elle. Elle se glisse juste dans le trou de la culpabilité des baiseurs d’actrices, parce qu’il s’agit de ça.

Les people, pour enfumer les gens, c’est des spécialistes. Ils font croire qu’ils vont tout arranger, et ils te vendent un doc ou un film avec la détresse des autres, comme Jean-Luc Delarue ou Mireille Dumas, enrichis sur la crédulité des petites gens, des nobody.

Là, on a un condensé de l’écœurant dans le cinéma français, et qui le fait couler inexorablement : la vulgarité des bons sentiments, la masturbation publique d’ego malades, parce que montrer sa gueule ou son cul, c’est pareil ; la confiscation de l’art par la publicité personnelle ; le désintérêt absolu du grand public ; et enfin, le pire du pire, l’exhibition décomplexée des rejetons qui vont grossir les rangs déjà bondés des tocards de la filsdecratie.

 

 

1, vendre son corps
2, vendre son agression sexuelle
3, vendre sa progéniture

Il faut à tous les médiocres qui n’existent plus dans le 7e art un cheval de bataille sociétal, les migrants, le climat, et maintenant le sexe hétéro patriarcal, mais pas le sexe homo, trans ou même pédo. Ça, ça passe crème ! Il y a bien sûr un peu de MeToo gay, mais pas trop, parce que ça risque de déranger la dernière génération de cinéastes progressistes...

On va vous dire, même en streaming gratuit ou en téléchargement illégal, on est content de ne pas télécharger les merdes de ces pucerons, qui parasitent la fleur du cinéma français. D’ailleurs, plus personne ou presque ne dépose ce genre de contenus sur les sites d’échanges culturels, ça n’a pas de sens. On voit en revanche refleurir beaucoup de films français d’avant le progressisme, que les Anglo-Saxons (re)découvrent et apprécient. Le reste fait honte.
Quand tu vois, Rouve, Godrèche et Boon, t’as envie de changer de système solaire !

Ces élites culturelles qui représentent le cinéma français sont à l’image des élites politiques, dont voici un aperçu.

 

La souffrance de Judith

 






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82 Commentaires

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  • #3365869

    ..." Quiconque consent à une relation sexuelle avec une personne non désirée dans le but d’obtenir de celle ci une faveur se livre à un acte de prostitution "... Voilà elle est là godreich. Avec l’aide de l’institution qui devait la protéger mais qui l’a vendu : sa famille. Maïwenn d’ailleurs ne dit rien d’autre dans son film.

     

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  • Le viol post-retroactif, nouveau concept...

     

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  • Wikipedia :
    Les parents de Judith Godrèche sont psychothérapeutes : sa mère, Marie Deslis, est psychomotricienne et originaire du Nord de la France ; son père, Alain Godrèche, est psychanalyste et issu d’une famille juive polonaise émigrée à Paris qui a francisé son nom, initialement écrit « Goldreich ».

    Ah je savais pas......Bon, je mentirais si je me disais surpris :-)

     

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  • Elles ont toutes un point commun, elles sont toutes moches. Je m’interroge sur la véracité des viols. Est-ce une propagande maquillée LGBT de plus ?

     

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  • Quand on n’utilise pas sa vulve à faire des enfants et servir ainsi sa famille, son pays, et la Nature, avec honneur et fidélité, alors on se trouve réduite à crier et faire chier le monde.

    La femme occidentale en est là.

     

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    • enfin , c’ est surtout celles de notre génération qui auront fait n’ importe quoi..
      il y a quand même une part non négligeable , voire majoritaire , de femmes qui ne se sont pas soumises à la promotion canapé et se sont fait piqué leurs places par des tricheuses , des salopes.. mais ça serait plutôt à elles de le dire et pas à nous .

       

  • 1, vendre son corps
    2, vendre son agression sexuelle
    3, vendre sa progéniture



    C’est ça ! Y a aucun doute ! Trop bien résumé !

    Après, est-ce que finalement, on va pas arriver à une talibanisation de la société, avec les femmes en première ligne, l’immense majorité des femmes dont le corps n’est pas vendable, que personne ne veut agresser sexuellement et qui n’ont pas de progéniture à vendre ?

    Parce que dans le ventre mou de la moyenne des femmes, on serait plutôt à quémander une agression sexuelle, au moins dans un "role play", un fantasme, dans la supplique de consolation narcissique que je serais belle au point qu’il violerait la loi en plus de me violer moi.

    Parce que le nombre de femmes qui te confient leurs fantasmes de viol, de soumission, d’esclavage, etc... c’est quand même statistique.

    Perso, j’en ai eu plein, et le sommet, c’était une étudiante allemande qui aimait quand je sentais l’alcool et qui aurait voulu je porte aussi des bottes en cuir d’officier de cavalerie... une lectrice de Kleist. Et puis une étudiante française : « je serais une fille de mauvaise vie déportée en Amérique au 18ème siècle, et tu commanderais le navire, et tu descendrais dans la cale pour choisir parmi nous une fille à violer, et c’est moi que tu choisirais entre toutes les filles, je serais ton élue »...

    Après, il y a toutes celles qui disent plus prosaïquement "j’suis ta salope, j’vais te sucer et tout t’avaler, hein ? j’suis ta salope, d’accord ?" Trente ans plus tard, sous l’influence de la baisse d’oestrogènes, elles flippent en se souvenant qu’elles avaient le feu au cul quand elles étaient encore jeunes et fraîches, et qu’en marchant dans la rue, à la seule pensée du phallus, l’eau coulait le long de leurs cuisses (une fille de 20 ans m’avait confié ça : en allant au Monoprix, ça coulait le long de ses cuisses).

    Donc, elles se vengent de leur jeunesse. La jeune qu’elles ont été, elles la détestent maintenant qu’elles sont vieilles. Elles sont schizo. La Godrèche d’aujourd’hui crache sur la Godrèche adolescente qui ne rêvait que de découvrir le goût du gland, et en même temps, elle la trimballe sa fille qui ne pense qu’à ça pour lui faire dire qu’elle aime pas la bite...

    Godrèche est donc une vieille vicieuse qui détruit sa propre fille : « Déshabille-toi pour te faire remarquer par les hommes mais dit en même temps devant tout le monde que t’aimes pas la bite et que tu n’aimes pas jouir ».

     

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  • C’était une évidence depuis fort longtemps, en l’absence d’un quelconque talent, ces actrices avaient forcément couché pour faire carrière...

     

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  • Parmi mes proches, je connais quelques femmes, mariées ou pas. Aucune d’elle n’a été violée. Croyez-vous qu’elles s’en réjouissent ou que ça les traumatise ? Non ! Elles n’en parlent pas. Point ! Mais si ça continue comme dans le showbiz, toutes ces violées qui se manifestent, je crains que mes chastes copines, finissent par être traumatisées. Pourquoi, celles du showbiz et pas mes copines ? Un monde, ça !

     

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  • La tapinocratie c’est le fondement du capitalisme, depuis que la prolétarisation révolutionnaire a supprimé les corporations et amputé les corps de métiers du corps de la Nation pour n’en garder que la force musculaire.

    Les hommes ont vendu leur force de travail pour épargner les épouses et les mères en leur accordant le droit de se consacrer à ce qui ne s’achète pas avec de l’argent mais avec de l’amour, du dévouement et de l’abnégation.

    Puis le capitalisme a décidé de libérer les femmes de l’autorité du mari pour les mettre sous l’autorité du patron pour en faire des consumatrices brulantes de désirs matériels.

    Aujourd’hui ultralibéralisée, la tapinocratie est devenue totalitaire, les pires tapins ne vendent plus leurs culs, ils vendent leur cerveaux, leur probité, et se laissent engrosser le libre arbitre. Les journalistes, les acteurs médiatiques et politiques vont plus souvent, et plus volontiers au tapin que les starlettes en mal de carrière.

    Que dire du covidisme et de son tapinage obligatoire pour Big Pharma, avec viol de l’identité par le masque, pénétration PCR à l’abattage, et éjaculation ARNm interne sous la contrainte, combien ont refusé de tapiner utile ? Qui refuse d’accepter qu’un homme avec une bite et du rouge à lèvre est possiblement une femme ?

    Le tapinage c’est devenu la norme, et les millions de violés du covid, toutes les soignantes violées par injection contrainte, et tous les baisés de la démocratie doivent taire leurs souffrances pour "la minute de la délation autorisée" par le système tapinocratique.

     

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  • #3366230
    Le 20 mai à 09:54 par Ultragoy 2 : Le Retour
    Godrèche et ses 1 000 violées font l’ouverture du Festival de Cannes

    Curieusement, La Godrèche ne parle absolument pas du film de Pierre Barnérias, "les survivantes", qui recueillent le témoignage de huit femmes ayant été victimes de réseaux pédocriminels durant leur enfance.
    Le film est pourtant projeté dans 24 salles en France depuis le 15 Mai 2024.
    Son empathie et sa compassion semblent être à géométrie variable.
    Les raisons de ce silence général sont évidentes, les faits sérieux concernant la pédocriminalité sont toujours étouffés.

     

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