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Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

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18 Commentaires

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  • #983375
    Le 29 septembre 2014 à 19:13 par Charles
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Débat intéressant, intervenants honnêtes, aucune langue de bois, ça fait plaisir.

     

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  • #983398
    Le 29 septembre 2014 à 19:26 par actionspacifiques
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Ils ont créé une hydre à plusieurs têtes, dès que l’on en coupe une, deux autres poussent.

    A ce rythme là, ils seront obligés de lâcher le Titan pour en finir.

    Ce qui est dangereux quand on créé une chimère c’est de croire que l’on peut le contrôler totalement. Et une chimère ne fait qu’engendrer d’autres chimères.

    Quand les Grecs ont arrêtés de croire aux dieux, épris de colère, ces derniers ont lâché le Kraken pour mater la masse et les forcer à se soumettre à eux. Mais un héros est né, Persée qui a été voir une femme bannie et exilé par les dieux de la Grèce pour retourner son regard critique envers le Kraken et mit fin à la guerre des Grecs contre les dieux.

    Ce ne sont que des métaphores et allégories pour nous instruire sur les mécanismes d’un Empire et la méthode pour y mettre fin.

    La méduse est un regard critique d’une personne qui a été exilée, chassée et diabolisée et que tous ceux qui ont tenté de l’abattre s’en sont mordus les doigts. Peut-on comparer certains intellectuels aujourd’hui à la méduse ?

    Et peut-êtres d’autres à Persée ?

     

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  • #983401
    Le 29 septembre 2014 à 19:28 par marlon branleux
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Vous noterez qu’à plusieurs moments Pigeat compare la gestion d’un état à celle d’une entreprise.

    Il faudrait lui dire que dans une entreprise : on peut virer des gens quand il faut faire de la compression de personnel...dans un pays : ça s’appelle une extermination.

    En tout cas bravo à Berruryer pour lui avoir envoyé dans les dents à ce libéral de m....e le vrai mal de notre époque, qu’il incarne : les libéraux-baby-boomers qui feront en sorte que le monde ne s’écroule vraiment que lorsqu’ils seront morts. Une génération d’irresponsables qui ont tout foutu en l’air et qui légitimeraient presque la légalisation de l’euthanasie ou la suspension du droit de vote passé un certain âge.
    Comme le dit si bien Abauzit : il n’y a strictement aucune leçon de politique ou d’économie à recevoir de quelqu’un qui a plus de 50 ans.

    Et bravo aussi à Sapir pour le stress au travail comme cause de la crise. Un sujet qu’il faudra vraiment creuser.

     

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    • #984266
      Le Septembre 2014 à 14:39 par Jojo l’Afreux
      Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

      Excellent post, je partage tout à fait votre opinion. Et votre comparaison entre un état et l’entreprise mériterait d’être popularisé, c’est exactement ça, ce serait une mesure de salut public pour lutter contre l’idéologie actuelle qui nous tue.

      Pour le déficit de la sécu, il faut marteler encore et encore et encore qu’il a été consciemment organisé par le MEDEF pour protéger la fléxi-compétitivité. Dans notre système social à l’origine, il ne peut y avoir de déficit, c’est impossible, mais quand les allocataires augmentent (chômeurs, malades et retraité), les cotisations des actifs occupés doivent augmenter d’autant, nuisant au cout du travail français. Le déficit est apparu en 1997, après que le MEDEF ai obtenu une loi pour geler les cotisations sociales qui n’augmentent plus depuis, contrairement au nombre de chômeurs, de retraités et de bénéficiaires de la CMU. Le but final pour le MEDEF est d’endetté suffisamment notre système social pour que les Français acceptent son abolition comme inévitable. Les riches (et pas la classe moyenne) en France ne veulent plus payer plus pour un système de santé, un système d’éducation et un système de sécurité à une seule vitesse, ils veulent nous mettre en place une société à la Mexicaine ces salauds.

       
    • #984352
      Le Septembre 2014 à 15:43 par Fiorenzo
      Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

      " il n’y a strictement aucune leçon de politique ou d’économie à recevoir de quelqu’un qui a plus de 50 ans."

      Tu fais quoi là, branleux, du jeunisme imbécile ??

      Avant de de débiter ce genre d’idiotie, écoute ce qu’ont à dire ou ont dit JMLP, Chevènement, Roland Dumas, Jacques Vergès, Poutine et Lavrov, De Gaulle à son époque....... Et j’oublie Soral (56 ans). Tu connais ??? Et APRES ce petit effort d’instruction (TRES utile pour toi), tu pourras revenir causer, et peut-être cette fois pertinemment

      PAIX (mais un peu de culture, bordel !)

       
    • #984486
      Le Septembre 2014 à 17:32 par marlon branleux
      Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

      @ Fiorenzo



      Tu fais quoi là, branleux, du jeunisme imbécile



      Le plus grand tort des jeunes (générations X & Y) est de ne toujours pas s’être révolté (faire un mai 68 à l’envers) contre la génération des hypocrites. Jour de Colère.

      - JMLP, Chevènement, Roland Dumas, Jacques Vergès : l’un d’eux a-t-il été élu président ? Dumas n’a-t-il pas défilé derrière Mitterrand en 81 ?

      - Poutine et Lavrov : tu me parles de russe ? Moi je te parle de la France, là !

      - De Gaulle à son époque : c’est bien que tu précises A SON EPOQUE, pour rappeler que tu te plantes en beauté. Les baby-boomers étaient les jeunes de l’époque qui ont foutu la mer*de, manipulés qu’ils étaient par les trotskar, eux-mêmes gentils toutous de la CIA. Aujourd’hui, ce sont eux les vieux réactionnaires, gardiens indéfectibles du temple libéral et de l’alternance gauche-droite perpétuelle. Je lève mon verre à qui supprimera le droit de vote des personnes ayant la soixantaine.

      Imagine un peu que les baby-boomers ne puissent plus voter : UMP & PS se retrouveraient avec 10 à 15 % d’électeurs en moins ! (ce qui sera de toute façon le cas d’ici une ou deux décennies)
      Sans la génération très nombreuse des libéraux-libertaires (ceux qui se disaient pour la gauche en mai 68 ... Mais aussi pour l’hypocrisie libérale en 1983) les partis ultralibéraux redeviendraient des petits partis, ceux de la bourgeoisie, ceux des possédants, forcément moins nombreux, ils ne seraient plus en position de monopole électoral. Il y aurait enfin de vrais programmes différents.

      -Et j’oublie Soral (56 ans) : c’est un baby-boomer, Soral ? Grande nouvelle ! C’est un jeunot à côté de la génération qui a validé les dogmes libéraux qui nous coulent en ce moment.



      Tu connais ??? Et APRES ce petit effort d’instruction (TRES utile pour toi), tu pourras revenir causer, et peut-être cette fois pertinemment



      La seule utilité de ton commentaire a été de me permettre de me rendre compte de la naïveté encore très grande chez de nombreuses gens.



      PAIX (mais un peu de culture, bordel !)



      Tout à fait d’accord avec ta conclusion...Va te cultiver avant de parler.

      signé : un trentenaire

       
  • #983452
    Le 29 septembre 2014 à 20:11 par monsieurk
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    D’habitude plutôt soporifique , ici : excellent
    A voir. Quelques quenelles (de Berruyer particulièrement, comme en début partie 2 sur le paradoxe de la croissance), quand même !

     

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  • #983469
    Le 29 septembre 2014 à 20:24 par Casanova
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Le déficit de la sécurité sociale est une supercherie comme la dette de la France ,tout ceci est organisé afin d’asservir le peuple en le culpabilisant a outrance en le ponctionnant de tout côté je vous invite à visualiser cette vide très courte mais extrêmement riche en enseignement :

    - http://touch.dailymotion.com/video/...

     

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  • #983622
    Le 29 septembre 2014 à 22:19 par Django
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Heureusement qu’ils sont là !

     

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  • #983678
    Le 29 septembre 2014 à 23:08 par Tringlot
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    A propos de l’Irak et de la Syrie : Sapir tient un discours bien en deçà de la vérité, tout en reconnaissant une part de responsabilité à "l’Occident".

    Là où je ne le suis plus, c’est quand il avance que la "montée djihadiste", suite aux bombardements répétés (pour reprendre le fil de son discours) est "involontaire".

    Est-ce qu’il est interdit de dévoiler le cynisme géopolitique sur une chaîne publique ?

    La conclusion que j’en tire, donc, c’est que même un gars comme Sapir, ou un autre comme Berruyer, il ne faut pas non plus les attendre en dehors de la macro-économie - ce qui est relativement normal d’ailleurs.
    Voilà. Moi je lis voltairenet.org et c’est vrai que ça rend un peu schizophrène quand on met en miroir le discours mainstream de nos médias.

    Allez. Réjouissons-nous : il n’y a pas de pétrole en France (à part 2 vieux puits tout pourris dans le Sud-Ouest).

     

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  • #983825
    Le 30 septembre 2014 à 02:55 par Irréductible Gaulois
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    L’absence de solidarité, le plus grand mal qui ruine notre société. nous avons oublié la collectivité, nous le payons par la paranoïa et l’individualisme. Le combat à mener est celui contre cette absence de valeurs humaines, mes très chers frères et soeurs.

     

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  • #984024
    Le 30 septembre 2014 à 11:00 par Volapuk
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    L’Euro à 2 ou 3 vitesses, du Nord ou du Sud... Voilà une vieille lune qu’on ne cesse de nous rabâcher depuis 10 ans ! Pigeat est vraiment à l’avant garde de l’économie et ce, malgré le fait qu’il reconnaisse que l’Euro soit de la merde en barre, côté sur un marché de dupes !
    En réalité, tous ces speculateurs malhonnêtes préfèrent vous expliquer qu’une monnaie comme l’Euro est utile. Pourquoi ? Pour diluer l’onde de choc globale sur l’économie réelle et afin d’absorber des levées de fonds équivalentes à des PIB nationnaux. Pour la faire courte, dans un monde monétaire restructuré ce seraient des pays entiers qui pourraient disparaitre par la simple inconséquence des acteurs financiers. Ce qui obligerait à prendre des mesures préventives à leurs encontres. Mais ça évidement, on est pas près de le voir !!!

     

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  • #984707
    Le 30 septembre 2014 à 21:12 par Billy
    Jacques Sapir et Olivier Berruyer sur BFM Business

    Allez, juste un mot sur la forme...
    Aux alentours de 01:02, Le Nicolas "j’ai ma dose" fait un signe à la caméra pour passer au débat... Un peu comme l’autre Clown spécialiste des Terriens, le hardi-machin... A quand le "Magnéto, serge !" ?
    Quelle pitié...

     

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